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La famille Gillet appartient à la bourgeoisie lyonnaise. Issue d’un milieu modeste dans les monts du Lyonnais, elle s’élève au XIXᵉ siècle grâce à l’esprit d’innovation et à l’audace entrepreneuriale de François Gillet (1813-1895), fondateur des Établissements Gillet. Par son invention du « noir impérial » et par son expansion dans le textile et la chimie, la famille devient l’une des plus grandes dynasties industrielles françaises, avant de se rapprocher de Rhône-Poulenc. Elle incarne une lignée où l’industrie, la science, la banque, la diplomatie et la culture se rejoignent au service du Bien Commun.
== Introduction ==
La famille Gillet appartient à la bourgeoisie lyonnaise. Issue d’un milieu modeste dans les monts du Lyonnais, elle s’élève au XIXᵉ siècle grâce à l’esprit d’innovation et à l’audace entrepreneuriale de François Gillet (1813-1895), fondateur des Établissements Gillet.
Par son invention du « noir impérial » et par son expansion dans le textile et la chimie, la famille devient l’une des plus grandes dynasties industrielles françaises, avant de se rapprocher de Rhône-Poulenc.
Elle incarne une lignée où l’industrie, la science, la banque, la diplomatie et la culture se rejoignent au service du Bien Commun.


Armoiries et devise
== Armoiries et devise ==
[[Fichier:Blason-vierge-ALFI.svg|150px|thumb|center|Blason de la famille Gillet]]


Armes : non
* Armes : non
* Devise : ''Labor et Innovatio'' (« Par le travail et l’innovation »). 


Devise : Labor et Innovatio (« Par le travail et l’innovation »).
== Chronologie agnatique ==


=== Génération I ===
* François Gillet (1813-1895), teinturier et industriel, fondateur des Établissements Gillet. 
Marié à Marie Pierron (1812-1892).


Chronologie agnatique
=== Génération II ===
* Émilie Gillet (1841-1925) × Dr Hugues Chatin (1825-1875), médecin, maire de Sainte-Colombe. 
* Joseph Gillet (1843-1923), directeur des Établissements Gillet, vice-président du Crédit lyonnais, administrateur de sociétés, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Mathilde Perrin (1845-1908). 
* François Gillet (1846-1897), industriel, chimiste, maire d’Izieux. Marié à Marie Mas puis à Jeanne Humblot (1859-?). 
* Marie-Joséphine Gillet (1852-1889) × Henri de Montgolfier (1847-1914), issu de la célèbre famille des inventeurs.


Génération I
=== Génération III ===
* Marguerite Gillet (1866-1959) × Henri Balaÿ (1865-1928), administrateur de sociétés. 
* Edmond Gillet (1873-1931), industriel, président du Comptoir des Textiles Artificiels, administrateur de Rhône-Poulenc, régent de la Banque de France. Marié à Léonie Motte (1883-1965). 
* Paul Gillet (1874-1971), président de Progil, administrateur de Pechiney, collectionneur d’art, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Marguerite Blanchet (1883-1959). 
* Charles Gillet (1879-1972), industriel, administrateur de Rhône-Poulenc et Progil. Marié à Marcelle Garin (1885-1977).


François Gillet (1813-1895), teinturier et industriel, fondateur des Établissements Gillet. Marié à Marie Pierron (1812-1892).
=== Génération IV ===
* Marguerite Gillet (1904-1986) × Ennemond Bizot (1900-1988). 
→ Jean-François Bizot (1944-2007), patron de presse (''Actuel'', ''Radio Nova''). 
* Denise Gillet (1906-1995) × François Brossette (1906-1964). 
* Michel Gillet (1909-1989), PDG de Gillet-Thaon. Marié à Aline Ravier (1914-?). 
* Robert Gillet (1912-2003), diplomate, ambassadeur de France au Maroc et en Espagne. Marié à Aliette de Pracomtal (1922-2023). 
* Renaud Gillet (1913-2001), PDG de Rhône-Poulenc, administrateur de Danone et UCB. Marié à Marie Colcombet. 
* Bernard Gillet (1919-2016) × Hélène Janoray.


=== Descendance François Gillet cadet (branche parallèle) ===
* Henri Gillet (1885-1955) × Suzanne Pelvoisin. 
* Pierre Gillet (1886-1915) × Thérèse Auloix. 
* Thérèse Gillet (1887-?) × Général Louis Jamont (1873-1951). 
  → Descendance Jamont, dont Marie-Pierre Jamont (1920-1990) × Jean Sangnier (1912-2011), journaliste. 
* Suzanne Gillet (1889-1987) × Constant Balaÿ (1879-1930). 
* Geneviève Gillet (1893-?) × André Coulombel (1887-1957).


Génération II
== Engagement au service du Bien Commun ==
* '''Économie''' : François et Joseph Gillet transforment le textile lyonnais et développent la chimie, créant des milliers d’emplois. 
* '''Science''' : Joseph Gillet cofonde l’École de chimie industrielle de Lyon (1883). 
* '''Culture''' : Paul Gillet ouvre la Villa Gillet, devenue haut lieu intellectuel et culturel. 
* '''Diplomatie''' : Robert Gillet représente la France au Maroc et en Espagne. 
* '''Innovation mondiale''' : Renaud Gillet oriente Rhône-Poulenc vers la recherche pharmaceutique et chimique internationale.


Émilie Gillet (1841-1925) x Dr Hugues Chatin (1825-1875), médecin, maire de Sainte-Colombe.
== Demeures et ancrages patrimoniaux ==
* Villa Gillet (Lyon)
* Parc de la Cerisaie (Lyon)
* Château de Galleville (Seine-Maritime, acquis en 1984)


Joseph Gillet (1843-1923), directeur des Établissements Gillet, vice-président du Crédit lyonnais, administrateur de sociétés, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Mathilde Perrin (1845-1908).
== Bibliographie et sources ==
* Henry Coston, ''Le Retour des 200 familles'', 1960. 
* Marcel Peyrenet, ''La dynastie des Gillet : les maîtres de Rhône-Poulenc'', 1978. 
* Jean Lambert-Dansette, ''La vie des chefs d’entreprise : 1830-1880'', 1992. 
* Bernadette Angleraud, Catherine Pellissier, ''Les dynasties lyonnaises'', Perrin, 2003. 
* Pierre Cayez, Serge Chassagne, ''Les patrons du Second Empire : Lyon et le Lyonnais'', 2007. 
* Hervé Joly, ''Les Gillet de Lyon. Fortunes d’une grande dynastie industrielle, 1838-2015'', Droz, 2015. 
* Article Wikipédia : ''Famille Gillet'' (CC BY-SA 4.0).


François Gillet (1846-1897), industriel, chimiste, maire d’Izieux. Marié à Marie Mas puis à Jeanne Humblot (1859-? ).
== Conclusion ==
 
De l’invention du « noir impérial » à la direction de Rhône-Poulenc, la famille Gillet illustre l’ascension d’une dynastie partie des collines lyonnaises pour atteindre la scène industrielle et culturelle mondiale.
Marie-Joséphine Gillet (1852-1889) x Henri de Montgolfier (1847-1914), issu de la célèbre famille des inventeurs.
À travers ses innovations, son rôle économique, scientifique, culturel et diplomatique, elle a contribué de manière décisive au Bien Commun.
 
 
Génération III
 
Marguerite Gillet (1866-1959) x Henri Balaÿ (1865-1928), administrateur de sociétés.
 
Edmond Gillet (1873-1931), industriel, président du Comptoir des Textiles Artificiels, administrateur de Rhône-Poulenc, régent de la Banque de France. Marié à Léonie Motte (1883-1965).
 
Paul Gillet (1874-1971), président de Progil, administrateur de Pechiney, collectionneur d’art, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Marguerite Blanchet (1883-1959).
 
Charles Gillet (1879-1972), industriel, administrateur de Rhône-Poulenc et Progil. Marié à Marcelle Garin (1885-1977).
 
 
Génération IV
 
Marguerite Gillet (1904-1986) x Ennemond Bizot (1900-1988)
 
Jean-François Bizot (1944-2007), patron de presse (Actuel, Radio Nova).
 
 
Denise Gillet (1906-1995) x François Brossette (1906-1964).
 
Michel Gillet (1909-1989), PDG de Gillet-Thaon. Marié à Aline Ravier (1914-? ).
 
Robert Gillet (1912-2003), diplomate, ambassadeur de France au Maroc et en Espagne. Marié à Aliette de Pracomtal (1922-2023).
 
Renaud Gillet (1913-2001), PDG de Rhône-Poulenc, administrateur de Danone et UCB. Marié à Marie Colcombet.
 
Bernard Gillet (1919-2016) x Hélène Janoray.
 
 
Descendance François Gillet cadet (branche parallèle)
 
Henri Gillet (1885-1955) x Suzanne Pelvoisin.
 
Pierre Gillet (1886-1915) x Thérèse Auloix.
 
Thérèse Gillet (1887-? ) x Général Louis Jamont (1873-1951).
 
Descendance Jamont, dont Marie-Pierre Jamont (1920-1990) x Jean Sangnier (1912-2011), journaliste.
 
 
Suzanne Gillet (1889-1987) x Constant Balaÿ (1879-1930).
 
Geneviève Gillet (1893-? ) x André Coulombel (1887-1957).
 
 
Engagement au service du Bien Commun
 
Économie : François et Joseph Gillet transforment le textile lyonnais et développent la chimie, créant des milliers d’emplois.
 
Science : Joseph Gillet cofonde l’École de chimie industrielle de Lyon (1883).
 
Culture : Paul Gillet ouvre la Villa Gillet, devenue haut lieu intellectuel et culturel.
 
Diplomatie : Robert Gillet représente la France au Maroc et en Espagne.
 
Innovation mondiale : Renaud Gillet oriente Rhône-Poulenc vers la recherche pharmaceutique et chimique internationale.
 
Demeures et ancrages patrimoniaux
 
Villa Gillet (Lyon).
 
Parc de la Cerisaie (Lyon).
 
Château de Galleville (Seine-Maritime, acquis en 1984).
 
 
Bibliographie et sources
 
Henry Coston, Le Retour des 200 familles, 1960.
 
Marcel Peyrenet, La dynastie des Gillet : les maîtres de Rhône-Poulenc, 1978.
 
Jean Lambert-Dansette, La vie des chefs d’entreprise : 1830-1880, 1992.
 
Bernadette Angleraud, Catherine Pellissier, Les dynasties lyonnaises, Perrin, 2003.
 
Pierre Cayez, Serge Chassagne, Les patrons du Second Empire : Lyon et le Lyonnais, 2007.
 
Hervé Joly, Les Gillet de Lyon. Fortunes d’une grande dynastie industrielle, 1838-2015, Droz, 2015.
 
Article Wikipédia : Famille Gillet (CC BY-SA 4.0).
 
Conclusion
 
De l’invention du « noir impérial » à la direction de Rhône-Poulenc, la famille Gillet illustre l’ascension d’une dynastie partie des collines lyonnaises pour atteindre la scène industrielle et culturelle mondiale. À travers ses innovations, son rôle économique, scientifique, culturel et diplomatique, elle a contribué de manière décisive au Bien Commun.


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Introduction[modifier | modifier le wikicode]

La famille Gillet appartient à la bourgeoisie lyonnaise. Issue d’un milieu modeste dans les monts du Lyonnais, elle s’élève au XIXᵉ siècle grâce à l’esprit d’innovation et à l’audace entrepreneuriale de François Gillet (1813-1895), fondateur des Établissements Gillet. Par son invention du « noir impérial » et par son expansion dans le textile et la chimie, la famille devient l’une des plus grandes dynasties industrielles françaises, avant de se rapprocher de Rhône-Poulenc. Elle incarne une lignée où l’industrie, la science, la banque, la diplomatie et la culture se rejoignent au service du Bien Commun.

Armoiries et devise[modifier | modifier le wikicode]

Fichier:Blason-vierge-ALFI.svg
Blason de la famille Gillet
  • Armes : non
  • Devise : Labor et Innovatio (« Par le travail et l’innovation »).

Chronologie agnatique[modifier | modifier le wikicode]

Génération I[modifier | modifier le wikicode]

  • François Gillet (1813-1895), teinturier et industriel, fondateur des Établissements Gillet.

Marié à Marie Pierron (1812-1892).

Génération II[modifier | modifier le wikicode]

  • Émilie Gillet (1841-1925) × Dr Hugues Chatin (1825-1875), médecin, maire de Sainte-Colombe.
  • Joseph Gillet (1843-1923), directeur des Établissements Gillet, vice-président du Crédit lyonnais, administrateur de sociétés, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Mathilde Perrin (1845-1908).
  • François Gillet (1846-1897), industriel, chimiste, maire d’Izieux. Marié à Marie Mas puis à Jeanne Humblot (1859-?).
  • Marie-Joséphine Gillet (1852-1889) × Henri de Montgolfier (1847-1914), issu de la célèbre famille des inventeurs.

Génération III[modifier | modifier le wikicode]

  • Marguerite Gillet (1866-1959) × Henri Balaÿ (1865-1928), administrateur de sociétés.
  • Edmond Gillet (1873-1931), industriel, président du Comptoir des Textiles Artificiels, administrateur de Rhône-Poulenc, régent de la Banque de France. Marié à Léonie Motte (1883-1965).
  • Paul Gillet (1874-1971), président de Progil, administrateur de Pechiney, collectionneur d’art, propriétaire de la Villa Gillet. Marié à Marguerite Blanchet (1883-1959).
  • Charles Gillet (1879-1972), industriel, administrateur de Rhône-Poulenc et Progil. Marié à Marcelle Garin (1885-1977).

Génération IV[modifier | modifier le wikicode]

  • Marguerite Gillet (1904-1986) × Ennemond Bizot (1900-1988).
→ Jean-François Bizot (1944-2007), patron de presse (Actuel, Radio Nova).  
  • Denise Gillet (1906-1995) × François Brossette (1906-1964).
  • Michel Gillet (1909-1989), PDG de Gillet-Thaon. Marié à Aline Ravier (1914-?).
  • Robert Gillet (1912-2003), diplomate, ambassadeur de France au Maroc et en Espagne. Marié à Aliette de Pracomtal (1922-2023).
  • Renaud Gillet (1913-2001), PDG de Rhône-Poulenc, administrateur de Danone et UCB. Marié à Marie Colcombet.
  • Bernard Gillet (1919-2016) × Hélène Janoray.

Descendance François Gillet cadet (branche parallèle)[modifier | modifier le wikicode]

  • Henri Gillet (1885-1955) × Suzanne Pelvoisin.
  • Pierre Gillet (1886-1915) × Thérèse Auloix.
  • Thérèse Gillet (1887-?) × Général Louis Jamont (1873-1951).
 → Descendance Jamont, dont Marie-Pierre Jamont (1920-1990) × Jean Sangnier (1912-2011), journaliste.  
  • Suzanne Gillet (1889-1987) × Constant Balaÿ (1879-1930).
  • Geneviève Gillet (1893-?) × André Coulombel (1887-1957).

Engagement au service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]

  • Économie : François et Joseph Gillet transforment le textile lyonnais et développent la chimie, créant des milliers d’emplois.
  • Science : Joseph Gillet cofonde l’École de chimie industrielle de Lyon (1883).
  • Culture : Paul Gillet ouvre la Villa Gillet, devenue haut lieu intellectuel et culturel.
  • Diplomatie : Robert Gillet représente la France au Maroc et en Espagne.
  • Innovation mondiale : Renaud Gillet oriente Rhône-Poulenc vers la recherche pharmaceutique et chimique internationale.

Demeures et ancrages patrimoniaux[modifier | modifier le wikicode]

  • Villa Gillet (Lyon)
  • Parc de la Cerisaie (Lyon)
  • Château de Galleville (Seine-Maritime, acquis en 1984)

Bibliographie et sources[modifier | modifier le wikicode]

  • Henry Coston, Le Retour des 200 familles, 1960.
  • Marcel Peyrenet, La dynastie des Gillet : les maîtres de Rhône-Poulenc, 1978.
  • Jean Lambert-Dansette, La vie des chefs d’entreprise : 1830-1880, 1992.
  • Bernadette Angleraud, Catherine Pellissier, Les dynasties lyonnaises, Perrin, 2003.
  • Pierre Cayez, Serge Chassagne, Les patrons du Second Empire : Lyon et le Lyonnais, 2007.
  • Hervé Joly, Les Gillet de Lyon. Fortunes d’une grande dynastie industrielle, 1838-2015, Droz, 2015.
  • Article Wikipédia : Famille Gillet (CC BY-SA 4.0).

Conclusion[modifier | modifier le wikicode]

De l’invention du « noir impérial » à la direction de Rhône-Poulenc, la famille Gillet illustre l’ascension d’une dynastie partie des collines lyonnaises pour atteindre la scène industrielle et culturelle mondiale. À travers ses innovations, son rôle économique, scientifique, culturel et diplomatique, elle a contribué de manière décisive au Bien Commun.

Mentions légales[modifier | modifier le wikicode]

⚜️ Licence [CC BY-SA 4.0](https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr) – Texte dérivé de sources publiques et librement partageable. Structuration et enrichissement selon la méthode ALFI.