Thesaurus de la lignée PROUVOST
Armoiries et devise
| Famille Prouvost |
|---|
| Armoiries : D’argent au sautoir de gueules, au chef d’azur chargé de deux roues d’or. |
| Devise : Laus Deo Semper (Pierre Prouvost, 1748) |
| Fiefs et ancrages : Wasquehal, Roubaix, Lille, Croix, Bondues |
| Branches : Aînée (Henri) · Puînée (Liévin) · Cadette (Amédée) |
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Hôtel Prouvost (Roubaix, MH)
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Château du Vert-Bois à Bondues (Fondation Septentrion)
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Château de Drée (Saône-et-Loire)
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Hôtel Virnot de Lamissart-Prouvost (Lille)
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La Lainière de Roubaix (site historique)
La famille patricienne des Prouvost constitue l’un des plus anciens lignages civils des Flandres françaises. Elle incarne, depuis le XIVModèle:E siècle, la continuité du travail, de la foi et de l’engagement social au service du Bien Commun. Son histoire, ancrée à Roubaix et Wasquehal, illustre la transformation d’une dynastie de maîtres de manufacture en familles de mécènes, d’industriels, d’artistes et de bâtisseurs.
Pour dessiner chez les Prouvost, la notion de SERVIR,
principe des élites,
un héritage spirituel :
nous commencerons par ces deux citations:
Pierre Prouvost dans la généalogie qu'il rédigea en 1748 : « Voila la description des descendants des Prouvost et de ceux qui se sont alliez jusques a la fin de cette année mille sept cens quarante huit. Et on peut dire sans vanité, que lesdits du surnom Prouvost, ont toujours vécu en gens de biens, d’honneurs et de bonne réputation en la foi catholique apostolique et romaine et les plus notables des villages qu’ils ont habitez " et le littéraire C. Lecigne, en 1911, publié chez Grasset, au sujet du poète Amédée Prouvost: " Dès l’âge de cinq ans, Amédée Prouvost se sentit dépositaire d’une tradition et comme l’héritier présomptif d’une royale lignée : l apprit un à un le nom de ses prédécesseurs et que chacun d’eux signifiait depuis quatre siècles et demi, beaucoup d’honneur, de travail et de foi chrétienne. On ne voulut pas qu’il puisse méconnaître ce passé et, si, par impossible, il lui arrivait d’être infidèle, qu’il eût l’excuse de l’ignorance. Un jour le père prit la plume et, sans orgueil, sans autre prétention que de donner à ses enfants la conscience intégrale de leurs origines, il écrivit les annales de sa famille. Avant tout, il songea à celui qui était son premier né, l’espérance de la dynastie ; il s’adressa à lui : « Je crois utile, mon cher fils, dès tes premiers pas dans ta vie d’écolier, de t’initier à ce que tes maîtres ne pourront t’enseigner avec autant de persuasion que ton père, j’entends L’amour de la famille, Le respect de ses traditions d’honneur, Un attachement inébranlable aux convictions religieuses de nos pères, et leur fidélité aux traditions monarchiques. Je considère comme un devoir De te donner comme modèle cette lignée d’ancêtres."
1. Origines et fondements agnatiques
Vers 1368, Jehan Prouvost, juge de la seigneurie de Croix, porte un écu au sautoir accompagné de deux roues d’or. Il est le premier témoin connu du lignage. Son descendant Jehan dit « des Huchons », seigneur de Wasquehal et échevin de Roubaix, est en 1469 le bras droit de Pierre de Roubaix. Il participe à la fameuse charte de Roubaix autorisant la fabrication de draps de laine. Sous Charles Quint, Guillaume Prouvost (né v.1580) unit censive et industrie, devenant l’un des maîtres de manufacture les plus prospères du plat pays.

S'ils descendent d'une lignée de propriétaires aisés installée à Wasquehal et les environs selon les travaux sur les archives réalisés par le généalogiste Alain Watine-Ferrant en 2012, les Prouvost actuels ont traditionnellement été reliés aux voisins Prouvost des Huchons du XV° siècle autour du fief des Huchons et le sont cognatiquement (par les femmes): Jehan Prouvost, dit des Huchons, seigneur de Wasquehal en 1469 ( achat de seigneurie non validé aujourd'hui ), échevin de Roubaix, était le bras droit de Pierre de Roubaix, proche de Charles de Bourgogne. " Dès 7 heures du matin, le 15 du mois de novembre 1469, le bailli Jean de Langlée, les échevins Jean de Buisnes et Jean Prouvost, dit des Huçons, les deux lieutenants Jean Fournier et Guillaume Agache, se rendirent au château de Roubaix construit par Pierre de Roubaix (1415-1498), chambellan du duché de Bourgogne, fils de Jean, troisième chevalier de la Toison d’Or , premier chambellan de Charles, duc de Bourgogne, pour lui témoigner la reconnaissance de ses sujets pour avoir obtenu la charte de Roubaix qui donnait à la ville le droit de faire draps de toute laine. " [iii] " Jean Prouvost est le "grand ancêtre" de la famille Prouvost ", nous disaient les Albert Prouvost, ce qui est vrai par les femmes suite aux travaux d' Alain Watine-Ferrant.
Voici la généalogie validée par Alain Watine-Ferrant:
Guilbert Prouvost, né à Wasquehal vers 1455, dont Jehan Prouvost, c1485-1586, dont Wuillaume dont Jehan Prouvost, né en 1545, époux Antoinette Le Blan, né vers 1545, décédé à Wasquehal vers 1590: ils furent laboureurs à Wasquehal, c'est-à-dire propriétaire terrien aisé. Puis Jean; son fils, Guillaume Prouvost est, sous Charles Quint, nous dit Lecigne, « le grand modèle de la race : il associe ses fils à son labeur et à ses affaires ». Il exploitait " plus de 26 bonniers de bonnes terres et de lieux manoirs situés sur les villages de Bondues, Marcq-en-Baroeul, Roubaix et Tourcoing et avait de plus de 12.000 florins en capital de bonnes rentes héritières sur des particuliers solvables; « ils étaient encore laboureurs d'une de leur fermes » généalogie par Pierre Prouvost de 1748. [iv] Il faisait aussi le négoce de la laine peignée et des filets de sayette qu’il faisait peigner, blanchir et ensuite filer dans l’Artois où se trouvaient de nombreuses fileuses au rouet et à la quenouille. C’est donc à lui que font allusion Hilaire et Trénard dans leur « Histoire de Roubaix » [v] : " Depuis Charles Quint, les mêmes familles dominent la Fabrique Roubaisienne : Pollet, Mulliez, Prouvost, Van Reust (qui devient Voreux), Leclercq, Roussel, Fleurquin, Florin, Malfait. Elles assurent la majorité de la production." et on reconnaît ici des noms durant dans l’économie de la France depuis 500 ans. Pierre Prouvost épousa Marguerite des Tombes, d'une famille "roubaisienne depuis 1643, ayant donné sept échevins de Roubaix en cinq générations, et ce n'est pas son seul mérite." Leuridan [vi]
- dont Jean Prouvost (1630-1670) dont Robert Prouvost (1660-1670), lieutenant de la Seigneurie de Wasquehal.
Catherine Prouvost épousa, à la fin du XVI° siècle, Noël de le Rue, issue des seigneurs de La Rue, alias de Le Rue, à Roubaix, d’une famille connue à Roubaix dès le XIII° siècle. [vii]
Antoinette Prouvost épouse Pierre de Courchelles. [viii]
Jean Prouvost épousa en 1677 Barbe de Lespaul, de la branche cadette de la grande famille roubaisienne et lui porta en dot l’un des fiefs du Fresnoy.[ix]
2. Époque moderne (XVIIModèle:E–XVIIIModèle:E siècles)
Pierre II Prouvost (1648-1691), échevin de Wasquehal épousa Marguerite de Lespaul, fille de Jacques, seigneur du Gauquier à Wattrelos, lieutenant de Roubaix, maître de manufacture en 1690, réputé le plus riche de Roubaix et Jehanne de le Dicque, fille de Gilles de le Dicque, Seigneur de la Boutillerie à Watrelos et Marguerite Flameng, dame de la Boutillerie, d'une famille notable de nombreux échevins et trois religieuses à l'hôpital Sainte Elisabeth; on voit leurs enfants à Lille. [x]Les représentants de cette branche de la famille de Lespaul, dont les Prouvost-de Lespaul, « favoris de la fortune, ont quitté Roubaix pour s’établir à Lille, où, insensiblement, ils ont pris rang parmi la noblesse. Leur départ était, en novembre 1696, mis au nombre des malheurs publics. » Ils faisaient partie des principales familles de Lille depuis peu rattachée au Royaume de France : les Prouvost eurent alors l’honneur d’être inhumés sous le pavement des principales églises de Lille ou dans les chapelles latérales, Saint Etienne, Saint André, Sainte Catherine, Saint Pierre, comme ils le furent en les églises de Roubaix et de Wasquehal avant que furent interdites les inhumations à l’intérieur des sanctuaires. [xi]
Jacques I Prouvost (1670-1704), pierre tombale de marbre près de l'autel Saint Nicolas de l'église de Wasquehal, épouse à l'église Sainte Madeleine de Lille le 08-04-1698, Antoinette Masurel (1670-1730). [xii]
Son fils, Pierre III Prouvost 1675-1749 marié à Saint-Etienne de Lille, avec Marie-Elisabeth Boutry, puis, veuf, avec Marie Claire Béatrix Trubert de Boisfontaines 1687-1715, inhumée grande nef de l'Eglise Saint Pierre, Lille, Nord. Il rédigea en 1748 la première généalogie de la famille Prouvost: « Voila la description des descendants des Prouvost et de ceux qui se sont alliez jusques a la fin de cette année mille sept cens quarante huit. Et on peut dire sans vanité, que lesdits du surnom Prouvost, ont toujours vécu en gens de biens, d’honneurs et de bonne réputation en la foi catholique apostolique et romaine et les plus notables des villages qu’ils ont habitez ". Sa belle-sœur Elisabeth-Julie Trubert de Boisfontaine, dame de La Vigne, épousa Philippe Emmanuel du Bus, comte du Bus, seigneur de Moustier, Ogimont et d'Acquignies; les deux autres furent religieuses à Argenteuil.[xiii]
Son fils Pierre III Prouvost, 1699-1770, maître de manufacture, échevin de la Ville de Roubaix, épousa à Roubaix Marie Jeanne Delebecque; Flandres : d’azur à un chevron d’or accompagné, en chef, de deux vols d’argent et, en pointe, d’une bécasse d’or. Inhumé en 1770 en l'église de Roubaix avec épitaphe. [xiv]
Jacques II Prouvost (1699-1774) inhumé dans l'église de Roubaix, Maître de manufacture, épouse à Roubaix Marie-Agnès Florin, fille de Jean-Nicolas Florin, membre de la Manufacture de Roubaix et administrateur de la table des Pauvres et Marie Catherine de Surmont (1692-1744), inhumée en l'église de Roubaix, soeur de Pierre Constantin Florin, Député suppléant aux Etats généraux de Versailles et premier maire de Roubaix, de deux religieuses de l'abbaye de Wevelghem et des Brigittines à Lille: Jacques n'étant pas fils de maître, il entre dans la manufacture en 1734 grâce à son mariage avec la fille d'un maître.". [xv]Un des cinquante maîtres de manufactures compris dans le corps de métiers en 1761, taxé à 10 livres d'impôts, dans son livre de fabrique, il mentionne les tissus suivants : “ satains de laine, satains anglais, les minorques, les prunelles, les satains soie “. Leur succession en 1775 dénombre leurs nombreux biens à Bondues, Tourcoing, Wasquehal, Roubaix, Estainpuis et Willems. [xvi]
Pierre Prouvost, né en 1725, à Roubaix, avait épousé Marie-Catherine Ramery dit de Boulogne, de Mons, en Belgique. Il était l’un des cinquante maîtres de manufacture de tissus. [xvii]
Béatrix Prouvost, née en 1728, fut chanoinesse de Saint Augustin, prieure de l'hôpital Saint Elisabeth de Roubaix qu'avait fondé en 1500 Isabeau de Roubaix, en 1764 et s'illustra lors de la Révolution.:“ Sœur Béatrix ressuscitera un jour sous le pinceau d’Amédée Prouvost. " Lecigne
Aimée-Joseph Prouvost, décédée en 1819, épouse Louis-Urbain Virnot de Lamissart, 1779-1837 ; ils habitaient le magnifique hôtel Virnot de Lamissart-Prouvost sur l’Esplanade à Lille, dont un fils Urbain-Léon Virnot de Lamissart. [xviii]
Jean-Baptiste Prouvost épousa la sœur de Louis-Urbain, Rose-Marie Virnot de Lamissart (1772-1851), sans postérité; remariée à Marie-Jean-Charles Gennart, son beau-frère légua pour construire le Palais Rameau à Lille. Ils étaient familiers de l’hôtel des parents de Rose-Marie, rue Royale et de l’hôtel Virnot, place Saint Martin à Lille (il en existe encore les invitations) et de la vie de collectionneurs et mécènes autour de Charles Lenglart, les Watteau, les van Blarenberghe. Il y eut deux autres mariages Prouvost et Virnot au XX° siècle. [xix]
| texte = « Les Prouvost ont toujours vécu en gens de biens, d’honneur et de bonne réputation en la foi catholique, apostolique et romaine. » | source = Pierre Prouvost (1748)
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3. XIXModèle:E siècle : municipalité et décollage industriel
Pierre IV Constantin Prouvost (1747-1808) échevin de Roubaix sous l'Ancien Régime , "Maître de Manufacture" puis maire de Roubaix le 13 août 1795, l'un des principaux fabricants roubaisiens après avoir échappé à la guillotine par la grâce de la "Réaction Thermidorienne" épouse Marie Henriette des Tombes, fille de Jean Joseph des Tombes, 12° du nom, échevin de Roubaix comme ses oncles Charles et Jean et soeur de Louis-Joseph des Tombes, échevin; Reçu "Maître de Manufacture" en 1777, il devint l'un des principaux fabricants roubaisiens et, avant la Révolution, figurait en tête des habitants les plus imposés de la paroisse. Sa « vertueuse femme » Henriette Destombes s’alarmait de cette prospérité pour l’avenir spirituel de ses enfants. [xx] "Homme généreux et probe, il avait proposé à sa commune trois actions principales. D'abord, venir en aide aux pauvres. Ensuite, protéger les cultivateurs dont les charrois réquisitionnés les forçaient à négliger les champs. Enfin, défendre l'hygiène de Roubaix dont les citoyens laissaient devant les domiciles des amas de boue et d'immondices ». Le souci des autres pour faire leur bonheur, déjà." " On peut le considérer comme le fondateur de la fortune industrielle des Prouvost ". [xxi]
Henri I Prouvost (1783-1850) Maire adjoint de Roubaix, membre du Conseil de fabrique de Saint Martin à Roubaix, administrateur des hospices, Maître de manufacture, épouse Liévine Defrenne, fille de Liévin Joseph de Frenne, Maître de manufacture, marchand drapier, administrateur des hospices, " chef de la branche aînée de la très ancienne famille de Frenne ou de Fresnes " (Leuridan). [xxii]
Pierre Constantin Prouvost (1747-1808), officier de la Garde Nationale
dont François-Henri Prouvost, avocat Cour de Bruxelles épx de Julia d'Elhougne dt Marie ép d'Edmond d'Heilly
Georges Jules Prouvost, avocat, conseiller à la cour d'appel d'Amiens, lieutenant des Gardes Nationaux époux de Marie Lucie de Mailly. [xxiii]
D’où les trois Branche : ainée Henri II Prouvost 1810-1857 Puinée Liévin Prouvost 1818-1869 Cadette Amédée I Prouvost 1820-1885
4. L’âge d’or roubaisien (1850–1914)
- Branche cadette – Amédée
- Amédée I Prouvost (1820–1885) reçoit en 1867 Napoléon III et l’impératrice Eugénie à la Lainière.
- Amédée II (1853–1927), président du Peignage, mécène et bibliophile.
- Amédée III (1877–1909), poète lauréat de l’Académie française.
- Branche aînée – Henri
- Henri III, IV et V se succèdent à la tête des œuvres sociales et paroissiales.
- Branche puînée – Liévin
- Déploiement artistique (Camille et Ernest Prouvost, peintres) et civique (présidence de la Société d’émulation).
5. Les grandes figures économiques & culturelles (XXModèle:E siècle)
- Jean Prouvost (1885–1978), « gentilhomme de la presse » : fondateur de Paris Match, Marie Claire, Télé 7 Jours, mécène et modernisateur des médias français.
- Albert-Eugène Prouvost (1882–1962) : président du syndicat des peigneurs, collectionneur de tableaux impressionnistes.
- Albert-Auguste Prouvost (1909–1991) × Anne de Maigret : président du Peignage, fondateur du CIL du Nord et de la Fondation Septentrion. Accueille Élisabeth II en 1957.
Albert-Bruno Prouvost Polytechnicien, disparu prématurément.
- Évelyne Prouvost (1939–2017), directrice du groupe Marie-Claire, symbole du renouveau féminin français.
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Jean Prouvost, « gentilhomme de la presse »
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Albert-Auguste et Anne Prouvost-de Maigret
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Visite d’Élisabeth II à Roubaix (1957)
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Albert-Eugène Prouvost, président des Peigneurs
6. Figures contemporaines
Fondateur de l’A.L.F international, historien-généalogiste et auteur de L’Identité harmonieuse. Créateur du Thésaurus agnatique et du Thésaurus visuel agnatique. À travers Pour Vous les Princes, il prolonge l’esprit de ses aïeux par l’art du gala, la beauté et la transmission du Bien Commun.
Philosophe et docteur (Sorbonne et ICP), professeur au Grand Séminaire Saint-André Kaggwa de Kinshasa, auteur de travaux d’ontologie et de philosophie chrétienne.
Violoniste française de renommée internationale. Formée au CNSMD de Paris puis à la Juilliard School (New York), disciple de Zino Francescatti. Lauréate de concours internationaux, elle enregistre et enseigne la musique française avec ferveur et noblesse.
- Bertrand Prouvost
Héritier de l’esprit d’entreprise et du service du Bien Commun, il allie discernement, culture et action. Son regard sur les structures économiques contemporaines s’enracine dans la tradition industrielle roubaisienne et l’éthique du devoir héritée des ancêtres.
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Thierry Prouvost, fondateur de l’A.L.F.I.
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Géry Prouvost, philosophe et enseignant
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Gaëtane Prouvost, violoniste
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Bertrand Prouvost, entrepreneur et humaniste
7. Le Bien Commun et l’héritage moral
Depuis Jehan des Huchons (1469) jusqu’à la fondation de l’A.L.F.I., la famille Prouvost manifeste une continuité d’esprit :
- service des pauvres et des hospices,
- mécénat culturel et éducatif,
- fidélité religieuse et liturgique,
- union du labeur et de la beauté.
Leur trajectoire incarne une noblesse de service : l’excellence mise au service des autres.
8. Demeures et ancrages patrimoniaux
- Hôtel Prouvost (Roubaix) – Monument historique
- Hôtel Virnot de Lamissart-Prouvost (Lille)
- Château du Vert-Bois (Bondues)
- Château de Drée (Curbigny)
- Hôtel Amédée Prouvost (Roubaix)
9. Bibliographie & sources
- Pierre Prouvost, Généalogie (1748)
- C. Lecigne, Amédée Prouvost, Grasset, 1911
- A.-E. Prouvost, Toujours plus loin, 1992
- J. Prouvost, Mémoires, archives familiales
- T. Prouvost, La Saga des Prouvost, 2010
- Wikipedia:Famille Prouvost (CC BY-SA 4.0)
10. Mention légale
Ce Thésaurus agnatique ALFI est établi à partir des fonds ALFI, du texte original de Thierry Prouvost (2010), de sources publiques et familiales, sous licence CC BY-SA 4.0. Crédits visuels : ALFI / ayants droit.
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