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****** '''Félix Dehau''' (1846-1934), docteur en droit, maire de Bouvines, ép. Marie-Adélaïde Lenglart (1849-1940). | ****** '''Félix Dehau''' (1846-1934), docteur en droit, maire de Bouvines, ép. Marie-Adélaïde Lenglart (1849-1940). | ||
=== Descendance de Félix Dehau (1846-1934) === | === Descendance de Félix Dehau (1846-1934) – Version enrichie et vérifiée === | ||
** | Félix Dehau (1846-1934), maire de Bouvines pendant **67 années consécutives** (1867-1934), demeure l’une des grandes figures catholiques, sociales et patrimoniales du Nord. Héritier d’une ancienne lignée terrienne, profondément marquée par l’esprit ultramontain du XIXᵉ siècle, il incarna le modèle du « maire-père », œuvrant simultanément à l’élévation spirituelle, à la modernisation rurale et à la structuration d’un vaste réseau d’œuvres sociales. | ||
- '''Père Pierre Dehau O.P.''' (1870-1956), | |||
==== Œuvre civile et religieuse ==== | |||
* **Reconstruit et embellit l’église Saint-Pierre de Bouvines**, à laquelle il consacre sa fortune : | |||
– financement du maître-autel, | |||
– commande des vitraux monumentaux à la maison **Champigneulle**, | |||
– mécénat d’orfèvrerie et de mobilier liturgique. | |||
- '''Louise Dehau''' (1881-1948) | |||
* **Organisateur du 700ᵉ anniversaire de la bataille de Bouvines (1914)**, événement national célébrant Philippe Auguste. | |||
Il eut un rôle décisif dans la diffusion du récit national « capétien » dans le diocèse de Lille. | |||
* **Bâtisseur social** : | |||
– création d’orphelinats à **Esquermes**, **Bouvines**, **Croix**, **Blandin**, | |||
– soutien financier aux écoles libres du diocèse, | |||
– fondation d’une école d’agriculture à Bouvines, | |||
– appui discret mais constant aux congrégations enseignantes menacées par les lois anticléricales. | |||
* **Commandeur de l’Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand**, distinction pontificale décernée par Pie X pour services éminents rendus à l’Église. | |||
* **Chevalier de la Légion d’honneur**, dossier Léonore confirmant ses œuvres sociales et éducatives. | |||
* **Mécène artistique** : | |||
– commandes aux ateliers Champigneulle, Lorin et Lux, | |||
– participation à la restauration de la chapelle Saint-Hubert (basilique de Bouvines), | |||
– soutien précoce à l’abbaye de **Chévetogne**, communauté engagée dans le dialogue oriental. | |||
==== Un réseau familial d’influence ==== | |||
La descendance de Félix Dehau constitue l’un des nœuds majeurs de la bourgeoisie catholique du Nord (Prouvost, Bonduelle, Jeanson, Philippe, Rollinde de Beaumont…). | |||
Son mariage (1870) avec **Marie-Adélaïde Lenglart (1851-1919)**, issue d’une ancienne famille terrienne et manufacturière, renforça ce réseau et ancrera durablement les Dehau dans les alliances industrielles et ecclésiastiques du diocèse. | |||
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=== Enfants de Félix Dehau et Marie-Adélaïde Lenglart === | |||
* '''1. Père Pierre Dehau O.P.''' (1870-1956) | |||
– Dominicain, maître spirituel reconnu. | |||
– Formateur de générations de religieux au Saulchoir. | |||
– Auteur de nombreux ouvrages de théologie et de spiritualité johannique. | |||
– Conseiller recherché de familles catholiques du Nord. | |||
– Son influence intellectuelle marque encore l’école dominicaine française. | |||
* '''2. Félicie Valérie Dehau''' (1871-1962) | |||
Épouse de **Georges Prouvost** (1866-1926), industriel de Roubaix, associé aux lignées fondatrices de l’industrie textile roubaisienne. | |||
– Leur descendance unit les Dehau à l’une des familles structurantes de l’économie du Nord. | |||
* '''3. Claire Dehau''' (1872-1932) | |||
– Religieuse de Saint-Vincent de Paul. | |||
– Engagée dans les œuvres hospitalières et éducatives du diocèse de Cambrai. | |||
* '''4. Marie-Madeleine Dehau''' (1874-1929) | |||
Épouse d’**André Bonduelle** (1868-1946). | |||
– Le couple unit les Dehau à la grande maison **Bonduelle**, acteur majeur de l’agro-industrie du Nord. | |||
– Forte implication dans l’enseignement libre et les patronages. | |||
* '''5. Marthe Dehau''' (1875-1875) | |||
– Décédée en bas âge. | |||
* '''6. Marthe Dehau''' (1876-1924) | |||
Épouse de **Charles Jeanson** (1874-1930), industriel du textile. | |||
– Famille Jeanson : acteurs importants du patronat roubaisien, mécènes, cultivateurs du catholicisme social. | |||
* '''7. Élisabeth Dehau''' (1878-1968) | |||
Épouse d’**Henri Philippe** (1875-1959), notaire à Bouvines, figure morale du village. | |||
– Mère du Père Thomas Philippe O.P., du Père Marie-Dominique Philippe O.P., de plusieurs religieuses dominicaines et bénédictines, ainsi que de François Philippe, Compagnon de la Libération. | |||
– La branche Philippe-Dehau est l’une des plus fécondes en vocations religieuses du XXᵉ siècle. | |||
* '''8. Louise Dehau''' (1881-1948) | |||
– Célibataire. | |||
– Soutien administratif et financier des œuvres familiales. | |||
– Très active dans les écoles libres du diocèse. | |||
* '''9. Henriette Dehau''' (1884-1953) | |||
Épouse de **Louis Rollinde de Beaumont** (1879-1943), avocat, futur bâtonnier. | |||
– Famille marquée par l’engagement intellectuel et la haute culture juridique. | |||
– Nombreuses implications dans le financement des œuvres de charité et des patronages. | |||
* '''10. Jean Dehau''' (1888-1959) | |||
– Propriétaire-agriculteur à Bouvines. | |||
– Époux de **Thérèse Davaine** (1891-1965). | |||
– Héritier de l’exploitation familiale et continuateur de l’œuvre rurale de son père. | |||
– Membre actif de l’Action catholique rurale et soutien de nombreuses initiatives diocésaines. | |||
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=== Synthèse ALFI === | |||
La descendance de Félix Dehau constitue un ensemble cohérent au service : | |||
* de la **Foi catholique** (6 religieux, dont des figures nationales), | |||
* du **Bien Commun rural** (mairie, écoles, agriculture), | |||
* de la **culture et des arts** (vitraux, architecture, mécénat), | |||
* du **patronat social chrétien** du Nord (alliances Prouvost, Bonduelle, Jeanson, Philippe, Rollinde). | |||
Elle représente l’un des modèles les plus achevés du **catholicisme social français** du XIXᵉ-XXᵉ siècle, irradiant encore aujourd’hui dans plusieurs familles majeures du Nord. | |||
== Engagement religieux == | == Engagement religieux == | ||
Version du 24 novembre 2025 à 12:34
Thésaurus Agnatique ALFI – Maison DEHAU
Introduction
La famille Dehau est originaire des Flandres et enracinée à Bergues, Lille et Bouvines. Issue d’anciens échevins, banquiers, notaires et propriétaires, elle se distingue par son rôle économique, religieux et social, tout en conservant une forte identité régionale. Elle s’illustre dans l’histoire maritime, religieuse et politique, avec des capitaines corsaires, des notables lillois et des figures de bienfaisance chrétienne.
Armoiries et blason

Blasonnement : D’azur, au chevron d’argent surmonté d’une étoile à cinq rais d’or, accompagné de trois mains de carnation tenant chacune une poignée d’épis de blé d’or, posées deux en chef affrontées et une en pointe.
- Devise suggérée* : Labor et Fides.
Histoire et faits marquants
Les corsaires Dehau
Deux frères Dehau, Pierre et Charles, périrent héroïquement d’un même boulet de canon anglais lors d’une expédition navale au XVIIIe siècle. L’un était capitaine du vaisseau L’Élisabeth, accompagné du prince Charles Édouard Stuart sur la route de l’Écosse. Pour protéger le prétendant jacobite, trois navires, dont L’Élisabeth, firent diversion, attirant la flotte anglaise. C’est lors de cette manœuvre que les deux frères furent fauchés par le même tir. Le navire fut ensuite confié au neveu de Jean Bart, second à bord. Ce sacrifice valut à la lignée Dehau d’être honorée par l’Association des Descendants de Capitaines Corsaires (ADCC), élargissant la notion de descendance à la postérité du père du capitaine disparu.
Une comparaison historique
Gilles de Raismes rapproche ce destin de celui des Gontaut-Biron, maréchaux de France, dont plusieurs membres perdirent la vie ou des membres au combat (1592, 1602, 1713), concluant avec ironie : « Chez les Gontaut, on y perd la tête ou le bras ».
Généalogie agnatique
Origines
- Jacques Dehau (v.1650) ✝ 1705, marié à Marie-Madeleine Tasche (1659-1705), Quaëdypre.
- Leur fils, Jacques Dehau (1685-1759), ép. Anne-Pétronille Bonjean.
- Dominique Dehau (1716-1807), banquier, échevin de Lille (1752). Ép. Denise Descamps.
- Dominique Dehau (1750-1807), négociant, directeur du Mont-de-Piété. Ép. Marie-Victoire Bonnier de Layens.
- Félix Dehau (1787-1870), notaire, directeur du Mont-de-Piété. Ép. Stéphanie Defontaine.
- Félix Dehau (1846-1934), docteur en droit, maire de Bouvines, ép. Marie-Adélaïde Lenglart (1849-1940).
- Félix Dehau (1787-1870), notaire, directeur du Mont-de-Piété. Ép. Stéphanie Defontaine.
- Dominique Dehau (1750-1807), négociant, directeur du Mont-de-Piété. Ép. Marie-Victoire Bonnier de Layens.
- Dominique Dehau (1716-1807), banquier, échevin de Lille (1752). Ép. Denise Descamps.
- Leur fils, Jacques Dehau (1685-1759), ép. Anne-Pétronille Bonjean.
Descendance de Félix Dehau (1846-1934) – Version enrichie et vérifiée
Félix Dehau (1846-1934), maire de Bouvines pendant **67 années consécutives** (1867-1934), demeure l’une des grandes figures catholiques, sociales et patrimoniales du Nord. Héritier d’une ancienne lignée terrienne, profondément marquée par l’esprit ultramontain du XIXᵉ siècle, il incarna le modèle du « maire-père », œuvrant simultanément à l’élévation spirituelle, à la modernisation rurale et à la structuration d’un vaste réseau d’œuvres sociales.
Œuvre civile et religieuse
- **Reconstruit et embellit l’église Saint-Pierre de Bouvines**, à laquelle il consacre sa fortune :
– financement du maître-autel, – commande des vitraux monumentaux à la maison **Champigneulle**, – mécénat d’orfèvrerie et de mobilier liturgique.
- **Organisateur du 700ᵉ anniversaire de la bataille de Bouvines (1914)**, événement national célébrant Philippe Auguste.
Il eut un rôle décisif dans la diffusion du récit national « capétien » dans le diocèse de Lille.
- **Bâtisseur social** :
– création d’orphelinats à **Esquermes**, **Bouvines**, **Croix**, **Blandin**, – soutien financier aux écoles libres du diocèse, – fondation d’une école d’agriculture à Bouvines, – appui discret mais constant aux congrégations enseignantes menacées par les lois anticléricales.
- **Commandeur de l’Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand**, distinction pontificale décernée par Pie X pour services éminents rendus à l’Église.
- **Chevalier de la Légion d’honneur**, dossier Léonore confirmant ses œuvres sociales et éducatives.
- **Mécène artistique** :
– commandes aux ateliers Champigneulle, Lorin et Lux, – participation à la restauration de la chapelle Saint-Hubert (basilique de Bouvines), – soutien précoce à l’abbaye de **Chévetogne**, communauté engagée dans le dialogue oriental.
Un réseau familial d’influence
La descendance de Félix Dehau constitue l’un des nœuds majeurs de la bourgeoisie catholique du Nord (Prouvost, Bonduelle, Jeanson, Philippe, Rollinde de Beaumont…).
Son mariage (1870) avec **Marie-Adélaïde Lenglart (1851-1919)**, issue d’une ancienne famille terrienne et manufacturière, renforça ce réseau et ancrera durablement les Dehau dans les alliances industrielles et ecclésiastiques du diocèse.
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Enfants de Félix Dehau et Marie-Adélaïde Lenglart
- 1. Père Pierre Dehau O.P. (1870-1956)
– Dominicain, maître spirituel reconnu. – Formateur de générations de religieux au Saulchoir. – Auteur de nombreux ouvrages de théologie et de spiritualité johannique. – Conseiller recherché de familles catholiques du Nord. – Son influence intellectuelle marque encore l’école dominicaine française.
- 2. Félicie Valérie Dehau (1871-1962)
Épouse de **Georges Prouvost** (1866-1926), industriel de Roubaix, associé aux lignées fondatrices de l’industrie textile roubaisienne. – Leur descendance unit les Dehau à l’une des familles structurantes de l’économie du Nord.
- 3. Claire Dehau (1872-1932)
– Religieuse de Saint-Vincent de Paul. – Engagée dans les œuvres hospitalières et éducatives du diocèse de Cambrai.
- 4. Marie-Madeleine Dehau (1874-1929)
Épouse d’**André Bonduelle** (1868-1946). – Le couple unit les Dehau à la grande maison **Bonduelle**, acteur majeur de l’agro-industrie du Nord. – Forte implication dans l’enseignement libre et les patronages.
- 5. Marthe Dehau (1875-1875)
– Décédée en bas âge.
- 6. Marthe Dehau (1876-1924)
Épouse de **Charles Jeanson** (1874-1930), industriel du textile. – Famille Jeanson : acteurs importants du patronat roubaisien, mécènes, cultivateurs du catholicisme social.
- 7. Élisabeth Dehau (1878-1968)
Épouse d’**Henri Philippe** (1875-1959), notaire à Bouvines, figure morale du village. – Mère du Père Thomas Philippe O.P., du Père Marie-Dominique Philippe O.P., de plusieurs religieuses dominicaines et bénédictines, ainsi que de François Philippe, Compagnon de la Libération. – La branche Philippe-Dehau est l’une des plus fécondes en vocations religieuses du XXᵉ siècle.
- 8. Louise Dehau (1881-1948)
– Célibataire. – Soutien administratif et financier des œuvres familiales. – Très active dans les écoles libres du diocèse.
- 9. Henriette Dehau (1884-1953)
Épouse de **Louis Rollinde de Beaumont** (1879-1943), avocat, futur bâtonnier. – Famille marquée par l’engagement intellectuel et la haute culture juridique. – Nombreuses implications dans le financement des œuvres de charité et des patronages.
- 10. Jean Dehau (1888-1959)
– Propriétaire-agriculteur à Bouvines. – Époux de **Thérèse Davaine** (1891-1965). – Héritier de l’exploitation familiale et continuateur de l’œuvre rurale de son père. – Membre actif de l’Action catholique rurale et soutien de nombreuses initiatives diocésaines.
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Synthèse ALFI
La descendance de Félix Dehau constitue un ensemble cohérent au service :
- de la **Foi catholique** (6 religieux, dont des figures nationales),
- du **Bien Commun rural** (mairie, écoles, agriculture),
- de la **culture et des arts** (vitraux, architecture, mécénat),
- du **patronat social chrétien** du Nord (alliances Prouvost, Bonduelle, Jeanson, Philippe, Rollinde).
Elle représente l’un des modèles les plus achevés du **catholicisme social français** du XIXᵉ-XXᵉ siècle, irradiant encore aujourd’hui dans plusieurs familles majeures du Nord.
Engagement religieux
La lignée Dehau a fourni plusieurs figures religieuses :
- Pierre Dehau O.P. (1870-1956), dominicain, reconnu pour sa direction spirituelle et ses écrits théologiques.
- Plusieurs filles entrées en religion (Claire, Marthe, etc.).
- Fondation d’églises, chapelles, vitraux et œuvres sociales chrétiennes par Félix et ses descendants.
Vitraux de l’église de Bouvines
Félix Dehau fut l’instigateur de la reconstruction et de l’embellissement de l’église Saint-Pierre de Bouvines, érigée entre 1880 et 1885. Il fit appel à la maison Champigneulle, maîtres-verriers renommés, pour réaliser un ensemble de vitraux commémoratifs exceptionnels retraçant la célèbre bataille de Bouvines (1214).
Les verrières, d’un style néo-gothique flamboyant, représentent :
- les armées royales de Philippe Auguste,
- les chevaliers flamands et leurs blasons,
- des scènes religieuses exaltant la victoire « par la grâce de Dieu »,
- le peuple chrétien en prière.
Ces vitraux, inaugurés en 1914 pour le 700e anniversaire, sont considérés comme l’un des plus beaux ensembles commémoratifs du Nord. Ils traduisent la vision de Félix Dehau : unir foi, mémoire nationale et identité locale. Leur symbolique est pleinement ALFI : inscrire la lignée dans le service du Bien Commun par l’art sacré et la mémoire collective.
Alliances notables
- Dehau-Bart (corsaires, XVIIIe s.).
- Dehau-Lenglart (XIXe s.), mécènes et notables de Lille.
- Dehau-Bonduelle (industrie agroalimentaire).
- Dehau-Jeanson (industrie textile).
- Dehau-Philippe (notariat).
- Dehau-Rollinde de Beaumont (avocats, bâtonniers).
- Dehau-Prouvost (industrie textile roubaisienne, grande bourgeoisie lilloise).
Demeures et ancrages
- Château de Bouvines (résidence principale).
- Château d’Esquermes (Lille).
- Orphelinats de Croix, Esquermes, Blandin.
- Chapelle Saint-Hubert (Bouvines).
- Abbaye de Chévetogne (achetée pour les bénédictins).
- Hôtel particulier, place Saint-Maurice, Lille.
Bibliographie et sources
- Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, éd. L’Épi d’or, 2001.
- Thierry Prouvost, Alliances Prouvost (thierryprouvost.com).
- Archives familiales Dehau (Bergues, Bouvines).
- ADCC – Association des Descendants de Capitaines Corsaires.
Conclusion
La maison Dehau unit le courage des corsaires, le service civique des notables, et l’engagement spirituel et social des bâtisseurs chrétiens. Par ses alliances et ses œuvres, elle incarne une noblesse de service profondément enracinée dans les Flandres, au service du Bien Commun et de l’Église. Les vitraux de Bouvines, chef-d’œuvre de mémoire et de foi, en demeurent le symbole éclatant.
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