Thesaurus de la famille De RODE, DERODE

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Armes : D'azur au chevron d'or accompagné de trois trèfle de même.


Le patronyme De Rode se dit en Flamand van Rode. R(h)ode désigne, en flamand, une surface gagnée sur la forêt par défrichage. Cette dénomination correspond au terme français "essart".

Ce patronyme semble donc indiquer que la personne ainsi désignée provient d'une localité nommée "Rode" et s'y rattache à un titre quelconque"

Origine de la famille : l’article dans Wikipedia : « elle semble liée à celle des van Rode de Bruges, famille patricienne de Belgique »

Derode-de-Rode-Collage



Descendance agnatique


Gilles Derode 1615 &1640 Marguerite Bouchault | Paul Derode 1646-1680

Officier de la Monnaie de Lille, négociant, marchand drapier &1668 Antoinette de Lannoy 1648 | Paul Derode 1680-1755 &1708 Marie Catherine du Riez | Philippe Joseph Derode 1709-1759

Négociant &1729 Marie Barbe Reynaert | Philippe Edouard de Rode 1730 &1759

Henriette Duhem


derodederode

derode

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Philippe Edouard Joseph Derode 1760-1833

Conseiller municipal de Lille

époux en 1785 de Sophie Charlotte Joseph Rouzé 1767-1805

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Prosper Félix Fortuné Derode 1790 1852 Négociant juge au Tribunal de commerce &1817

époux d'

Henriette Rose Désirée Dathis 1797-1850

belle soeur d'Eugénie van Blarenberghe, de la grande dynastie de peintres du Roi.

MedYorktown2 Van Blarenberghe MedYorktown1 Van Blarenberghe

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henriette dathisprosper%20derode

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Pierre d'ASTICES †/1381 | Jean d'ASTICES †/1413 | Jean d'ASTICES | Bertrand d'ASTICES ca 1440- | Guillemin d'ASTICES | Pierre d'ASTICES | Mathis d'ATICHE †1602/ | Jean d'ATICHE †/1653 | Charles d'ATHIS 1632-1683/ | Philippe André d'ATHIS ca 1660-1687 | Jean-Baptiste DATHIS 1685-1743 | Louis Augustin Joseph DATHIS 1734-1780 | Henri Auguste Joseph DATHIS 1765-1814 | Henriette Rose Désirée DATHIS 1797-1850 Prosper Félix Fortuné DERODE, né le 17 janvier 1790 - Lille, 59000, Nord, France, décédé le 6 août 1852 - Lille, 59000, Nord, France à l’âge de 62 ans, Négociant, Juge au Tribunal de Commerce de Lille | Prosper Félix Philippe DERODE 1818-1892 Marié le 1er juin 1840, Lille, 59000, Nord, France, avec Céline Julie Omérine CUVELIER, née le 17 juillet 1818 - Lille, 59000, Nord, France, décédée le 10 juin 1898 -

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Prosper Derode 1818-1892

Négociant, président du tribunal de commerce &1840

époux de Céline Cuvelier 1818-1898


Prosper Derode buste en bronzeDerode-Cuvelier


derode-cuvelier


derode-cuvelier

Lucien Jules Derode 1850-1919

Négociant,

banquier,

président de la Chambre de Commerce de Paris censeur de la Banque de France

Rameau actuel unique :

Quelques personnalités de ce rameau et alliances:


Lucien Jules Derode, né le 2 novembre 1850, Lille, décédé le 26 février 1919, Paris (75) (68 ans), négociant, banquier, président de la Chambre de Commerce de Paris censeur de la Banque de France. Marié avec Marguerite Octavie Tourangin, née en 1861, décédée,

Derode-Emmanuelderode

est né le 02.11.1850 à Lille. Il est négociant en denrées coloniales, banquier et Président de la Chambre de Commerce de Paris de 1903 à 1905. Il est Membre du Conseil d'Escompte Banque France IVème Siège du 27.06.1889 au 30.01.1908 et Censeur de la Banque de France IIème Siège du 30.01.1908 à sa mort. Il épouse Marguerite Octavie Tourangin, née en 1861, fille d'Arthur Tourangin, Préfet, et d' Emma Odru. Lucien décède le 26.02.1919 à Paris, au 44 rue Henri Martin. Ses obsèques ont lieu le 01.03.1919 en l'Eglise Saint-Honoré-d'Eylau.

Palais-Potocki

Derode President Chambre Commerce Paris

Derode president Chambre Commerce Paris

DerodeDerode-Emmanuel%


frère de Louise, Madame Urbain Dominique Virnot-Derode 1837-1914 Urbain Virnot Derode Virnot-Tourangin Urbain-Virnot-Derode Blason-Derode Louise derode

Thérèse Tourangin 1870-1920 &1890 Albert Dominique Virnot 1864-1910,

fils de Urbain Dominique Virnot 1837-1914 et Louise Angélique Félicie Derode 1841-1870


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Prosper Derode 1818-1892 &1840 Céline Cuvelier 1818-1898

Derode-Cuvelier

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Lucien Jules Derode 1850-1919 & Marguerite Octavie Tourangin 1861


Louise Angélique Félicie Derode 1841-1870

Louise derode

&1860 Urbain Dominique Virnot 1837-1914

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Emmanuel Derode 1887-1956


Albert Dominique Virnot 1864-1910 &1890 Thérèse Tourangin 1870-1920

___________Nicolas Tourangin & | Jehan Tourangin 1615 & Marie Gaudon | Georges Tourangin 1647-1712 &1674 Marguerite Douceron +/1706 | Pierre Tourangin 1684-1742

Parcheminier

&1711 Jeanne Guillemin | Jacques Georges Tourangin 1721-1779

Mercier drapier à Issoudun, membre de la société des Jacobins &1746 Marie Courant 1726-1804 | Rémi Tourangin 1751-1833

Parcheminier à Issoudun

"marchand de draps et soies" en 1782.

administrateur de l'Hôtel Dieu 1773

&1782 Françoise Élisabeth Courant 1756-1821

parents-zulma-Torangin | Victor Tourangin 1788-1880

Préfet, sénateur, conseiller d’État

membre titulaire de l'Académie des Sciences, Belles Lettres, et Arts de Besançon (1848)

Prefet du Rhône (1849).

Sa sœur est Zulma Tourangin, l'une des trois grandes amies d'Honoré de Balzac, sa "carissima Zulma".

Balzaczulma_carraud

Son autre soeur, Marie Clémence Tourangin épousa, Emmanuel Cochon de Lapparent , X 1794. Il est d'abord chef de bureau auprès de son père dans les Deux-Nèthes, puis sous-préfet d'Issoudun (Indre) le 7 septembre 1805. Il sera ensuite commissaire général de police à Livourne du 1er avril 1813 au 27 avril 1814 et renommé à Issoudun, le 30 juillet 1814.

Nommé préfet de l'Hérault le 4 juin 1815, il est remplacé en juillet. Ce n'est que le 27 août 1830 qu'il sera nommé à la préfecture du Cher qu'il conservera jusqu'à sa retraite le 27 janvier 1840. » E Polti Roglo ;

Leur petit fils fut Albert Cochon de Lapparent, Ecole polytechnique (major d'entrée de la promotion 1858), corps des mines (sorti en mars 1864 de l'Ecole des mines), Membre de l'Académie des sciences (1897) dont il devient secrétaire perpétuel pour les sciences physiques (mai 1907).

Tourangin-prefet 049

&1816 Louise Milhiet 1796 | Rémi Victor Tourangin 1816-1893

Trésorier payeur général de l'Orne, hevalier de la Légion d’honneur & Cécile Cazalot 1827

| Eugène Tourangin &1885 Jeanne Véron dont : |

La descendance masculine est issue de Guy Tourangin Quelques personnalités de ces branches (sans liens généalogiques) et alliances:

1888 &1920 

&1920 Marie-Antoinette Grouvel 1897, petite fille de Pierre François Marie, baron Grouvel, colonel d’artillerie, fils et petit fils de généraux. Grouvel-Tourangin Par ses fils Rémy Tourangin 1920-2003, Yves Tourangin 1922, Bruno Tourangin 1931-2002, Henri Tourangin Bruno Tourangin, né le 1er septembre 1931, décédé le 14 août 2002, Zimmerbach (Haut-Rhin) (70 ans), lieutenant-colonel, marié avec Jacqueline Siben Henri Tourangin, marié avec Jacqueline Tardif de Petiville, petite fille de Louis Tardif de Petiville, Colonel de cavalerie, conseiller général du Calvados, officier de la Légion d’honneur, d’une famille, seigneurs de plusieurs lieux, sieur de La Croix, sieur de La Roche, de Venoix, de Petiville et d'Amayé, seigneur de Servigny et de Boisroger, écuyer; ils ont donné des officier de l'université, échevin de Caen, conseiller secrétaire du Roi près le parlement de Metz. Ont donné des officier de l'université, échevin de Caen, conseiller secrétaire du Roi près le parlement de Metz, secrétaire du président à mortier au parlement de Rouen, échevin de Caen en 1742, conseiller secrétaire du Roi en la chancellerie près le parlement de Normandie, conseiller-maître en la chambre des comptes de Normandie (1762-1789), membre des assemblées de la noblesse du baillage de Saint Sauveur Landelin (50) en 1789, colonel au corps royal d'artillerie, chevalier de Saint-Louis, conseiller général du Calvados, lieutenant de louveterie,

Tardif de Petiville

dont

Eric Tourangin, né en 1958.

Sybil Tourangin, Brazzaville (Congo). Mariée àMontmartin en Graignes (50), avec Nicolas Jeanson, né àCoutances, 50, arrière petit fils de Charles Jeanson 1874-1930 et Marthe Dehau 1876-1924 (descendance Lenglart) ...

Guy Tourangin, saint-cyrien, colonel, officier de la Légion d'honneur.

Alix Tourangin, mariée avec Bertrand du Campe de Rosamel,

Campe-Rosamel-Tourangin

fils  de Yves du Campe de Rosamel +2004 et Albine Denis du Péage, descendante de Louis Rollinde de Beaumont 1879-1943 Henriette Dehau 1884-1953 (ascendance Lenglart). Les Rosamelont donné des écuyer , seigneur de Tardinghen, d'Ostove, de Longatte, de La Feutrie et de Noir-Bonningue, seigneur de Frencq et de Rosamel, mousquetaire du Roi, enseigne au régiment de la Marine., contre-amiral, ministre de la Marine, conseiller général du Pas-de-Calais 1867-1873, capitaine de Frégate, Député et Sénateur du Pas-de-Calais., lieutenant-colonel d'artillerie., chef d’escadron d’artillerie..

Anne Tourangin, mariée avec Jean-Eric Auberger.

Odile Tourangin, mariée avec Hugues Libault de La Chevasnerie, fils de Bertrand, comte Libault de La Chevasnerie

Libault-de-la-Chevasnerie-Tourangin

et Chantal de Cacqueray-Valménier, Famille LIBAULT ;originaire de Nantes, 44 (famille issue de l'échevinage de Nantes et actuellement encore représentée).Sgr du Perray, de Beaulieu, de La Chevasnerie en St-Géréon, etc. "d'argent à six fleurs de lys de gueules 3, 2 et 1, au chef de même chargé de trois fers et piques d'argent, les pointes en haut". Une des 179 famille d'armateur négrier nantais étudiée par Pétré-Grenouilleau.Source :+ Bulletin du CGO, 1975/125. + Généalogie Boux, vice-amiral Olivier d'Hauthuille, 05/2000.$$C:\DATA.BKN\00040187.BKN maj 02/06/2000 Sources:- personne: F-L. Jacquier - généalogies nantaisesLes Libault ont été sieurs de Beaulieu et du Boisrobin, de La Templerie, de La Haye, de La Bélustrerie, du Perray et de la Templerie, échevin de la ville de Nantes, avocat au Parlement de Bretagne, brigadier des gardes du corps, secrétaire des commandements de la duchesse de Berry., organisateur de l'artillerie pontificale., comte romain en 1869, capitaine au long cours, lieutenant au 298e régiment d'infanterie, chevalier de la légion d'honneur, croix de guerre., jésuite, Fondateur en 1945 de l'Institut des Servantes de l'Agneau de Dieu., capitaine en chef de la milice bourgeoise de la Fosse, échevin (1657), sous-maire (1658)

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dont

Eugène Derode, né le 19 juillet 1882, décédé.

Lucien Derode, né le 25 juin 1883, décédé en 1914 (31 ans).

Emmanuel Derode, né le 3 octobre 1887, Paris (75), décédé le 7 avril 1956, Paris (75), inhumé le 13 avril 1956 (68 ans), banquier, président du Tribunal de Commerce de la Seine,. Marié le 8 juillet 1919 avec Marie-Françoise Thiéry-Chérer de Cabanes, dont

Derode-EmmanuelDerode-Emmanuel%emmanuel-Derode

              Philippe Lucien Derode (1926 - 1957), Croix de Guerre, Major de promotion de l'école Navale,  Chevalier de la légion d'honneur  ( monographie ci après).

Béatrice Derode, née en 1922, mariée avec Antoine Cottin.

Monique Derode, née en 1924. Mariée en 1945 avec Jacques d'Avout d'Auerstaedt, né le 7 avril 1913, décédé le 26 mai 2003, Neuilly-sur-Seine (92, Hauts de Seine), inhumé le 30 mai 2003, Menneval (27, Eure) (90 ans), ingénieur civil des mines (promotion 1935).

Base Roglo

Louis François d'Avout, seigneur de Ravinières 1739-1779

http://marechal.davout.free.fr/index_fichiers/Armorial_Davout_2.JPG ep 1769 Adélaïde Minard du Vélard 1741-1810

Louis-Nicolas Davout, duc d'Auerstaedt 1770-1823 Davout_

   http://marechal.davout.free.fr

De souche noble, fils de militaire, d'Avout ou Davout entre comme cadet-gentilhomme à l'école militaire de Paris en 1785. Ardent adepte de la Révolution, il est mis deux fois aux arrêts à cause de son comportement, donne sa démission (1791) et se fait élire lieutenant-colonel des volontaires de l'Yonne, une semaine plus tard, le 22 septembre. Envoyé dans le nord, Davout est à Neerwinden (18 mars 1793), tente en vain d'arrêter Dumouriez lorsqu'il passe à l'ennemi. Envoyé en Vendée, il est fait général de brigade puis général de division en juillet 1793, mais refuse cette promotion et démissionne pour se conformer au décret excluant de l'armée les ci-devant nobles. Il ne reprend du service qu'après l'élimination de Robespierre, à l'automne 1794, et se bat sur le Rhin en tant que général de brigade. Il s'empare de Mannheim (1795), mais est fait prisonnier à la capitulation de cette ville (18 septembre 1795).

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   Échangé peu après, il revient sur le Rhin, attaque Kehl, est à Haslach (14 juillet 1796), s'empare de la correspondance de Pichegru dans le fourgon de Klinglin (21 avril 1797), ce qui permet de découvrir les tractations de celui-ci avec les émigrés. Présenté par Desaix à Bonaparte, Davout suit celui-ci en Égypte, où il commande une brigade de cavalerie. Il y participe à la plupart des batailles, aux Pyramides, à Louqsor, à Aboukir. Il repart avec Desaix pour la France, le 3 mars 1800. Retenu un mois par les Anglais à Livoume, il arrive à Toulon le 6 mai. Promu général de division, le 3 juillet, Davout est mis à la tête de la cavalerie de l'armée d'Italie. Maréchal d'Empire le 19 mai 1804, un des quatre colonels généraux de la garde impériale, Davout joue un rôle décisif à Austerlitz, où il commande l'aile droite.     C'est encore lui qui décide de la campagne de Prusse de 1806 en soutenant le choc du gros de l'armée ennemie à Auerstaedt et en gagnant la bataille, facilitant ainsi la tâche de l'Empereur à Iéna. En récompense, Davout entre le premier dans Berlin (25 octobre 1806). Il livre encore plusieurs batailles victorieuses en Pologne, commande l'aile droite à Eylau. Duc d'Auerstaedt (28 mars 1808), gouverneur général du grand-duché de Varsovie, Davout s'illustre à nouveau durant la campagne de 1809. Vainqueur à Eckmühl, il détermine la victoire à Wagram en refoulant l'ennemi avec l'aile droite de l'armée. Napoléon le fait prince d'Eckmühl le 15 août 1809. Commandant en chef l'armée d'Allemagne depuis le début de 1810, Davout prépare l'invasion de la Russie et déclenche l'offensive.
   Préférant les solutions de Murat à celles proposées par Davout, Napoléon livre une bataille sang1ante et non décisive à la Moskova et emprunte au retour la même route qu'à l'aller, transformée en désert par la guerre. En 1813, Davout défend Dresde puis s'enferme dans Hambourg, qu'il ne livrera que le 27 mai 1814, sur ordre de Louis XVIII. Ministre de la Guerre aux Cent-Jours, du 20 mars au 8 juillet 1815, Davout est en résidence surveillée à Louviers, mais le roi finit par lui rendre son bâton de maréchal (1817) et par le faire pair de France (1819). Seul maréchal invaincu de Napoléon, Davout figure, bien entendu, sur l'arc de triomphe de l'Étoile
   Source : Site Web

perso.cybercable.fr/consult/figures/davout.htm d'après Histoire et dictionnaire du Consulat et de l’Empire (A. Fierro, A. Palluel-Guillard et J. Tulard, Bouquins, 1995, p. 704). Lettres patentes : duc d'Auerstaedt ; titre de duc d'Auerstaedt accordé à Louis, Nicolas Davout, à la suite du décret du 19 mars 1808. Bayonne (2 juillet 1808). Arch. Nat. BB/29/1035 pages 24-25 http://chan.archivesnationales.culture.gouv.fr/sdx-23b1

- 20090531-chan-pleade-2/pl/doc-tdm.xsp?id=BB_29_1er_EMPIRE_d0e224415&fmt=tab&base=fa&root=&n=&qid=&ss=&as=&ai

   Grand-Aigle de la Légion d'honneur,
   Son nom figure sur l'Arc de Triomphe de l'Étoile, à Paris.	

Charles d'Avout 1776-1854 &1824

Chef d'escadrons de cavalerie

D'après l’association du souvenir du maréchal Davout : Charles Claude Antoine d’Avout est le plus jeune frère du futur maréchal. Comme son aîné, il supprime la particule de son nom et s’engage au 3ème bataillon des Volontaires de l’Yonne le 25 février 1795. Il intègre ensuite le 9ème régiment de hussards (mai 1797), le 20ème Dragons (octobre 1798), le régiment des Chasseurs à cheval de la Garde des consuls (février 1802) puis le 1er régiment de Dragons (août 1803) avec le grade de lieutenant. Il est nommé capitaine le 14 février 1807 puis chef d’escadron le 31 juillet 1809. Charles Davout fait pratiquement toutes les campagnes du 1er empire (Égypte, Allemagne, Espagne, France) et le nombre de blessures qu’il y reçoit semble prouver sa bravoure. il est ainsi blessé de plusieurs coups de sabre à Iéna (14 octobre 1806). Mais c’est surtout en Espagne que Charles Davout se distingue. Le 27 juillet 1811, entre Avila et Arevado, il affronte avec ses 200 chevaux un parti d’insurgés de 500 chevaux. Plus tard, devant Salamanque, il a d’abord un cheval tué sous lui (20 juin 1812) avant d’être gravement blessé d’un coup de feu à la hanche droite (22 juin 1812). Il recevra sa dernière blessure le 16 juin 1815 suite à un éclat d’obus à la joue. Fait officier de la Légion d’honneur (1er octobre 1814) et chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis (31 octobre 1814), le chef d’escadron Davout épouse, le 13 octobre 1824, Clara de Cheverry dont il aura quatre enfants, parmi lesquels Léopold, le futur 3ème duc d’Auerstaedt. Charles Davout est mort à Nogent-le-Roi le 7 août 1854, à l’âge de 78 ans. On prétend que, au cours de l’été 1800, il avait eu une querelle avec Jérôme Bonaparte, le plus jeune frère du futur empereur. Les deux hommes se seraient affrontés en duel au bois de Vincennes, sans témoin. L’échange se serait fait au pistolet, 25 balles à tirer à volonté, et Jérôme aurait reçu une balle dans le sternum qu’on aurait retrouvée, n’ayant pu être extraite alors, que 60 ans plus tard, après sa mort ! Officier de la Légion d'honneur. Chevalier de Saint-Louis. Le mariage aurait eu lieu le 13 octobre et non le 15 juillet... (source ?) Clara de Cheverry 1804-1894

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Léopold d'Avout, duc d'Auerstaedt 1829-1904

Général de division, membre du Conseil supérieur de la guerre

Substitué par décret en 1864, au titre ducal de son oncle le maréchal Davout.

Élève du Prytanée, puis de l'ESM, promotion de la République (Saint-Cyr 1847-49), en 1847. Nommé sous lieutenant au 72 RI en 1849.

Lieutenant en 1852. Il part en Afrique en 1854.

Nommé Capitaine en 1856 après une razzia dans le Sud-oranais. Transféré au 2e tirailleurs, puis au régiment de turcos provisoire. Campagne d'Italie. Le 3 juin, veille de Magenta, il s'illustre en sauvant une batterie de réserve avec sa compagnie et charge l'ennemi qu'il repousse.

Nommé chef d'escadron au 23 RI le 18/6/59 et chevalier de la Légion d'honneur. Passe ensuite au 13em BCP.

Lieutenant-colonel le 27/12/1865.

Colonel du 95 RI le 12/3/1870. Campagne contre l'Allemagne : Son régiment fait partie de la brigade Clinchant de l'armée du Rhin (1 DI, 3 CA). Le 18 aout à St Privat, il s'illustre sur le crête de Chantrenne où il repousse par trois fois les attaques prussiennes. Le 31 aout il combat à Noisseville et à Servigny. Officier de la Légion d’honneur en 1870. Il est fait prisonnier et est emmené en captivité en Allemagne. Il rejoint son régiment à Aubagne et intervient contre Marseille, alors en pleine insurrection le 4 avril. Il prend ensuite le commandement du 36 RI qu'il conduit contre la Commune (il enlève le château de Bécon, puis Asnières). Durant la semaine sanglante, il prend les gares de l'Est et du Nord, ainsi que les buttes Chaumont sous les ordres de Ladmirault. Blessé d'une balle dans la tête le dernier jour des opérations. Commandeur de la Légion d'honneur (1871).

Brigadier 24/6/1871, il commande un brigade d'infanterie, puis la 13e brigade d'artillerie de 1875 à 1877.

Division 25/9/1877. Commande la 13e DI, puis est nommé chef d'EMG (1879). remplacé par le général Farre. Il est promu grand-officier de la Légion d'honneur en 1880. Il est nommé successivement à la tête des 10e CA (81-83), du 19e CA (84), puis du 14e (85-88). Membre du CSG de 1889 à 1894. Source : http://www.military-photos.com/davout.htm

Davout-Leopold


ep en 1868 Jeanne de Voize 1845-1935 |

Louis d'Avout, duc d'Auerstaedt 1877-1958

Officier, chef de bataillon

Croix de Guerre 14-18.  Commandeur de la Légion d'honneur,

 ESM Saint-Cyr, promotion des premières Grandes Manœuvres. 1896-98

Davout

1902 Hélène Étignard de La Faulotte 1880-1946

| Jacques d'Avout d'Auerstaedt

1913-2003

Ingénieur civil des mines (promotion 1935)

   Chevalier de la Légion d'honneur
   Croix de guerre 1939-1945
   Officier de l'Empire britannique

Monique Derode 1924-2013

Philippe Derode, lieutenant de vaisseau, était marié avec Alyette Soulange-Bodin d'ou Chantal Derode + ( dont Lucile et Nadia) et Emmanuel Derode marié avec Hélène de Sachs, fille du comte Arnold de Sachs

dont Philippine Derode mariée à Olivier de Royere (enfants Xavier et Auriane) ,

Barthélémy

et Maximilien.

Alyette Soulange-Bodin, veuve, se remaria avec le Comte Christian de Reboul, officier de cavalerie, descendant de "Jacques Bertrand de Reboul, écuyer, seigneur du Treuil Chartier, en Aunis maréchal des camps et armé du Roi, chevalier de Saint Louis, né à muron (Saintonge), le 26 septembre 1730.

Jacques- Bertrand avait seize ans quand il entra au service, en 1746, comme lieutenant au régiment de Boulonnois. L’année suivante, il fit avec ce corps la campagne de Piémont, et se trouva à l’affaire de l’Assiette. Garde du corps du Roi en 1751, il se distingua au combat de Saint Cast, en Bretagne (11 Septembre 1758), où à la tête de quelques volontaires, il fit prisonniers, sous le feu d’une frégate anglaise, quatre officiers anglais, dont un capitaine de brûlot, le lieutenant de frégate qui commandait les chaloupes de débarquement, deux lieutenants de grenadiers et une centaine de soldats. Le 12 novembre 1761, Jaques-Bertrand de Reboul, Alors capitaine aide-major au régiment de Boulonnois, fut embarqué avec son régiment pour Saint-Domingue, où il tint la campagne jusqu’en 1764. En 1762, il avait été choisi par le commandant général, le vicomte de Belsunce, pour former le corps des volontaires chasseurs de l’Amérique, et en 1763 il avait été fait chevalier de Saint Louis.

En 1771, étant lieutenant-colonel du régiment de Boulonnois, il fut désigné par le comte de Marboeuf pour remplir les fonctions de lieutenant du Roi à Bonifacio ; la famille conserve une lettre par laquelle le ministre de la guerre, le marquis de Monteynard, témoigne à Jacques-Bretrand « son contentement au sujet d’un affaire très délicate entre le gouvernement et les habitants de la ville, qu’il a terminée à la satisfaction et avantage de la cour ».

Brigadier d’infanterie le 1er mars 1780, Jacques Bertrand de Reboul fut nommé, le 1er janvier 1748, maréchal des camps et armées du Roi ; il prit sa retraite en 1793 et mourut à Saint jean d’Angély le 23 juin 1800."

Chevalier de St Louis.

Reboul-jacques_bertrand

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Arnold de Sachs, rentier à Wiesbaden (duché de Nassau). Marié avec Julianne Werlé, dont

Georges, baron de Sachs, comte de Sachs, né le 2 mai 1818, Wetzlar (Allemagne), décédé le 23 mars 1890, Breuil (51) (à l'âge de 71 ans), négociant en vins, dirigeant de la maison de Champagne Veuve Cliquot. Marié avec Pauline Moeriché, née en 1820, dont Paul, comte de Sachs, né le 27 mars 1858, Reims (Marne), décédé le 20 novembre 1918 (à l'âge de 60 ans), chef de bataillon de terrotoriale, commandant d'état major. Marié le 25 avril 1892, Paris VIII° (75), avec Mercedès Subervielle, née le 16 mars 1872, Paris (75) [15 rue de Berri, VIIIe], décédée le 23 mars 1961 (à l'âge de 89 ans) (témoins: Alfred, comte Werlé 1837-1907, Gaston Carmier 1828-1904, Antonio de Mier 1832, Alexandre Berthier, prince de Wagram 1836-1911), dont

               Bernard, comte de Sachs, marié le 12 mars 1929 avec Eliane Gouhier de Petiteville, née le 3 juin 1910, New-York (Etats-Unis), décédée le 27 juin 1965, Paris 

Derode-barthélémy-mariage 27/08/2021 09:08 | Anne de M de La Cerda

Arcangues : parfum de Russie au mariage de Barth Derode

Avec une grande ferveur, le père Dominique Sentucq avait célébré à l’église Saint-Jean-Baptiste d’Arcangues, la cérémonie du mariage qui unissait Alexandra Bocquet à Barthélémy Derode ce samedi 21 août.

Après l’homélie, dans la lumière feutrée de la petite église, la chorale Jarraiki dirigée avec enthousiasme par Gérard Ravon s'accompagnait des voix des invités du mariage, bien que masqués.

A la fin de la liturgie, un long cortège composé des membres des deux familles, des dames d’honneur en robe longue rouge accompagnées de jeunes hommes en fracs et des demoiselles d’honneur en blanc, toutes coiffées d’un kokochnik (coiffe russe à l’ancienne) au bras de leur petits cavaliers en kaftan rouge (manteau de cosaques) et chaussés d’espadrilles, défilait derrière le marié et son épouse. Vêtue d’une robe blanche de dentelle et coiffée également d’un kokochnik orné de perles, à l’image d’une scène mythologique de Vanetsov (peintre russe 1848-1926), les mariées s’échappèrent dans une superbe voiture décapotable noire «Delahaye» des années 30, rappelant les Années Folles.

Après la messe, la magie slave incarnée par la mariée - sa mère est née Elena Simatchiva en Russie - se poursuivait au château Bosquet où un orchestre folklorique russe accueillait les mariés et leurs nombreux invités qui avaient passé avec succès l’ «épreuve » des tests sanitaires rassurant ainsi le public avant de découvrir la demeure.

Construite en 1905 par l’architecte biarrot Jean Baptiste Ernest Lacombe, spécialiste des monuments historiques, la bâtisse se caractérise par deux styles de façades : l’une dite anglaise en pierres taillées de Bidache et l’autre à colombages de style basco-normande. Passée sa lourde et haute porte, accueillis dans une grand salon à l’entrée ornée d’un escalier Renaissance, les hôtes furent ensuite invités à y écouter le récital de deux célèbres solistes : le violoniste russe Yuri Revich et le pianiste Matthieu Esnult, originaire, lui, de Saint-Jean-de-Luz. Eparpillé en grappes de haut en bas dans cette haute cage d’escalier à l’excellente acoustique, le public averti goûtait entre deux gorgées de champagne cette féerie lyrique, applaudissant à tout rompre en particulier l'archet virtuose du violoniste dans la merveilleusement difficile "Carmen-Fantaisie" du compositeur et violoniste basque Pablo de Sarasate.

Côté de la façade basque, ensoleillée, du château, cachée sous une grande capeline de dentelles, la comtesse Ghislaine de Montesquieu accompagnée de son mari Bertrand et de leur fils, la famille Willemetz, Mathieu et Carole de Courson rejoints par le marquis d'Arcangues, et autres amis proches de la famille Derode, papillonnaient dans les jardins où un spectacle de cosaques à cheval était offert dans l’écrin exceptionnel du golfe de Gascogne sur fond de la chaîne des Pyrénées. Parmi les spectateurs assidus, on pouvait reconnaître Pierre Galitzine, le petit fils de la princesse Galitizine dont le beau-père avait été Serge Gainsbourg. Avec nostalgie, ce dernier évoqua l’extraordinaire cascadeur et cosaque biarrot Pierre Pakhomoff qui avait gravi à cheval l’escalier intérieur du château d’Ilbarritz lors d'une soirée de Nouvel An.

Venus en voisins, l’ancien journaliste Emmanuel Planes et son épouse ainsi que de nombreux jeunes amis des mariés dont l'artiste Erika Sellier et son ami le propriétaire du restaurant Xaya à Saint-Jean-de-Luz, participaient à cette épopée exceptionnelle où pendant la réception, le traiteur bordelais Monblanc préparait d’originaux canapés aux herbes, et toutes sortes de merveilles très raffinées…

Comme dans un conte de fée, la soirée se clôtura par la pluie d’étoiles d'un feu d’artifice, scellant ainsi après la messe les deux mariés pour partager le voyage de la vie.

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Dominique Derode épouse de René Paulze d'Ivoy de La Poype, né en 1926, décédé le 1er avril 2010 (84 ans), descendant de Roland, "Il est d'abord sous-préfet de Saint-Girons le 20 décembre 1841, puis le 31 mars 1843 de Trévoux, et de Compiègne le 28 octobre 1847 avant d'être révoqué le 16 mars 1848. Sa disgrace sera de courte duré étant nommé sous-préfet de Meaux le 10 janvier 1849. Préfet de l'Orne (20 octobre 1849), de la Haute-Marne (12 décembre 1851), de la Manche (22 janvier 1852), de l'Aude (30 juillet 1853), il est mis en non-activité le 19 mai 1854. Il reprend sa carrière préfectorale lorsqu'il est nommé préfet de la Vienne, (26 novembre 1856), puis des Alpes-Maritime - dont il est le premier préfet après la ratachement de Nice à la France - (11 juin 1860), du Cher (5 janvier 1861) et enfin d'Indre-et-Loire du 31 janvier 1870 à Septembre de la même année lorsqu'il est révoqué comme la plupart des préfets du second Empire. Il fut admis à la retraite le 6 mars 1872. Dit le comte de La Poype. Il est autorisé, ainsi que son frère, à relever le nom de leur mère le 5 novembre 1864. Commandeur de la Légion d'honneur.

 Sous-préfet de Trévoux (1843-1847),
 préfet des Alpes-Maritime (1860-1861),
 sous-préfet de Saint-Girons (1841-1843),
 préfet de l'Aude (1853-1854),
 préfet du Cher (1861-1870),
 Préfet d'Indre-et-Loire (1870),
 Préfet de la Manche (1852-1853),
 préfet de la Haute-Marne (1851-1852),
 sous-préfet de Compiègne (1847-1848),
 préfet de l'Orne (1849-1851),
 sous-préfet de Meaux (1849) ,
 préfet de la Vienne (1856-1860).

Roland est fils de Jean: " Auditeur au conseil d'État le 19 janvier 1810, il est nommé commissaire spécial de police à Cologne (Allemagne) le 3 juin 1811. Il revient ensuite comme maître des requêtes au conseil d'État le 5 juillet 1814. Nommé préfet de l'Ardèche le 19 janvier 1819, il sera remplacé le 2 janvier 1823. Préfet du Rhône du 3 août 1830 au 7 mai 1831, il retourna au conseil d'État avant d'être nommé préfet de la Vendée le 30 mars 1833, de l'Aisne le 1 août 1841, et le la Nièvre du 29 novembre 1842 jusqu'au 11 juin 1844, date où il prend sa retraite sur sa demande. Conseiller d'État honoraire en 1845, il est nommé pair de France le 23 septembre 1845.

Commandeur de la Légion d'honneur,

Préfet de l'Ardèche (1819-1823), Préfet de la Nièvre (1842-1844), Préfet du Rhône (1830-1831), Préfet de la Vendée (1833-1841).

Paulze-la-Poype-Derode

Bernard Derode, né le 19 avril 1937, Neuilly-sur-Seine, directeur de société; marié en 1960, Corsier-Vevet (Suisse), avec Marie Solange Decazes de Glücksbierg, née le 18 avril 1939, Paris (75) (mariage religieux à Moulleau, Gironde, le 7 juillet 1960), divorcés, fille de Jacques, Croix de guerre et Margarita von Heeren, fille de Pedro von Heeren (1880-1915) et Nadine Halfon (1885-1928). Marisol Jacquemot Derode is a French artist who has been living in London for the last ten years. She has worked in various areas including set designing in the French film industry and interior designing of private properties in Washington DC and France. Her interests also lie in painting, architecture, landscaping and now ceramics. Her techniques have constantly evolved since she started ceramics and her latest creations are shown on this website. These are all handmade and unique pieces. She has recently started to work with the potter’s wheel and some of her smaller scale works made using this technique are also shown here. www.marisolceramic.com


Decazes-Derode

dont

Mariesol Derode.

Nathalie Derode.


Jean Decazes, né le 30 avril 1864 à Paris 8ème et mort le 31 août 1912 à Chantilly, est un aristocrate français qui fut un homme du monde et un sportif de la Belle Époque. Il était à titre honorifique chambellan du roi de Danemark. C'était un habitué du salon de Madame Arman de Caillavet, l'égérie d'Anatole France. Né à Paris, Jean Élie Octave Louis Sévère Amanieu Decazes de Glücksberg, troisième duc Decazes, duc de Glücksberg est le fils unique du duc Louis Decazes et de sa femme, née Séverine Rosalie de Löwenthal. Il meurt à Chantilly en 1912. Il épouse la richissime Isabelle Singer, une des filles d'Isaac Merritt Singer, fondateur de la célèbre entreprise de machines à coudre, Singer et de sa seconde épouse, née Isabelle Boyer. Ils ont eu trois enfants :

   Louis Jean Victor Sévère (1889 - 1941) ;
   Marguerite Séverine Philippine (1890 - 1962), mieux connue sous le surnom de Daisy, qui épousa un cousin de Winston Churchill, Reginald Fellowes ; Daisy Fellowes est propriétaire de la villa La Zoraïde au Cap Martin.
   Jacques Louis Élie (Paris, le 31 août 1891 - Beaumont-en-Beine, le 15 mars 1916), célibataire et sans enfants.
   Le duc Decazes possédait une villa à Costebelle dans le midi de la France, la villa Sylvabelle, qui eut l'honneur d'être visitée par la reine Victoria, pendant son séjour à la Villa des Palmiers et dans les environs de Hyères, en mars-avril 1892.
   Sa femme s'est suicidée en 1896 et leurs enfants ont été élevés en grande partie par leur tante Winnaretta Singer, princesse Edmond de Polignac.
   Jean Decazes a remporté une médaille d'argent en voile aux Jeux olympiques de 1900. L'année suivante, il remporte la coupe de France avec son voilier Quand-Même II.
   Chambellan du roi de Danemark et chevalier du Daneborg, président du Cercle Hoche, il appartient à presque toutes les fédérations sportives de France: Jockey Cub-Club Sporting Yacht Club; il possède une écurie qui remporte de nombreuses courses. (G. Berny)

Médaille d'argent de voile en 10-20 t aux Jeux olympiques de Paris (1900).

Jean était fils de Louis, Chambellan de S.M. le roi de Danemark Ministre des Affaires étrangères, Grand officier de La Légion d’honneur Grand'Croix de l'Ordre d'Isabelle la Catholique Commandeur de l'Ordre de Charles III d'Espagne Commandeur de l'Ordre de l'Etoile Polaire de Suède Commandeur de l'Ordre de Dannebrog

Louis fils du premier duc Decazes : Magistrat, préfet de police, ministre de la police, homme politique, ambassadeur en Angleterre, fondateur d'une société pour le développement industriel de l’Aveyron Président de la commission de l'Instruction publique (1818-1820), Ministre de l'Intérieur (1818-1820), Ministre de la Police (1815-1818) Il fit ses études à l'école militaire de Vendôme, de 1790 à 1799. En 1806 il fut nommé juge au Tribunal de première instance du département de la Seine, et secrétaire des commandements de la mère de Napoléon. En 1810 il devint conseiller à la cour d'appel de Paris. Appelé en 1811 aux fonctions de conseiller du cabinet de Louis Bonaparte, alors roi de Hollande. Il fut ensuite nommé conseiller à la cour de cassation, puis préfet de police le 10 juillet 1815. Fouché ayant été renvoyé du ministère de la police générale, Élie Decazes lui succéda comme ministre le 25 septembre 1815. Louis XVIII le fit comte le 27 janvier 1816, puis pair de France. Le ministère de la police fut supprimé et réuni à celui de l'intérieur, le tout étant confié à Élie Decaze le 18 décembre 1818. Puis Louis XVIII le nomma président du conseil des ministres le 19 novembre 1819. Lorsqu'il quitta le ministère, Louis XVIII lui conféra le titre de duc, le créa ministre d'Etat, et le nomma ambassadeur en Angleterre. (Élie Decazes, veuf de la fille du comte Muraire, a épousé le 11 août 1818 mademoiselle de Saint-Aulaire, petite-fille, par sa mère, du dernier prince régnant de Nassau-Saarebruck. En considération de ce mariage, il reçut du roi de Danemark le titre et le duché de Glüksbierg.) D'après : "Dictionnaire historique de tous les ministres, depuis la Révolution jusqu'à 1827" par M.Léonard-Gallois (1828)

Après un début de carrière dans la magistrature, Decazes se distingue au moment des Cent Jours en mobilisant sa compagnie de garde nationale pour défendre la cause des Bourbons menacés par le foudroyant retour de l'empereur.
Préfet de police, député, au moment de la Restauration, il succède à Fouché au
poste de ministre de la Police. Très écouté du roi, Decazes s'attire, par sa modération, l'hostilité des ultras et les différents ministères qu'il forme entre 1818 et 1820 sont en butte à de constantes attaques.

Poussé à la démission, Decazes est nommé ambassadeur à Londres. Il y reste peu de temps et rentre en France siéger à la Chambre des Pairs. En juillet 1830, il se rallie au nouveau gouvernement. Il est nommé en 1834 grand référendaire (c'est-à-dire responsable de l'administration générale) de la Chambre des Pairs. La salle des séances, la bibliothèque et de nombreuses améliorations dans le jardin du Luxembourg datent de son administration. Franc Maçon : Grand Commandeur du Suprême Conseil de France, Préfet de police de Paris (1815), Président de la Société de Géographie (1833-1834).


Victor Derode 1797-1867 victor-derode

Victor Derode, né à Lille le 27 septembre 1797 et mort à Dunkerque le 6 août 1867, est un historien français.

Fils de Philippe Edward de Rode, magistrat de la ville de Lille, Victor Derode est historien et scientifique de la ville de Lille, et à ce titre l'auteur de nombreux ouvrages sur les ville du nord de la France (notamment Lille, la Flandre et Dunkerque) mais aussi sur la progression des langues. Le 06.11.1854, à Londres, Paroisse Saint-Pancras, il épouse Marie Valentine BRENT, née le 14.02.1819 à Londres, fille de William BRENT, Juge au Banc de la Reine, et de Marie ROBINSON-ROGERS. Ils décèdent sans postérité. Membre de la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille, il crée en 1851 la Société dunkerquoise pour l'Encouragement des Sciences, des Lettres et des Arts dont l'actuelle Société dunkerquoise d'Histoire et d'Archéologie est l'héritière Il modernise l'enseignement en introduisant la gymnastique, véritable révolution à l'époque. Il crée la première institution destinée aux sourds-muets avec l'abbé Sicard. Il fut conseiller municipal de Dunkerque. Une rue de Lille et une rue à Dunkerque rendent hommage à l'historien.

Œuvre 1828 - Introduction à l'étude de l'harmonie 1840 - Considérations sur les lois de la progression des langues 1842 - Le siège de Lille en 1792 1847 - Histoire de Lille (3 tomes) 1848 - Histoire de Lille et de la Flandre wallonne 1852 - Histoire de Dunkerque 1856 - Histoire religieuse de la Flandre maritime et en particulier de la ville de Dunkerque 1857 - Notice sur l'église Saint-Éloi à Dunkerque 1864 - Rôles de la maison de Bourgogne Il publie deux romans : "La famille Prudhomme" en 1853 "Les Orphelines de Visschermoëre" en 1863


Derode-institution

Prosper Félix Fortuné Derode 1790-1852 &1817 Henriette Rose Désirée Dathis 1797-1850

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Prosper Derode 1818-1892 &1840 Céline Cuvelier 1818-1898


Alphonse Jules Joseph Derode 1826-1884 &1853 Clémence Chevalier 1832-1927

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Lucien Jules Derode 1850-1919 & Marguerite Octavie Tourangin 1861

Victor Derode 1867-1939 | Emmanuel Derode 1887-1956