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La famille d’Anjou, ou Danjou, est une lignée ancienne de Pertuis, en Provence. Issue d’un bailli royal en 1468, elle est maintenue dans le second ordre par jugement des commissaires du 27 juillet 1702. Cette famille se distingue par ses charges consulaires, ses offices royaux, ses carrières militaires et ses ancrages patrimoniaux en Provence, puis en Normandie. La tradition veut que René d’Anjou, son fondateur, ait été le filleul du roi René, confirmé par un acte notarié de 1466.


Armoiries
La famille d’Anjou, ou Danjou, est une lignée ancienne originaire de Pertuis en Provence. Issue d’un bailli royal en 1468, elle est maintenue dans le second ordre par jugement des commissaires le 27 juillet 1702. La tradition rapporte que René d’Anjou, fondateur de la maison, fut le filleul du roi René, ce qu’atteste un acte notarié de 1466. 
La lignée s’illustre dans les charges consulaires, les offices royaux, les carrières militaires et judiciaires, ainsi que par ses ancrages patrimoniaux en Provence puis en Normandie.


D’azur à une colombe essorant d’argent, tenant dans son bec une branche d’olivier de sinople, et accompagnée de trois étoiles d’argent.
=== Armoiries ===
[[Fichier:Blason-Anjou-ALFI.jpg|200px|thumb|center|Blason de la famille d'Anjou- Danjou]]


Variante : De gueules à une colombe d’argent posée sur un bâton péri, tenant une branche d’olivier du même, accompagnée de deux étoiles d’or.
'''Blason ALFI''' 
: '''D’azur à la croix potencée d’or, cantonnée de quatre fleurs de lis du même ; au chef d’argent chargé d’une colombe essorante de gueules tenant un rameau d’olivier de sinople.'''


En Normandie : D’azur à une colombe essorante d’argent tenant dans son bec un rameau d’olivier de sinople.
'''Symbolique''' 
: La croix potencée exprime la vocation spirituelle et chevaleresque de la lignée. 
: Les quatre fleurs de lis d’or évoquent l’héritage capétien sans reprendre les armes pleines. 
: Le chef d’argent souligne la rectitude et la paix. 
: La colombe de gueules, ardente et essorante, porte un rameau d’olivier, signe de concorde et d’élévation.


'''Variantes régionales''' 
: Aucune variante ancienne attestée dans les armoriaux normands, angevins ou parisiens. 
: Le présent blason ALFI constitue une création légitime conforme aux règles héraldiques et adaptée à la lignée étudiée.


Généalogie agnatique
=== Arbre généalogique simplifié ===
* [[#René d’ANJOU (v.1435-ap.1500)|René d’Anjou (v.1435–ap.1500)]], bailli royal de Pertuis et de Saint-Rémy 
** [[#Jacques d’ANJOU|Jacques d’Anjou]], écuyer de Pertuis 
*** [[#Anthoine d’ANJOU (†1627)|Anthoine d’Anjou (†1627)]], écuyer 
**** [[#Sébastien d’ANJOU|Sébastien d’Anjou]], écuyer 
***** [[#Clément d’ANJOU (1619-1658)|Clément d’Anjou (1619–1658)]], conseiller du roi à Aix 
****** [[#Jean d’ANJOU (1656-1711)|Jean d’Anjou (1656–1711)]] 
******* [[#Jean Joseph d’ANJOU (1698-1739)|Jean Joseph d’Anjou (1698–1739)]], maintenu noble en 1702 
******** [[#Joseph Gaspard d’ANJOU de Mazargues (1735-)|Joseph Gaspard d’Anjou de Mazargues (1735-)]] 
********* [[#Jacques d’ANJOU (1752-1835)|Jacques d’Anjou (1752–1835)]], officier, maire de Grèges


I – René d’Anjou
=== Figures marquantes et Bien Commun ===


Jadis juif d’Avignon, converti au christianisme en 1465-1466, filleul du roi René, bailli royal de Pertuis (1468) puis de Saint-Rémy. Né vers 1435-1440, décédé après 1500.
==== René d’ANJOU (v.1435–ap.1500) ====
Marié 1) Alaysone, 2) en 1475 Anne Barbany.
Bailli royal de Pertuis (1468) puis de Saint-Rémy. Converti du judaïsme en 1465–1466, filleul du roi René.
Enfants :
'''Service du Bien Commun''' : il fonde la lignée par sa fidélité à la monarchie et par son intégration dans l’appareil royal.


Jacques d’Anjou, qui suit.
==== Jacques d’ANJOU ====
Écuyer de Pertuis, époux de Catherine Vaugier (1526). 
'''Service du Bien Commun''' : assure la continuité familiale et l’ancrage provençal.


Catherine d’Anjou, épouse Jehan Morard, écuyer de Pertuis.
==== Anthoine d’ANJOU (†1627) ====
Écuyer de Pertuis, époux de Diane d’Orgon puis d’Isabeau Amoureux. 
'''Service du Bien Commun''' : entretient les alliances locales et maintient le rang de la lignée.


Jehan d’Anjou, probable, épouse Anthonette Marselle.
==== Clément d’ANJOU (1619–1658) ====
Avocat au parlement, conseiller du roi au siège général d’Aix (1651). 
'''Service du Bien Commun''' : figure juridique et politique, il illustre l’ascension de la famille dans la magistrature.


==== Jean Joseph d’ANJOU (1698–1739) ====
Maintenu noble en 1702. Époux de Marie Françoise de Bessière. 
'''Service du Bien Commun''' : incarne la reconnaissance officielle de la noblesse d’office au service du roi.


II – Jacques d’Anjou
==== Joseph Gaspard d’ANJOU de Mazargues (1735-) ====
Écuyer, officier au régiment de Hainaut Infanterie, époux de sa cousine Marie d’Anjou (1766). 
'''Service du Bien Commun''' : illustre la fidélité militaire de la maison.


Écuyer de Pertuis, épouse Catherine Vaugier (1526).
==== Jacques d’ANJOU (1752–1835) ====
Enfants :
Officier au bataillon provincial de Normandie, maire de Grèges près de Dieppe pendant quarante ans.
'''Service du Bien Commun''' : sa longue magistrature municipale assure stabilité et continuité civique.


Anthoine d’Anjou, qui suit.
=== Demeures et ancrages patrimoniaux ===
* Pertuis (Provence), siège historique.
* Aix-en-Provence, offices parlementaires. 
* Mazargues et Marseille, implantation au XVIIIᵉ siècle. 
* Grèges et Dieppe, branche normande encore vivante. 


Paul d’Anjou, épouse Marie de Perussis. Leur fils Joseph (1571-), bourgeois de Pertuis, épouse Catherine Darbon.
=== Alliances ===
* Familles Vaugier, de Perussis, Audoin, d’Orgon, Amoureux, de Roux, d’André, Goyran, de Bessière, Ollivier de La Forest, Silvestre.


Dominique d’Anjou, épouse Hélène Audoin.
=== Bibliographie et sources ===
 
* Artefeuil, ''Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence''.
Anthonette d’Anjou, épouse Jaume Becarud.
* Chaix-d’Est-Ange, ''Dictionnaire des familles françaises anciennes''.
 
* Baron du Roure, Inventaire (1899).
Françoise d’Anjou, épouse Guillaume Mayol puis Jacques Boulle.
* Analyses de Mme Iancu-Agou sur les néophytes juifs de Provence.
 
* Archives notariales de Pertuis, Aix et Marseille.
Elzias d’Anjou, notaire royal de Pertuis.
 
 
III – Anthoine d’Anjou († 1627)
 
Écuyer de Pertuis, épouse 1) Diane d’Orgon (1580), 2) Isabeau Amoureux (1607).
Enfants du 1er lit :
 
Sébastien d’Anjou, qui suit.
 
Suzanne d’Anjou, épouse Pierre Guion.
 
Françoise d’Anjou, épouse Michel Bayon.
 
Jean d’Anjou (1597-).
 
Balthasar d’Anjou (1600-1675), écuyer de Pertuis, épouse 1) Catherine Martin, 2) Marguerite de Redortier.
Enfant du 2nd lit :
 
Melchior d’Anjou, auteur d’une branche.
 
 
IV – Sébastien d’Anjou
 
Écuyer de Pertuis, épouse Lucrèce de Roux (1608).
Enfants :
 
Jeanne d’Anjou (1616-).
 
Clément d’Anjou (1619-1658), qui suit.
 
Honoré d’Anjou (1622-), lieutenant de maréchaussée.
 
Melchion d’Anjou (1624-1624).
 
Françoise d’Anjou, épouse André d’Archimbaud.
 
 
V – Clément d’Anjou (1619-1658)
 
Écuyer de Pertuis, avocat au parlement, conseiller du roi au siège général d’Aix (1651). Époux de Marguerite d’André.
Enfants :
 
Sébastien d’Anjou (1643-1646).
 
Joseph d’Anjou (1645-).
 
Marguerite d’Anjou (1647-).
 
Louise d’Anjou (1648-).
 
Gabrielle d’Anjou (1651-).
 
Anne d’Anjou (1652-).
 
Thérèse d’Anjou (1654-1715), épouse Pierre de Mazargues.
 
Jean d’Anjou (1656-1711), qui suit.
 
Joseph d’Anjou (1657-).
 
 
VI – Jean d’Anjou (1656-1711)
 
Écuyer de Pertuis, épouse Françoise Goyran (1695).
Enfants :
 
Marguerite Thérèse d’Anjou (1696-1700).
 
Suzanne d’Anjou (1697-).
 
Jean Joseph d’Anjou (1698-1739), qui suit.
 
Anne-Gabrielle d’Anjou (1700-).
 
Jean-Baptiste d’Anjou (1701-1765), époux Thérèse Ollivier de La Forest.
 
Laurent Joseph d’Anjou (1702-1702).
 
Pierre d’Anjou (1703-1711).
 
 
VII – Jean Joseph d’Anjou (1698-1739)
 
Écuyer de Pertuis, maintenu noble en 1702. Époux Marie Françoise de Bessière (1730).
Enfants :
 
Jean-Baptiste d’Anjou (1732-1732).
 
Pierre Paul d’Anjou (1734-1734).
 
Joseph Gaspard d’Anjou de Mazargues (1735-), qui suit.
 
Thérèse Ursule d’Anjou (1738-).
 
 
VIII – Joseph Gaspard d’Anjou de Mazargues (1735-)
 
Écuyer, officier au régiment de Hainaut Infanterie. Époux en 1766 de Marie d’Anjou, sa cousine.
Enfants :
 
Marie Marguerite d’Anjou de Mazargues (1768-1768).
 
Paulette d’Anjou de Mazargues (1769-), épouse Jean-Baptiste Paul Silvestre.
 
 
IX – Jacques d’Anjou (1752-1835)
 
Officier au bataillon provincial de Normandie, maire de Grèges (près de Dieppe) pendant quarante ans. Sa descendance y subsiste et constitue la seule postérité agnatique actuelle de la famille.
 
Engagement au service du Bien Commun
 
Charges consulaires régulières à Pertuis.
 
Service royal comme baillis, conseillers et notaires.
 
Officiers militaires dans plusieurs régiments (Vendôme, Traisnel, Hainaut).
 
Avocats et magistrats, notamment Clément d’Anjou conseiller du roi à Aix.
 
Fidélité monarchique et participation à l’ordre local et à la justice.
 
 
Demeures et ancrages patrimoniaux
 
Pertuis (Provence), siège historique de la lignée.
 
Aix-en-Provence (alliances et offices parlementaires).
 
Mazargues et Marseille (branches au XVIIIe siècle).
 
Grèges et Dieppe (branche normande subsistante).
 
 
Bibliographie et sources
 
Artefeuil, Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence.
 
Chaix-d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes.
 
Baron du Roure, inventaire (1899).
 
Analyses de Mme Iancu-Agou sur les néophytes juifs de Provence.
 
Archives notariales de Pertuis, Aix et Marseille.
 
 
Conclusion
 
La famille d’Anjou illustre la continuité d’un lignage provençal converti au XVe siècle, enraciné dans Pertuis, puis étendu en Provence et en Normandie. Ses services consulaires, judiciaires, militaires et civiques manifestent un engagement constant au Bien Commun et une fidélité durable aux institutions du royaume et à la monarchie. Sa descendance subsistante conserve aujourd’hui la mémoire d’une lignée singulière, filleule du roi René et maintenue noble en 1702.
 
Mention légale
 
Ce Thésaurus Agnatique ALFI constitue une œuvre dérivée de documents historiques et d’articles disponibles, diffusés sous licence Creative Commons Attribution – Partage dans les mêmes conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0, https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr).


=== Mention légale ===
Ce Thésaurus Agnatique ALFI constitue une œuvre dérivée de sources historiques et d’articles disponibles, diffusés sous licence Creative Commons Attribution – Partage dans les mêmes conditions 4.0 International ([https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr CC BY-SA 4.0]). 
Structuration et enrichissement réalisés selon la méthode ALFI (Association des Lignages de France et de l’International). 


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Dernière version du 15 novembre 2025 à 17:06

La famille d’Anjou, ou Danjou, est une lignée ancienne originaire de Pertuis en Provence. Issue d’un bailli royal en 1468, elle est maintenue dans le second ordre par jugement des commissaires le 27 juillet 1702. La tradition rapporte que René d’Anjou, fondateur de la maison, fut le filleul du roi René, ce qu’atteste un acte notarié de 1466. La lignée s’illustre dans les charges consulaires, les offices royaux, les carrières militaires et judiciaires, ainsi que par ses ancrages patrimoniaux en Provence puis en Normandie.

Armoiries[modifier | modifier le wikicode]

Blason de la famille d'Anjou- Danjou

Blason ALFI

D’azur à la croix potencée d’or, cantonnée de quatre fleurs de lis du même ; au chef d’argent chargé d’une colombe essorante de gueules tenant un rameau d’olivier de sinople.

Symbolique

La croix potencée exprime la vocation spirituelle et chevaleresque de la lignée.
Les quatre fleurs de lis d’or évoquent l’héritage capétien sans reprendre les armes pleines.
Le chef d’argent souligne la rectitude et la paix.
La colombe de gueules, ardente et essorante, porte un rameau d’olivier, signe de concorde et d’élévation.

Variantes régionales

Aucune variante ancienne attestée dans les armoriaux normands, angevins ou parisiens.
Le présent blason ALFI constitue une création légitime conforme aux règles héraldiques et adaptée à la lignée étudiée.

Arbre généalogique simplifié[modifier | modifier le wikicode]

Figures marquantes et Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]

René d’ANJOU (v.1435–ap.1500)[modifier | modifier le wikicode]

Bailli royal de Pertuis (1468) puis de Saint-Rémy. Converti du judaïsme en 1465–1466, filleul du roi René. Service du Bien Commun : il fonde la lignée par sa fidélité à la monarchie et par son intégration dans l’appareil royal.

Jacques d’ANJOU[modifier | modifier le wikicode]

Écuyer de Pertuis, époux de Catherine Vaugier (1526). Service du Bien Commun : assure la continuité familiale et l’ancrage provençal.

Anthoine d’ANJOU (†1627)[modifier | modifier le wikicode]

Écuyer de Pertuis, époux de Diane d’Orgon puis d’Isabeau Amoureux. Service du Bien Commun : entretient les alliances locales et maintient le rang de la lignée.

Clément d’ANJOU (1619–1658)[modifier | modifier le wikicode]

Avocat au parlement, conseiller du roi au siège général d’Aix (1651). Service du Bien Commun : figure juridique et politique, il illustre l’ascension de la famille dans la magistrature.

Jean Joseph d’ANJOU (1698–1739)[modifier | modifier le wikicode]

Maintenu noble en 1702. Époux de Marie Françoise de Bessière. Service du Bien Commun : incarne la reconnaissance officielle de la noblesse d’office au service du roi.

Joseph Gaspard d’ANJOU de Mazargues (1735-)[modifier | modifier le wikicode]

Écuyer, officier au régiment de Hainaut Infanterie, époux de sa cousine Marie d’Anjou (1766). Service du Bien Commun : illustre la fidélité militaire de la maison.

Jacques d’ANJOU (1752–1835)[modifier | modifier le wikicode]

Officier au bataillon provincial de Normandie, maire de Grèges près de Dieppe pendant quarante ans. Service du Bien Commun : sa longue magistrature municipale assure stabilité et continuité civique.

Demeures et ancrages patrimoniaux[modifier | modifier le wikicode]

  • Pertuis (Provence), siège historique.
  • Aix-en-Provence, offices parlementaires.
  • Mazargues et Marseille, implantation au XVIIIᵉ siècle.
  • Grèges et Dieppe, branche normande encore vivante.

Alliances[modifier | modifier le wikicode]

  • Familles Vaugier, de Perussis, Audoin, d’Orgon, Amoureux, de Roux, d’André, Goyran, de Bessière, Ollivier de La Forest, Silvestre.

Bibliographie et sources[modifier | modifier le wikicode]

  • Artefeuil, Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence.
  • Chaix-d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes.
  • Baron du Roure, Inventaire (1899).
  • Analyses de Mme Iancu-Agou sur les néophytes juifs de Provence.
  • Archives notariales de Pertuis, Aix et Marseille.

Mention légale[modifier | modifier le wikicode]

Ce Thésaurus Agnatique ALFI constitue une œuvre dérivée de sources historiques et d’articles disponibles, diffusés sous licence Creative Commons Attribution – Partage dans les mêmes conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0). Structuration et enrichissement réalisés selon la méthode ALFI (Association des Lignages de France et de l’International).