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La famille Toulemonde trouve ses origines attestées au tournant du XVIIᵉ siècle, dans la région de Wasquehal, Tourcoing et Roubaix, cœur du pays de Ferrain. L’ancêtre suivi est Gilles Toulemonde (1595–1662), marié en 1626 à Philippotte Wybert. À cette époque, la famille appartient encore à la catégorie des laboureurs et petits tisserands, mêlant le travail de la terre en été et l’artisanat textile en hiver.
== Introduction historique ==
La famille Toulemonde trouve ses origines attestées au tournant du XVIIᵉ siècle, dans la région de Wasquehal, Tourcoing et Roubaix, cœur du pays de Ferrain.
L’ancêtre suivi est Gilles Toulemonde (1595–1662), marié en 1626 à Philippotte Wybert. À cette époque, la famille appartient encore à la catégorie des laboureurs et petits tisserands.


On retrouve déjà des mentions précoces : en 1590, un Étienne de Toutlemonde est cité comme margliseur (sacristain) de l’église de Linselles. La famille s’inscrit ainsi dans un quadrilatère territorial formé par Wasquehal – Linselles – Tourcoing – Roubaix, caractéristique des lignées flamandes enracinées dans le travail rural et artisanal.
En 1590, un Étienne de Toutlemonde est cité comme margliseur de l’église de Linselles. La famille s’inscrit ainsi dans un quadrilatère territorial formé par Wasquehal – Linselles – Tourcoing – Roubaix.


À partir du XVIIIᵉ siècle, les Toulemonde s’installent plus nettement dans le tissage, avec une lente évolution vers une organisation préindustrielle. Leur véritable essor se produit au XIXᵉ siècle, grâce à Floris (Fleurisse) Toulemonde (1796–1872), qui épouse en 1823 à Roncq Amélie Destombe (1801–1858). Ce mariage constitue un tournant : l’alliance entre une famille de cultivateurs et négociants en grains (les Destombe) et une famille de tisserands (les Toulemonde) donne naissance à une lignée industrielle.
À partir du XVIIIᵉ siècle, les Toulemonde s’installent plus nettement dans le tissage. Leur véritable essor se produit au XIXᵉ siècle grâce à Floris (Fleurisse) Toulemonde (1796–1872) qui épouse Amélie Destombe (1801–1858). Ce mariage unit cultivateurs et négociants en grains (Destombe) à tisserands (Toulemonde).


Floris est rapidement désigné comme « fabricant » dans les actes. Dès 1833, ses inventaires témoignent d’un actif important : en dix ans, la mise initiale de 4 500 francs est multipliée par dix. Dès 1839, il installe à Roubaix une maison et une usine rue du Pays, dotée d’une machine à vapeur, de métiers mécaniques et d’une teinturerie. Le passage de l’artisanat à l’industrie est accompli.
Dès 1839, Floris installe à Roubaix une maison et une usine rue du Pays, dotée d’une machine à vapeur et de métiers mécaniques. L’artisanat devient industrie.


Le couple Floris-Amélie a une descendance nombreuse (14 enfants, dont seulement 5 survivent), qui marque l’histoire roubaisienne. Parmi eux :
== Armoiries et devise ==
* Aucune armoirie ancienne connue. 
* Symbole du nom « Tout-le-monde » → idée d’universalité.  *Proposition ALFI*: 
  - Champ d’azur : fidélité et foi. 
  - Navette d’argent posée en fasce : symbole du tissage. 
  - Trois étoiles d’or en chef : lumière des générations. 
  - Épi de blé en pointe : enracinement agricole. 
  - **Devise** : « Labor et Fides » (Le travail et la foi). 
  - **Blason proposé** : « D’azur, à une navette d’argent posée en fasce, accompagnée en chef de trois étoiles d’or et en pointe d’un épi de blé du même. »


Henri Toulemonde (1830–1875), industriel, engagé dans la vie publique roubaisienne.
== Chronologie et filiation agnatique ==
* **XVIIᵉ siècle** : Gilles Toulemonde (1595–1662) x Philippotte Wybert. 
* **XVIIIᵉ siècle** : famille de tisserands et marchands de lin. 
* **XIXᵉ siècle** : Floris Toulemonde (1796–1872) x Amélie Destombe. 
  - Henri Toulemonde (1830–1875), conseiller municipal. 
  - Jules Toulemonde (1832–1905), philanthrope, président du Cercle catholique d’ouvriers. 
  - Louis Toulemonde (1845–1915), juge au tribunal de commerce. 
* **XXᵉ siècle** : 
  - Xavier Toulemonde (1906–1953), fondateur des Trois Suisses. 
  - Brigitte Toulemonde (1927–2002) x Jean Massin, musicologue. 
  - Martin Toulemonde (né vers 1970), cofondateur de Chronodrive.


Jules Toulemonde (1832–1905), industriel et philanthrope, président du Cercle catholique d’ouvriers Saint-Martin.
== Engagement au Bien Commun ==
* **Religieux** : margliseur, confréries, patronages catholiques. 
* **Industriel** : Floris et ses fils créent des centaines d’emplois. 
* **Charitable** : bibliothèques ouvrières, écoles libres. 
* **Culturel et moderne** : Jean Massin (musicologue), Martin Toulemonde (commerce numérique).


Louis Toulemonde (1845–1915), industriel, juge au tribunal de commerce, défenseur des écoles libres.
== Demeures et mémoire ==
* Maisons-atelier (XVIIᵉ–XVIIIᵉ). 
* Maison de la rue du Pays (Roubaix, 1839). 
* Usine du Moulin Bernard (1861). 
* Villas de Barbieux et Croix (XIXᵉ–XXᵉ)
* Hôtel particulier de Neuilly (Xavier Toulemonde, Trois Suisses). 
* Mémoire familiale : cousinades, publications, allocutions (notamment 1948).


Les allocutions familiales du 125ᵉ anniversaire du mariage Floris-Amélie (1948) montrent la conscience d’un héritage industriel et spirituel : « Les peuples ne sont pas seuls à posséder une âme ; les familles aussi ont la leur » (Dom Besse).
== Alliances ==
* **Industrielles** : Destombe, Prouvost, Motte-Bossut, Mulliez, Lestienne, Flipo, Vinchon. 
* **Religieuses** : Bernardines d’Esquermes. 
* **Culturelles** : Massin (Jean, musicologue)
* **Nobiliaires** : de Fouchier, de Montozon, d’Arras, Guérin de Vaux, de Fontgalland, de Ghellinck, de Baudus, de Rorthays, d’Ornellas, Jousseaume de La Bretesche.


Dès la fin du XIXᵉ siècle, les Toulemonde sont liés aux grandes familles industrielles du Nord par des alliances stratégiques : Prouvost, Lestienne, Motte, Mulliez, Jonglez, Flipo, Vinchon, et plus tard avec des familles de noblesse et de finance : de Fouchier, de Montozon, d’Arras, Guérin de Vaux, de Fontgalland, d’Ornellas, de Baudus, de Rorthays, Jousseaume de La Bretesche.
== Annexes et témoignages ==
* Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne (1948): « Les peuples ne sont pas seuls à posséder une âme ; les familles aussi ont la leur. » 
* Témoignages : Dominique Toulemonde-Massigoux, Sylvie Lelouarn-Motte
* Portraits : Floris, Jules, Xavier, Brigitte.


Au XXᵉ siècle, la lignée illustre une continuité exceptionnelle :
== Conclusion ==
La famille Toulemonde est l’exemple d’une lignée agnatique enracinée dans la Flandre, passée de l’artisanat à l’industrie puis à l’innovation moderne. 
**Valeurs** : Foi, Travail, Transmission. 
**Figures** : Floris, Jules, Xavier, Brigitte, Martin. 
**Noblesse de service** : service des ouvriers, de l’Église, de la culture et de l’économie. 


Xavier Toulemonde (1906–1953) fonde en 1934 les Trois Suisses, acteur majeur de la vente par correspondance.
== Sources ==
* Arbres généalogiques Roglo (2025). 
* Archives paroissiales de Wasquehal, Linselles, Tourcoing, Roubaix. 
* Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne (1948)
* Publications de Dominique Toulemonde-Massigoux, Sylvie Lelouarn-Motte. 
* Témoignages familiaux.


Brigitte Toulemonde (1927–2002) épouse le musicologue Jean Massin (1917–1986), couple d’historiens et biographes de Beethoven, Mozart et Victor Hugo.
== Mention légale ==
Texte établi selon le SCRIPT ALFI, fidèle aux sources. Licence : CC BY-SA 4.0, d’après données publiques et familiales.


Martin Toulemonde (né vers 1970) cofonde Chronodrive en 2004, pionnier du commerce alimentaire en ligne et drive, prolongeant l’esprit d’innovation.
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Ainsi, la famille Toulemonde incarne une noblesse de service caractérisée par trois valeurs dominantes :
 
1. Travail (de la terre au textile, puis à l’industrie et au commerce moderne).
 
2. Foi (pietas familiale, Bernardines d’Esquermes, prêtres, patronage catholique).
 
3. Transmission (alliances fécondes, mémoire entretenue par des cousinades et publications familiales).
 
 
Chapitre II – Armoiries
 
1. Absence d’armoiries anciennes connues
 
À ce jour, aucune trace d’armoiries anciennes et attestées pour la famille Toulemonde n’a été retrouvée dans les armoriaux traditionnels de Flandre, d’Artois ou du Hainaut.
 
2. Usage contemporain de symboles
 
Le patronyme « Toulemonde », parfois écrit « Tout-le-monde », possède déjà une forte portée symbolique, exprimant l’idée d’une famille universelle, enracinée dans le peuple et ouverte à tous.
 
3. Proposition ALFI de blasonnement symbolique
 
Champ d’azur : fidélité et foi, rappel de la Flandre bleue.
 
Navette d’argent posée en fasce : symbole du tissage.
 
Trois étoiles d’or en chef : lumière des générations.
 
Un épi de blé en pointe : enracinement agricole.
 
Devise proposée : « Labor et Fides » (« Le travail et la foi »).
 
 
Blason proposé (ALFI) :
« D’azur, à une navette d’argent posée en fasce, accompagnée en chef de trois étoiles d’or et en pointe d’un épi de blé du même. »
 
 
Chapitre III – Chronologie et Filiation Agnatique
 
1. Première génération
 
Gilles Toulemonde (1595–1662), laboureur et tisserand, marié en 1626 à Philippotte Wybert.
 
2. XVIIᵉ siècle – Installation locale
 
Présence dans les paroisses de Wasquehal, Tourcoing, Linselles et Roubaix.
 
3. XVIIIᵉ siècle – Pré-industrie
 
Famille de tisserands de laine et marchands de lin.
 
4. XIXᵉ siècle – L’essor industriel
 
Floris Toulemonde (1796–1872) x Amélie Destombe : fondateur industriel. En 1839, maison et usine rue du Pays à Roubaix. En 1857, actif d’1 million de francs.
 
Enfants notables :
 
Henri Toulemonde (1830–1875), conseiller municipal.
 
Jules Toulemonde (1832–1905), philanthrope.
 
Louis Toulemonde (1845–1915), juge au tribunal de commerce.
 
 
5. XXᵉ siècle – Diversification
 
Xavier Toulemonde (1906–1953), fondateur des Trois Suisses.
 
Brigitte Toulemonde (1927–2002), épouse de Jean Massin, musicologue.
 
Martin Toulemonde, cofondateur de Chronodrive.
 
 
Chapitre IV – Engagement au Bien Commun
 
Service civique et religieux : margliseur, confréries, marguilliers de Saint-Martin.
 
Service industriel : Floris et ses fils créent des centaines d’emplois, développent Roubaix.
 
Service charitable : patronages, bibliothèques ouvrières, soutien aux écoles libres.
 
Service culturel et moderne : Jean Massin, musicologue ; Martin Toulemonde, innovation numérique.
 
 
Chapitre V – Demeures et Mémoire
 
Maisons-atelier (XVIIᵉ–XVIIIᵉ).
 
Maison de la rue du Pays (Roubaix, 1839).
 
Usine du Moulin Bernard (1861, détruite en 1885 puis reconstruite).
 
Villas de Barbieux et Croix (XIXᵉ–XXᵉ).
 
Hôtel particulier de Neuilly (Xavier Toulemonde, Trois Suisses).
 
Mémoire familiale : cousinades, publications, allocutions (notamment 1948).
 
 
Chapitre VI – Alliances
 
Alliances industrielles :
 
Destombe, Prouvost, Motte-Bossut, Mulliez, Lestienne, Flipo, Vinchon.
 
Alliances religieuses :
 
Bernardines d’Esquermes, familles catholiques ferventes.
 
Alliances culturelles :
 
Massin (Jean, musicologue et historien).
 
Alliances nobiliaires :
 
de Fouchier, de Montozon, d’Arras, Guérin de Vaux, de Fontgalland, de Ghellinck, de Baudus, de Rorthays, d’Ornellas, Jousseaume de La Bretesche.
 
 
Chapitre VII – Annexes et Témoignages
 
Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne (1948) : « Les peuples ne sont pas seuls à posséder une âme ; les familles aussi ont la leur. »
 
Témoignages : Dominique Toulemonde-Massigoux, Sylvie Lelouarn-Motte.
 
Portraits : Floris, Jules, Xavier, Brigitte.
 
Mémoire orale : piété, travail, cousinades.
 
 
Chapitre VIII – Conclusion Générale
 
La famille Toulemonde est l’exemple d’une lignée agnatique enracinée dans la Flandre, qui a su passer de l’artisanat à l’industrie, puis à l’innovation moderne.
 
Valeurs : Foi, Travail, Transmission.
 
Figures : Floris, Jules, Xavier, Brigitte, Martin.
 
Noblesse de service : service des ouvriers, de l’Église, de la culture, de l’économie.
 
Rayonnement : alliances avec les plus grandes familles industrielles, culturelles et nobiliaires.
 
 
Elle constitue une lignée modèle dans la vision de l’ALFI, enracinée dans l’histoire, active dans le présent, tournée vers l’avenir.
 
 
📜 Sources et références :
 
Arbres généalogiques Roglo (2025).
 
Archives paroissiales de Wasquehal, Linselles, Tourcoing, Roubaix.
 
Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne, 1948.
 
Publications de Dominique Toulemonde-Massigoux et Sylvie Lelouarn-Motte.
 
Témoignages familiaux.
 
 
ℹ️ Texte établi selon le SCRIPT ALFI, fidèle aux sources.
Licence : CC BY-SA 4.0, d’après données publiques et familiales.


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Dernière version du 13 octobre 2025 à 00:26

Introduction historique[modifier | modifier le wikicode]

La famille Toulemonde trouve ses origines attestées au tournant du XVIIᵉ siècle, dans la région de Wasquehal, Tourcoing et Roubaix, cœur du pays de Ferrain. L’ancêtre suivi est Gilles Toulemonde (1595–1662), marié en 1626 à Philippotte Wybert. À cette époque, la famille appartient encore à la catégorie des laboureurs et petits tisserands.

En 1590, un Étienne de Toutlemonde est cité comme margliseur de l’église de Linselles. La famille s’inscrit ainsi dans un quadrilatère territorial formé par Wasquehal – Linselles – Tourcoing – Roubaix.

À partir du XVIIIᵉ siècle, les Toulemonde s’installent plus nettement dans le tissage. Leur véritable essor se produit au XIXᵉ siècle grâce à Floris (Fleurisse) Toulemonde (1796–1872) qui épouse Amélie Destombe (1801–1858). Ce mariage unit cultivateurs et négociants en grains (Destombe) à tisserands (Toulemonde).

Dès 1839, Floris installe à Roubaix une maison et une usine rue du Pays, dotée d’une machine à vapeur et de métiers mécaniques. L’artisanat devient industrie.

Armoiries et devise[modifier | modifier le wikicode]

  • Aucune armoirie ancienne connue.
  • Symbole du nom « Tout-le-monde » → idée d’universalité. *Proposition ALFI*:
 - Champ d’azur : fidélité et foi.  
 - Navette d’argent posée en fasce : symbole du tissage.  
 - Trois étoiles d’or en chef : lumière des générations.  
 - Épi de blé en pointe : enracinement agricole.  
 - **Devise** : « Labor et Fides » (Le travail et la foi).  
 - **Blason proposé** : « D’azur, à une navette d’argent posée en fasce, accompagnée en chef de trois étoiles d’or et en pointe d’un épi de blé du même. »

Chronologie et filiation agnatique[modifier | modifier le wikicode]

  • **XVIIᵉ siècle** : Gilles Toulemonde (1595–1662) x Philippotte Wybert.
  • **XVIIIᵉ siècle** : famille de tisserands et marchands de lin.
  • **XIXᵉ siècle** : Floris Toulemonde (1796–1872) x Amélie Destombe.
 - Henri Toulemonde (1830–1875), conseiller municipal.  
 - Jules Toulemonde (1832–1905), philanthrope, président du Cercle catholique d’ouvriers.  
 - Louis Toulemonde (1845–1915), juge au tribunal de commerce.  
  • **XXᵉ siècle** :
 - Xavier Toulemonde (1906–1953), fondateur des Trois Suisses.  
 - Brigitte Toulemonde (1927–2002) x Jean Massin, musicologue.  
 - Martin Toulemonde (né vers 1970), cofondateur de Chronodrive.  

Engagement au Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]

  • **Religieux** : margliseur, confréries, patronages catholiques.
  • **Industriel** : Floris et ses fils créent des centaines d’emplois.
  • **Charitable** : bibliothèques ouvrières, écoles libres.
  • **Culturel et moderne** : Jean Massin (musicologue), Martin Toulemonde (commerce numérique).

Demeures et mémoire[modifier | modifier le wikicode]

  • Maisons-atelier (XVIIᵉ–XVIIIᵉ).
  • Maison de la rue du Pays (Roubaix, 1839).
  • Usine du Moulin Bernard (1861).
  • Villas de Barbieux et Croix (XIXᵉ–XXᵉ).
  • Hôtel particulier de Neuilly (Xavier Toulemonde, Trois Suisses).
  • Mémoire familiale : cousinades, publications, allocutions (notamment 1948).

Alliances[modifier | modifier le wikicode]

  • **Industrielles** : Destombe, Prouvost, Motte-Bossut, Mulliez, Lestienne, Flipo, Vinchon.
  • **Religieuses** : Bernardines d’Esquermes.
  • **Culturelles** : Massin (Jean, musicologue).
  • **Nobiliaires** : de Fouchier, de Montozon, d’Arras, Guérin de Vaux, de Fontgalland, de Ghellinck, de Baudus, de Rorthays, d’Ornellas, Jousseaume de La Bretesche.

Annexes et témoignages[modifier | modifier le wikicode]

  • Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne (1948): « Les peuples ne sont pas seuls à posséder une âme ; les familles aussi ont la leur. »
  • Témoignages : Dominique Toulemonde-Massigoux, Sylvie Lelouarn-Motte.
  • Portraits : Floris, Jules, Xavier, Brigitte.

Conclusion[modifier | modifier le wikicode]

La famille Toulemonde est l’exemple d’une lignée agnatique enracinée dans la Flandre, passée de l’artisanat à l’industrie puis à l’innovation moderne.

    • Valeurs** : Foi, Travail, Transmission.
    • Figures** : Floris, Jules, Xavier, Brigitte, Martin.
    • Noblesse de service** : service des ouvriers, de l’Église, de la culture et de l’économie.

Sources[modifier | modifier le wikicode]

  • Arbres généalogiques Roglo (2025).
  • Archives paroissiales de Wasquehal, Linselles, Tourcoing, Roubaix.
  • Allocution de Joseph Toulemonde-Lestienne (1948).
  • Publications de Dominique Toulemonde-Massigoux, Sylvie Lelouarn-Motte.
  • Témoignages familiaux.

Mention légale[modifier | modifier le wikicode]

Texte établi selon le SCRIPT ALFI, fidèle aux sources. Licence : CC BY-SA 4.0, d’après données publiques et familiales.