Thesaurus de la famille LE ROY, LE ROY-LIBERGE
Supervisé par Bertrand Savatier
La famille Le Roy & Le Roy Liberge est originaire est originaire du Comté du Dunois (Eure&Loire) où ils étaient laboureurs, greffiers, notaires & procureurs. Au XVIIIème, ils se sont installés dans la Sarthe où ils ont acquis le Château d’Isaac au Mans. Les générations suivantes ont été au Maroc puis en région parisienne. Le 5 mars 1810 Jacques Louis Le Roy (1772-1842) Pélagie Liberge des Bois,(1778,-1852). Leur petit-fils Fernand( 1843-1890) relève le nom de Liberge, famille originaire de Normandie fixée dans le Maine avec Marin Liberge, docteur-régent de la faculté d’Angers et échevin de cette ville.
ILLUSTRATIONS
FILIATION SUIVIE
Julien Leroy, né vers 1595, Arrou (Eure-et-Loir), décédé le 26 février 1649, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir) (à l’âge de peut-être 54 ans), laboureur à Touchemont (Châtillon), vendeur de biens, lieutenant des Eaux du comté de Suze, notaire royal Evreux.
Marié le 17 juin 1634, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Jacquine Riguet, née en juin 1603, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loire)
... fille de Jacques Riguet 1583-1670 et Salomé Duit 1583 ... dont
Etienne Leroy, né le 31 octobre 1633, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir).
François Leroy, né le 1er mars 1636, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédé avant décembre 1696, laboureur à La Girardière (Arrou).
Marié avec ? ?.
Marié le 23 novembre 1660, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Catherine Breton, née le 2 mars 1645, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédée le 5 août 1674, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de 29 ans)
... fille de Jacques Breton †/1670 et Catherine Tacheau 1628-1689 ... dont
Pierre Leroy, laboureur au Puits-Neuf (Châtillon).
Marié le 25 janvier 1687, Arrou (Eure-et-Loir), avec Thomasse Deniau, née vers 1665, décédée le 3 janvier 1712, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir) (à l’âge de peut-être 47 ans)
... fille de François Deniau et Madeleine Blondeau †/1687 ... dont
Pierre Leroy.
Marié le 4 février 1712, Arrou (Eure-et-Loir), avec Marie Buglier, née le 12 juin 1698, Arrou (Eure-et-Loir), décédée le 26 novembre 1729, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de 31 ans)
... fille de Louis Buglier ca 1667-1726 et Marie Boisaubert ca 1674-1709 .
Jacques Leroy, né le 10 juin 1674, Arrou (Eure-et-Loir).
Marié le 29 janvier 1675, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Catherine Rousseau, née le 9 juillet 1651, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédée avant octobre 1698
... fille de François Rousseau 1611-1654 et Marie Coupé ca 1613-1681 [Note 3-3] ... dont
Françoise Leroy, décédée avant juillet 1716.
Mariée avec Julien Naudin, né vers 1664, décédé le 2 mai 1707, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de peut-être 43 ans), laboureur à La Girardière (Arrou)
... fils de Julien Naudin ca 1626-1694 et Marie Pionnier 1633-/1690 , ...
Catherine Leroy.
Mariée le 8 novembre 1695, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Mathurin Picard, texier en toile au Tartre (Yèvres).
Anne Leroy, née le 28 décembre 1681, Arrou (Eure-et-Loir), décédée le 27 avril 1710, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de 28 ans). [Note 9]
Mariée le 8 janvier 1697, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Jacques Poustier, laboureur à Lancizière (Châtillon), journalier à La Touche-aux-Bourguignons (Arrou)
... fils de Michel Poustier †/1681 et Marie Champdavoine †1681 . Mariée le 6 septembre 1707, Arrou (Eure-et-Loir), avec Léonard Coursimault, né le 9 mai 1682, Chapelle-Royale (Eure-et-Loir), décédé le 9 juillet 1738, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de 56 ans)
... fils de Léonard Coursimault 1648-1709 et Marie Launay ca 1657-1721 .
Jacques Leroy, né le 17 mars 1639, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédé le 28 janvier 1696, Saint-Agil (Loir-et-Cher) (à l’âge de 56 ans), notaire royal à Saint-Agil de 1666 à 1696.
Marié le 20 avril 1665, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Marie Chevallier, née le 4 avril 1643, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédée le 24 décembre 1713, Saint-Agil (Loir-et-Cher) (à l’âge de 70 ans)
... fille de Augustin Chevallier 1617-1675 et Jeanne Hamard 1616-1684 ... dont
Nicolas Leroy, né le 3 mai 1667, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédé le 28 mai 1739, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de 72 ans), notaire royal, receveur de la seigneurie.
Marié le 4 janvier 1691, La Fontenelle (Loir-et-Cher), avec Marguerite Breton, née vers 1675, décédée le 17 février 1718, La Fontenelle (Loir-et-Cher) (à l’âge de peut-être 43 ans)
... fille de François Breton et Marguerite Pelé ... dont
Marguerite Leroy, décédée avant novembre 1747.
Mariée le 4 février 1723, La Fontenelle (Loir-et-Cher), avec François Cheramy, décédé avant novembre 1747, marchand boulanger à Boursay
... fils de Michel Cheramy ca 1660-/1723 et Madeleine Lepercher 1672-1741 , ...
Bonne Marie Leroy, née le 2 février 1700, Boursay (Loir-et-Cher), décédée le 27 novembre 1750, Droué-Bourguérin (Loir-et-Cher) (à l’âge de 50 ans).
Mariée le 21 octobre 1721, La Fontenelle (Loir-et-Cher), avec Marin Singlas, né le 27 septembre 1671, Boursay (Loir-et-Cher), décédé le 29 mars 1730, Droué-Bourguérin (Loir-et-Cher) (à l’âge de 58 ans), maréchal au bourg de Droué
... fils de Marin Singlas †/1706 et Marie Brette . Mariée le 16 octobre 1731, Droué (Loir-et-Cher), avec Jacques Trécul, né vers 1704, décédé le 1er juillet 1788, Droué (Loir-et-Cher) (à l’âge de peut-être 84 ans), marchand à La Baudronnière, bourgeois
... fils de François Trécul et Marie Brillard †/1725 , ...
François Leroy, né en 1708, marchand à Vibraye.
Marié le 24 novembre 1733, Boursay (Loir-et-Cher), avec Françoise Florentin, née le 30 juin 1700, Droué-Boisseleau 'Loir-et-Cher)
... fille de Antoine Florentin 1669 et Françoise Trécul 1678 ... dont
Jacques Amand Le Roy, né en 1737, décédé le 20 avril 1789, Vibraye (Sarthe) (à l’âge de 52 ans), notaire royal et procureur fiscal du marquisat de Vibraye.
Marié le 11 avril 1769, Tuffé (Sarthe), avec Jeanne Jacquine Moreau, née vers 1733
... fille de Jacques Moreau et Michelle Catherine Fillette 1698 ... dont
Ne Le Roy, née le 16 décembre 1770, décédée le 16 décembre 1770.
Jacques Louis Le Roy, né le 10 février 1772, Vibraye (Sarthe), décédé le 26 janvier 1842, Alençon (Orne) (à l’âge de 69 ans).
Marié le 5 mars 1810, La Flèche (Sarthe), avec Pélagie Liberge des Bois, née le 6 mai 1778, La Flèche (Sarthe), décédée le 3 janvier 1852 (à l’âge de 73 ans)
... fille de François Liberge des Bois 1750-1830 et Marie Coignard †1819 ... dont
Jules Le Roy, né le 3 février 1811, La Ferté-Bernard (Sarthe), décédé le 28 avril 1873, Le Mans (Sarthe) (à l’âge de 62 ans).
Marié le 28 juin 1838 avec Armande Richard, née le 14 mai 1816, décédée après 1875, propriétaire
... fille de Jean François Richard 1787-1854 et Esther Prud'homme 1792-1859 [Note 18-1] ... dont
Fernand Le Roy Liberge, né le 26 mai 1843, Sainte-Croix (Sarthe), décédé le 22 octobre 1890 (à l’âge de 47 ans), Greffier de la justice de paix du 7ème arrondissement de Paris (1870-76).
Marié le 27 mars 1875, Paris 7e, avec Gabrielle Varanguien de Villepin, née le 16 juin 1853, Paris 10 arrondissement ancien, décédée le 3 avril 1932, Paris (à l’âge de 78 ans), sans profession
... fille de Paul Varanguien de Villepin 1824-1902 et Laure Chadrin 1833-1889 [Note 19-1] ... dont
Nelly Le Roy Liberge, née le 31 janvier 1876, Paris 7e, décédée le 10 août 1969, Bermicourt (Pas-de-Calais) (à l’âge de 93 ans).
Mariée le 7 juin 1899, Le Mans (Sarthe), avec Alexandre Conty, né le 3 avril 1864, Abilly (Indre-et-Loire), décédé le 1er juin 1947, Abilly (Indre-et-Loire) (à l’âge de 83 ans), X1884, ambassadeur de France
... fils de Alexandre Conty 1825-1900 et Berthe Creuzé 1835-1906 [Note 20-1], ...
Raymond Le Roy Liberge, né le 14 mai 1880, Paris 7e, décédé le 22 avril 1938 (à l’âge de 57 ans).
Marié le 13 février 1913, Paris, avec Geneviève Collignon, née le 28 juin 1889, Paris, décédée le 30 avril 1982, Les Pavillons-sous-Bois (Ile de France) (à l’âge de 92 ans)
... fille de Auguste Collignon 1863-1927 et Marie Le Play 1868-1966 ... dont
Fernand Le Roy Liberge, né le 30 mars 1914, Paris XVIème, décédé le 29 décembre 1967, Rottach-Egern, Bavière (Allemagne) (à l’âge de 53 ans).
Marié le 29 avril 1942, Casablanca (Maroc), avec Colette Motte, née le 7 mars 1923
... fille de Christian Motte 1886-1967 et Marie Scalabre 1887 ... dont
Raymond Le Roy Liberge, né le 28 avril 1943. [Note 23]
Marié avec Jacqueline Rabaud, décédée le 22 août 2021
... fille de Jacques Rabaud 1907-1977 et Gisèle Houlet 1913-1991 [Note 23-1] ... dont
Ivain Le Roy Liberge, né le 23 avril 1970. [Note 24]
Marié avec Julie Oriegas ... dont
Thais Le Roy Liberge, née le 20 avril 2002, Neuilly-sur-Seine (Hauts de Seine).
Swann Le Roy Liberge, né le 20 janvier 2005, Neuilly-sur-Seine (Hauts de Seine).
Ugo Le Roy Liberge, né le 4 juillet 1973.
Marié avec Marion Gaumy ... dont
Noah Le Roy Liberge, né le 10 juin 2001, Lyon (Rhône).
Elia Le Roy Liberge, né le 13 juillet 2004, Lyon (Rhône).
Numa Le Roy Liberge, né le 13 juillet 2004, Lyon (Rhône).
Oriane Le Roy Liberge, née le 17 mai 1980, Versailles (Yvelines). [Note 31]
Relation avec Romain Gagnot, né le 25 novembre 1977, ...
Patrice Le Roy Liberge, né le 24 août 1946, Rabat (Maroc).
Marié avec Véronique Frileux, née en 1952.
Barbara Le Roy Liberge, née en 1955.
Mariée avec François Formé Bécherat, né en 1950
... fils de Jean-Louis Formé Bécherat 1902-1989 et Mathilde Boula de Mareüil 1926-1993 , ...
Claude Le Roy Liberge, née le 16 février 1915, Paris 16e, décédée le 24 décembre 1991, Paris 15e (à l’âge de 76 ans).
Mariée le 31 octobre 1942, Beyrouth (Liban), avec Jacques Janssen, né le 21 septembre 1913, décédé le 28 mai 1962, Alger (Algérie) (à l’âge de 48 ans), chef d'escadron
... fils de Gaston Janssen 1884-1940 et Madeleine Bizalion 1889-1973 [Note 34-1], ...
Véronique Le Roy Liberge, née le 4 juin 1916, décédée le 13 avril 1983 (à l’âge de 66 ans).
Mariée le 20 mars 1939, Paris 18e, avec Bernard Vignon, né le 9 juin 1910, Saumur (Maine-et-Loire), décédé le 25 août 1986, Paris 7e (à l’âge de 76 ans), officier ABC, colonel
... fils de Georges Vignon 1874-1952 et Mathilde de Fraguier 1879-1966 , ...
Jeanne Jacquine Le Roy, née en avril 1774, décédée le 9 juin 1774, Vibraye (à l’âge de 2 mois).
Pierre Etienne Le Roy, né en décembre 1775, décédé le 20 janvier 1776, Vibraye (72) (à l’âge de un mois).
Antoine Le Roy, notaire.
Jacques Le Roy, marchand.
Marié le 28 février 1718, Le Gault-du-Perche (Loir-et-Cher), avec Marie Herpin
... fille de Mathieu Herpin ca 1640-1708 et Jeanne Gaultier ca 1668-1708/ ... dont
Nicolas Leroy, né, Le Poislay (Loir-et-Cher), décédé avant mai 1786, marchand, praticien à Châteaudun.
Marié le 27 mai 1748, Saint-Jean-de-la-Chaîne, Châteaudun (Eure-et-Loir), avec Marie Anne Leprince, née le 11 septembre 1726, Saint-Lubin, Châteaudun (Eure-et-Loir), décédée le 1er juin 1788, Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir), inhumée le 2 juin 1788, Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l’âge de 61 ans)
... fille de François Leprince et Anne Marais 1704 ... dont
Nicolas Adrien Leroy, officier de santé.
Marié le 1er octobre 1776, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), avec Marie Geneviève Menuet
... fille de Louis Menuet et Geneviève Morin ... dont
Marie Anne Thérèse Leroy, née le 14 octobre 1777, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédée le 26 avril 1810, Arrou (Eure-et-Loir) (à l’âge de 32 ans).
Mariée le 10 pluviôse an VII (29 janvier 1799), Arrou (Eure-et-Loir), avec Jean Baptiste François Damoiseau, né le 6 avril 1773, Arrou (Eure-et-Loir), cordonnier
... fils de François Damoiseau et Marie Charlotte Eugénie Brès .
Nicolas Adrien François Modeste Leroy, né le 16 juin 1784, Châtillon-en-Dunois (Eure-et-Loir), décédé le 28 octobre 1844, Saumur (Maine-et-Loire) (à l’âge de 60 ans), brigadier des chasseurs à cheval de la garde impériale, employé à l'Ecole Royale de Saumur. [Note 43]
Marié avec Marguerite Pinet ... dont
Hortense Leroy, décédée après 1844.
Mariée avec Félix Baudoux, professeur à Saumur.
Adrien Leroy, décédé après 1844, typographe.
Charles Leroy, décédé après 1844, tapissier.
Marguerite Leroy, née le 2 décembre 1756, paroisse Saint Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir), décédée le 4 février 1807, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l’âge de 50 ans).
Mariée le 21 novembre 1780, paroisse Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir), avec Mathieu Bourgery, décédé le 28 août 1783, Châteaudun (Eure-et-Loir), maître tailleur à Châteaudun Saint-Jean
... fils de Mathias Bourgery †/1780 et Jeanne Billard . Mariée le 9 mai 1786, Saint-Jean-de-la-Chaîne, Châteaudun (Eure-et-Loir), avec Louis Tribotté, né le 25 mars 1766, Châteaudun (Eure-et-Loir), décédé le 20 janvier 1815, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l’âge de 48 ans), tailleur d'habits
... fils de Louis Tribotté et Madeleine Hermeline , ...
Catherine Leroy, née en 1759, décédée en 1792 (à l’âge de 33 ans).
Mariée le 1er septembre 1788, Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir), avec Jacques Honoré Dauger, né en 1765, boulanger
... fils de Pierre François Dauger 1735-1789 et Louise Marcault 1726-1789 , ...
Marie Sophie Leroy, née vers 1769, décédée le 19 avril 1791, Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l’âge de peut-être 22 ans).
Mariée le 16 février 1789, Saint-Médard, Châteaudun (Eure-et-Loir), avec Philippe Augustin Le Rouvillois, né le 11 mars 1756, Bricquebec (Manche), décédé le 17 septembre 1819, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l’âge de 63 ans), colonel
... fils de Jacques Le Rouvillois †1773 et Jeanne Le Brumant †1805 [Note 49-1], ...
Nicolas Le Roy, notaire à Boursay.
Marié le 2 décembre 1724, Boursay (Loir-et-Cher), avec Marie Gaussant, née vers 1662, décédée le 14 mars 1735, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de peut-être 73 ans)
... fille de René Gaussant †/1679 et Jacquette Goislard †/1679 .
Marie Leroy, née le 8 octobre 1668, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédée le 29 juillet 1712, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de 43 ans).
Mariée le 24 novembre 1689, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Jean Trécul, né le 2 octobre 1666, Boursay (Loir-et-Cher), baptisé, Boursay (Loir-et-Cher), décédé le 6 janvier 1696 (à l’âge de 29 ans)
... fils de Armand Trécul 1641-1698 et Elisabeth Menant 1645-1694 , ... Mariée avec Laurent Landron.
Jacques Leroy, né le 1er décembre 1669, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédé le 26 mai 1735, Saint-Agil (Loir-et-Cher) (à l’âge de 65 ans), notaire royal à Saint-Agil.
Marié le 10 janvier 1702, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Marie Bessé
... fille de Jean Bessé ca 1639-1698 et Jeanne Chevallier 1640-1694 ... dont
Marie Leroy, décédée le 18 janvier 1759, Boursay (Loir-et-Cher).
Mariée le 1er août 1730, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Antoine Bordas, né le 25 novembre 1710, Arrou (Eure-et-Loir), décédé le 3 novembre 1756, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de 45 ans), chirurgien
... fils de Pierre François Bordas, sieur de La Brunetière 1675-1728 et Marie Anne Jouet ca 1685-1740 . Mariée le 11 juillet 1758, Boursay (Loir-et-Cher), avec Louis Pasquier, né le 14 novembre 1702, Choue (Loir-et-Cher), décédé le 6 janvier 1777, Boursay (Loir-et-Cher), inhumé le 7 janvier 1777, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de 74 ans), charron, laboureur, bordager
... fils de Louis Pasquier et Jeanne Fourmy .
Jacques Leroy, notaire.
Marié le 13 mai 1732, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Anne Boudet, décédée avant 1761
... fille de Marin Boudet †/1749 et Catherine Besnard †/1749 ... dont
Anne Leroy, décédée avant mars 1791.
Mariée le 13 janvier 1761, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec François Jean Yson, chirurgien à Unverre
... fils de François Yson et Marie Beaufeu , ...
François Leroy.
Françoise Leroy, née le 16 avril 1672, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédée le 19 octobre 1746 (à l’âge de 74 ans).
Mariée le 20 juillet 1694, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Jean Olivier, décédé avant février 1714
... fils de Jean Olivier †/1694 et Marguerite Huet , ... Mariée avec Jean Bessé, né vers 1663, décédé le 13 mars 1729, Souday (Loir-et-Cher) (à l’âge de peut-être 66 ans)
... fils de Jean Bessé ca 1639-1698 et Jeanne Chevallier 1640-1694 .
Marguerite Leroy, née le 17 mai 1677, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédée le 17 janvier 1738, Choué (Loir-et-Cher) (à l’âge de 60 ans).
Mariée le 31 juillet 1703, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Denis Cheramy, décédé après mars 1724
... fils de Denis Cheramy 1647-1724 et Marie Brianne ca 1640-1701 , ...
Augustin Leroy, né le 7 décembre 1679, Saint-Agil (Loir-et-Cher), décédé le 13 octobre 1749, Boursay (Loir-et-Cher) (à l’âge de 69 ans).
Marié le 27 février 1702, Saint-Agil (Loir-et-Cher), avec Catherine Fouchard, décédée avant novembre 1719
... fille de André Fouchard 1652-/1702 et Catherine Michel ... dont
Catherine Leroy, décédée avant juillet 1755.
Mariée le 24 novembre 1729, Boursay (Loir-et-Cher), avec Louis Volant, décédé avant juillet 1755, marchand, fermier général de Monsieur de Saint-Rémy
... fils de Claude Volant 1666-1739 et Françoise Bois †1712 , ...
Guillaume Leroy.
Mathieu Leroy.
Anne Leroy, décédée après juillet 1680.
Mariée avec Jacques Pigeon, décédé avant juillet 1680, ...
François Leroy, décédé après juillet 1680.
Total: 63 personnes (conjoints non compris).
Notes 3-3 (Catherine Rousseau 1651-/1698) AD 28 2E 59/271 : le 01/10/1698 partage des biens de feue Catherine Rousseau.
9 (Anne Leroy 1681-1710) Elle a un oncle maternel Joachim Rousseau, présent à son remariage.
18-1 (Armande Richard 1816-1875/) En 1875 elle demeure au Mans.
19-1 (Gabrielle Varanguien de Villepin 1853-1932) Au congrès Jeanne d'Arc en 1906, notre aïeulle Gabrielle Le Roy Liberge, catholique sociale, rédactrice du projet de loi sur le travail féminin présenté par Albert de Mun à l'assemblée prône le droit des votes des femmes. Voici ce qu'elle écrit en 1910 .... "Ah! s'il leur avait été donner depuis dix ans, que d'actes honteux, iniques, lamentable pour la France, eussent été évités!... Oui, j'en appele à toutes celle qui, lors des expulsions de nos religieuses, des inventaires de nos église, ont été les premières à se mettre avec les persécutés contre les persécuteurs!... aux centaines de milliers de femmes qui ont signé la pétition contre la séparation de l'église et de l'état, aux mère qui, aujourd'hui encore, ne redoutent pas d'encourir toutes le menaces gouvernementales pour sauver l'âme des leurs enfants de la funeste propagande faite à l'école!..." "La femme française, même illettrée a l'intuition des idées justes, saines, pratique: si elle avait part au scrutin, elle ne voterait pa pour ceux qui blessent les convictions les plus chères, en reniant les traditions de la race, qui inquiètent son esprit d'ordre et d'épargne en menaçant l'héritage des ses enfants, mais elle ferait adopter des réformes salutaires, telles que le projet de loi de M. le comte de Mun, sur le salaire minimum, la suppression du travail de nuit des boulangers etc..." "Nous savons, par l'exemple des pays étrangers où les femmes possèdent le droit de vote que c'est depuis ce moment là qu'ils ont pu obtenir des mesures efficaces contre l'alcoolisme, le jeu, la pornographie, pour la protection du travail des femmes et surtout des enfants auxquelles les hommes n'avaient jamais songé!... Elle est également l'auteur de trois livres .* "La Chine encore chinoise", a Chapelle-Montligeon, Imp. Montligeon, 1905 . "Impressions d'Extrême-Orient : Transsibérien, Japon, Indochine, Java, Indes anglaises, Paris, Oudin, 1905 .* "Trois mois en Portugal", Paris B. Grasset, 1910. Les deux premiers écrits lors de son voyage par lequel elle rend visite à sa fille et son gendre en Chine alors que celui-ci, Alexandre Conty, y est ambassadeur http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k296923t/texteBrut Les obsèques de Mme Le Roy Libèrge, née Varanguien de Viliepin, décédée le 3 avril, auront lieu demain mardi 5 àvril, à dix heures et demie, en l'église Saint-Charles de Monceau, où l'on se réunira. De la part de M. et Mme Raymond Le Roy Liberge, de M. Conty, ambassadeur de France, et de Mme Conty. Ni fleurs ni couronnes. Cet avis tient lieu d'invitation.
20-1 (Alexandre Conty 1864-1947) Issue d'une famille aisée (son père est un gros propriétaire), Alexandre Conty est né le 3 mai 1864 à Abilly, petite commune d'Indre-et-Loire.
Après avoir été reçu à l'École Polytechnique en 1884, le jeune Alexandre en 1887, décide de se présenter au concours d'admission aux carrières diplomatiques et consulaires. Mais avant cela, il sollicite de Jules Herbette, alors ambassadeur à Berlin, la faveur, d'être autorisé à participer aux travaux de cette ambassade. Jules Herbette, transmet cette demande au ministre Flourens, qui le 8 janvier 1887, y donne une réponse favorable. Conty est donc admis en qualité d'attaché autorisé à l'ambassade de France à Berlin, à partir du 1er février. Le 6 décembre de la même année, il demande l'autorisation de se présenter au concours, recommandé par Jules Herbette et le député de la Charente, Delmas. Déclaré admissible au concours, de janvier 1888, il revient à Berlin en février 1889, en qualité d'attaché stagiaire. A la demande de Jules Herbette, Conty est autorisé à participer provisoirement aux travaux de la direction politique le 6 novembre 1891, échappant ainsi à la période militaire d un mois qu'il est tenu d'effectuer en tant que sous lieutenant de réserve. Jules Herbette réussit à lui faire obtenir un sursis d'un an auprès de Charles de Freycinet, alors ministre de la Guerre et président du Conseil.
Un décret du 12 mai 1892, nomme Conty attaché d 'ambassade de 3ème classe et le désigne à la résidence de Madagascar, à l'insu de Jules Herbette qui ne l'apprend que par une lettre d'adieux de Conty.
A Madagascar, Alexandre Conty va se consacrer à la mise en valeur de l'île et tout particulièrement au développement de la culture du café importé du Brésil : ses études très remarquées sur les moyens d'acclimater les cafés du Brésil à Madagascar, ont été publiées dans les revues de culture coloniales et dans le Moniteur du Commerce. Dupuy, ministre de l'agriculture, demandera, en août 1900, qu'on attribue à Conty la croix de chevalier du mérite agricole.
Le 4 décembre 1894, Conty demande au général Mercier, ministre de la Guerre, d'être attaché comme sous-lieutenant de réserve d'artillerie au corps expéditionnaire de Madagascar arguant du fait « qu'un séjour de 2 ans et 3 mois à Tananarive lui a permis d'acquérir du pays et de la langue malgache, une connaissance dont il pourrait éventuellement tiré profit ». Cette requête n'est pas acceptée.
Le 28 juin 1895, Conty est appelé à la légation de Bucarest. Mais au bout de quelques mois, il demande à revenir à Madagascar et à faire partie du ministère des Colonies avec le grade de résident (lettre du 29 février 1896). Il n'obtient pas satisfaction, mais le 28 octobre 1896, il est envoyé à la légation de Rio de Janeiro à la disposition de Stephen Pichon. Il va continuer dans ce pays ses études sur la culture du café et faire de nombreux rapports, très appréciés de la direction des consulats, sur la situation économique du Brésil.
Pichon très satisfait des ses services, propose Conty, en décembre 1897, pour la croix de chevalier de la Légion d Honneur. Cette décoration ne lui sera accordée que le 23 janvier 1899.
Conty est à ce moment en congé dans son village natal depuis fin décembre 1898, pour raisons de santé. Il souffre, en effet, d'une hépatite et de fièvres palustres contractées à Madagascar, qui se sont à nouveau manifestées à Rio.
Profitant de sa présence en France, Conty demande l'autorisation d'épouser Nelly Le Roy Liberge, domiciliée au Mans, dont la mère est veuve depuis 6 ans avec deux enfants (un fils de 20 ans et une fille de 18 ans) et propriétaire du château d'Isaac près du Mans. Ils se marièrent au mois de juin et auront sept enfants : trois filles nées respectivement en juin 1900, juillet 1901 et janvier 1911, et quatre garçons, né en janvier 1903, août 1904, août 1909 et septembre 1915. Le 12 juin 1899, Conty est nommé à l'ambassade de Constantinople à la disposition de Constans (avec un traitement de 9000 francs). Avant de rejoindre ce poste, il doit se rendre le plus tôt possible à Bruxelles à la disposition de Gérard, afin de remplir l'intérim des fonctions de premier secrétaire jusqu'à l'arrivée du titulaire. Il n'ira finalement pas à Constantinople.
Tandis qu'il est à Bruxelles, il obtient du ministère l'autorisation de publier, sous le pseudonyme de Robert Dumeray, un travail extrait des notes sur Madagascar, portant sur une études de la population du pays Betsiléo sous la domination des Hovas avant la conquête française. Cette publication est demandée par le secrétaire général du comité de Madagascar pour le premier numéro de La Revue de Madagascar, fondé à Paris 44 rue de la Chaussée d'Antin.
Par un arrêté du 1er mars 1901, Conty est nommé officier d'académie par le ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts.
Le 20 mars 1901 suivant, il est nommé à l'ambassade de Berlin. Mais le ministre des Affaires étrangères décide de le détacher temporairement à l'administration centrale afin de remplir l'intérim des fonctions de chef du bureau des affaires d'Amérique à la direction des consulats et des affaires commerciales. Il ne rejoint pas son poste à Berlin car un décret du 30 mars 1902, le confirme dans ses fonctions au bureau des Affaires d'Amérique, et lui donne le grade de secrétaire de première classe.
Trois années de suite 1904, 1905 et 1906, il fait partie du jury chargé d'examiner les candidats au concours des carrières diplomatiques et consulaires, ainsi que pour l'année 1910.
Par un arrêté du 1er avril 1908, il est désigné comme membre de la commission d'achat des livres instituée par le décret du 20 janvier précédent et qui doit se réunir sous la convocation de son président, le sous-directeur des archives (Charlot).
Le 30 juillet 1909, Conty est élevé par décret au grade de ministre plénipotentiaire de 2ème classe. Au mois de septembre, il est nommé adjoint au directeur des Affaires politiques et commerciales, et chargé de la sous-direction d'Europe, d'Afrique et d'Océanie, en remplacement de Bapst qui devient directeur. En 1912, l'Orient remplacera l'Océanie dans cette sous-direction. Le 31 décembre 1910, il est promu officier de la Légion d'honneur.
Le 21 novembre 1911, le président Fallières sur proposition du ministre des Affaires étrangères de Selves, le désigne comme commissaire du gouvernement pour assister le ministre des Affaires étrangère devant la Chambre des députés, dans la discussion du projet de loi portant approbation de la convention, conclue entre la France et l'Allemagne le 4 novembre 1911, pour la délimitation de leurs possessions respectives dans l'Afrique équatoriale. Par un décret du même jour, il est en outre chargé d'assister le ministre dans la discussion du budget du ministère des Affaires étrangères devant la Chambre de députés, puis le 12 février 1912, devant le Sénat.
C'est après avoir assumé tous ces postes à responsabilité que, par un décret du 31 mai 1912, Conty et nommé envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire à Pékin. Il remplace Jacquin de Margerie, qui nommé adjoint au directeur des affaires politiques et commerciales, prend la place de Conty à la sous direction d'Europe, d'Afrique et d'Orient.
Le 21 novembre, Conty avise Poincaré, président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, de son arrivée à Pékin et de sa prise de service de la légation le lendemain, 22 novembre.
Au mois d'août 1914, Conty, de concert avec le consul général de Shanghai, Gaston Kahn, obtient la conclusion des négociations pour l'annexion des routes extérieures à la concession de Shanghai. Dès 1907, la municipalité avait déjà obtenu le droit d'y exercer son contrôle par l'intermédiaire de sa police et d'en assurer l'entretien, ainsi que l'installation de l'éclairage électrique. Mais à cette époque, le gouvernement chinois voyait d'un très mauvais œil toute nouvelle tentative d'extension de la concession française. Au bout de 4 ans de présence, il sollicite un congé pour lui sa femme et ses sept enfants et part le 31 août 1916, après avoir remis le service à Damien de Martel. Entre-temps, le 26 février 1916, il est promu ministre plénipotentiaire de 1ère classe.
Conty reprend la direction de la légation le 6 février 1917. Mais, dès son retour, il est sans cesse en buttes aux chicanes des autorités chinoises. En premier lieu, éclate une polémique avec le ministère des Affaires étrangères chinois au sujet du départ trop tardif du ministre d'Allemagne alors que ses passeports lui ont été délivrés le 15 mars. Les chinois, par l'intermédiaire du Péking Gazette, en rejettent la faute sur les lenteurs administratives de la légation de France, tandis que Conty accuse le gouvernement chinois d'en être responsable et d'être de mauvaise foi. Le gouvernement chinois reproche en outre à Conty, d'avoir fait des observations très vives et d'avoir congédié, sans lui tendre la main, le chef du secrétariat du vice-président de la République, Feng Kouo Tchang, qui venait à la place de son supérieur, rendre la visite de politesse que Conty avait faite à ce dernier. Conty aurait prétexté que Feng Kouo Tchang devait rendre sa visite lui-même, alors que les représentants des autres puissances n'ont fait aucune objection.
Pour finir, le ministre des Affaires étrangères chinois accuse Conty d'avoir eu des altercations quotidiennes avec les membres de son ministères et ce, depuis son arrivée en 1912 à Pékin. Depuis son retour, il s'est montré encore plus violent que précédemment. En conséquence, le ministre des Affaires étrangères chinois est chargé de dire au gouvernement français que son gouvernement, à son grand regret, considérait, M. Conty comme « persona non grata ».
Ces détails sont révélés dans une note du 7 avril 1917 émanant du directeur politique du ministère, et portant la mention « secret ».
En fait, une deuxième note du 31 décembre 1917, émanant de la direction des Affaires politiques et destinée au ministre, semble donner les véritables raisons en révélant, qu'à différentes reprises, le ministre chinois à Paris, est venu entretenir le ministre des Affaires étrangère de l'attitude de Conty. Le ministre, dans un premier temps, n'a tenu aucun compte des allégations des responsables chinois contre le ministre français en Chine. En fait, selon différents rapports de Conty, il semblerait que le ministre des Affaires étrangères chinois Wou Tin Fang, durant la période où la Chine hésitait à prendre partie pour les Alliés ou les empires centraux, penchait nettement en faveur de ces derniers et se trouvait de ce fait en opposition avec le maréchal Toan, président du conseil, nettement favorable aux alliés. Wou Tin Fang aurait été, semble-t-il, encouragé dans cette attitude par Reinsch, le ministre des États-Unis à Pékin, de tendance germanophile, en raison de ses origines allemandes ; d'où les nombreuses altercations entre ces derniers et Conty. Finalement Conty réussit à pousser le gouvernement chinois à déclarer la guerre aux empires centraux au mois d'août 1917. Dans son télégramme du 14 août, dans lequel il annonce cet heureux résultat, il remercia le gouvernement français d'avoir attendu la fin des négociations pour mettre fin à sa mission et demande les raisons exactes qui ont justifié son rappel. Ribot répond, le 17 août qu'en dehors des différentes démarches du ministre de Chine à Paris sur l'ordre de son gouvernement, c'est surtout l'attitude et les propos discourtois de Conty, vis-à-vis du ministre des États-Unis à Pékin qui a entraîné son rappel. Conty a en effet, déclaré à ce dernier qu'il ne considérait pas les Américains comme des alliés, et que la note américaine remise le 4 juin au gouvernement chinois, le dispensait, lui et ses collègues de consulter les États-Unis relativement aux questions chinoises. Comme l'a fait remarquer Jusserand, ambassadeur à Washington, dans son télégramme du 10 août, « le gouvernement appréciera si nous avons intérêt ou non à ce que les Américains que nous assaillons chaque jour de demandes renouvelées d'aide financière, navale, militaire etc nous prennent au mot et déclarent en effet qu'ils ne nous sont rien. » En conséquence, pour apaiser le mécontentement du gouvernement chinois et surtout les Américains, le 11 août 1917, Poincaré signe le décret de rappel de Conty qui est mis à la disposition. Conty quitte Pékin le 10 septembre 1917, remet le service à Damien de Martel, et s'embarque le 16 à Shanghai pour la France.
Par un décret du 13 janvier 1918, il est réintégré en activité et nommé le même jour envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire au Danemark. Conty arrive le 16 mars à Copenhague. Un an et demi plus tard, le 28 janvier 1919, il est promu au grade suprême d'ambassadeur de France et est envoyé au Brésil où il termine sa carrière diplomatique.
Le 7 août 1923, il est fait commandeur de la Légion d honneur et à sa demande le 20 janvier 1928, est admis à faire valoir ses droits à la retraite. En mai 1930, le ministère des PTT décide de préparer la création d'un poste colonial d'Etat, soutenu par le Maréchal Liautey. Une Fédération Nationale de la radiodiffusion coloniale est créée, présidée par Alexandre CONTY, ambassadeur de France. RECAPITULATIF (Base Léonore) 1884-1886 Ancien Elève de l'Ecole Polytechnique 1/2/1887 Attaché autorisé à Berlin 24/1/1889 Attaché à Berlin 6/11/1891 Attaché à la direction politique 12/5/1892 secrétaire de 3ème classe à Tananarive 28/6/1895 secrétaire de 3ème classe à Bucarest 28/10/1896 secrétaire de 2ème classe à Rio de Janeiro 1/1/1899 chevalier de la Légion d'honneur 12/6/1899 secrétaire de 2ème classe à Constantinople (non installé) 23/7/1899 Chargé par intérim des fonction de 1er secrétaire à Bruxelles 20/3/1901 secrétaire à Berlin 30/5/1902 secrétaire d'ambassade de première classe 1/9/1906 premier secrétaire à Lisbonne 25/5/1907 Sous-directeur d'Amérique 20/7/1909 Ministre plénipotentiaire de 2ème classe 2/10/1909 Sous-directeur d'Europe adjoint au directeur des affaires politiques et commerciale 31/12/1910 Officier de la Légion d'honneur 31/5/1912 Envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire à Pékin 26/2/1916 Ministre plénipotentiaire de 1er clcsse 11/8/1917 Placé en disponibilité 13/1/1918 Envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire à Copenhague 28/6/1919 Nommé Ambassadeur de France à Rio de Janeiro 7/8/1923 Commandeur de la Légion d'honneur 20/1/1928 Fait valoir ses droits à la retraite. Ce texte est disponible sous les termes de la Licence Creative Commons Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 3.0 Unported (CC-BY-SA) http://www.entreprises-coloniales.fr/madagascar-et-djibouti/Qui_etes-vous_1924-Madag.pdf
23 (Raymond Le Roy Liberge 1943) Président Sully Promotions, Président du Groupe Immobilier Les Provinces, Vice Président de la FPI Centre et Président d'OCELOR (Observatoire du logement de la Région Centre) Raymond Le Roy Liberge travaille avec sa fille Oriane, architecte, et son fils Ivain, directeur général. L’entreprise familiale est appelée à se pérenniser. « Comme beaucoup d'entrepreneurs, j'ai créé mon entreprise dans mon grenier, rue Saint-Eloi, en plein centre d'Orléans », raconte Raymond Le Roy Liberge. En 1996, l'ancien directeur général du groupe Valloire, à Orléans, devenait donc promoteur immobilier (*). Vingt ans plus tard, le PDG de Sully Promotion (qui ne veut pas avouer son âge) tient toujours les rênes de son entreprise. Mais il cédera sa place, un jour ou l'autre, à son fils, Ivain, 45 ans. Ce dernier l'a rejoint, après avoir complété son diplôme d'ingénieur par un master immobilier, et occupe dorénavant le poste de directeur général. « Il y a 10 ans, j'ai commencé à penser à ma retraite et j'ai fait un séminaire avec mes enfants pour savoir si nous allions vendre ou s'ils reprendraient l'entreprise », explique le président fondateur. De plus en plus de résidences à Paris Les affaires se traitent, en effet, en famille. Oriane, la benjamine, a également rejoint Sully promotion voilà cinq ans, après un parcours d'architecte, notamment en Asie pour la Fondation Architectes de l'urgence. Chez Sully promotion, elle dirige les programmes de la région Centre-Val de Loire. « L'entreprise a trouvé sa continuité. Elle est capable de s'assumer. On s'entend bien et on est très complémentaires », précise le trio. Après le grenier familial, l'entreprise est passée par la rue Dauphine, pour occuper aujourd'hui un ensemble immobilier qu'elle a construit, près du lycée Charles-Péguy, toujours dans le quartier Saint-Marceau, à Orléans. Elle possède également un bureau de 200 m ², boulevard Haussmann à Paris. Malgré la crise immobilière, le groupe maintient son cap et va de l'avant : « Nous sommes suffisamment agiles. Nous avons connu une croissance moins accélérée, mais 2015 a été une bonne année. Le promoteur a capitalisé sur sa notoriété locale, qui s'est étendue à Tours (Indre-et-Loire)… et à Paris. « Les mairies nous appellent et nous rappellent. C'est bon signe ! Nous sommes en très forte progression en Île-de-France, depuis cinq ans. » Du coup, cette année, l'entreprise prévoit plus de la moitié de son activité en dehors de la région ! « Nous réalisons un chiffre d'affaires de 40 à 50 millions d'euros, ce qui représente 300 logements par an (à raison de 180.000 euros le F3, en moyenne). Et l'on dit que la construction d'un logement induit deux emplois. Nous créons donc 600 emplois par an ! », se réjouit Raymond Le Roy Liberge. L'entreprise emploie 22 salariés, dont deux ont été recrutés fin 2015. Un petit effectif, d'après la direction, en regard du nombre de logements réalisés. Un total qui s'approcherait des 3.000, depuis 20 ans, selon le président. Un prix national à Saint-Jean-de-Braye Du social, du privé, des résidences, des ensembles, des bureaux, des commerces… La résidence des Cascades, à Saint-Jean-de-Braye, a été élue meilleur programme 2014 de la région par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Toujours à Saint-Jean-de-Braye, avec vue sur le fleuve, Élégance de Loire est prix national du développement durable en 2013. Raymond Le Roy Liberge cite aussi, parmi les vingt-cinq programmes en cours de commercialisation, la future résidence du Beau Dunois, place d'Armes à Orléans. Ou encore le très chic immeuble de sept étages dominant le parc Montsouris à Paris. (*) Le promoteur immobilier acquiert des terrains et y construit un ou des immeubles dans le but de les vendre ou les louer à bail. C'est lui qui définit les plans, les prestations, la stratégie commercialeæ Il pilote l'opération.
23-1 (Jacqueline Rabaud †2021) Culte d'action de grâce au temple de Versailles (Yvelines).
24 (Ivain Le Roy Liberge 1970) Après avoir effectué des études d’ingénieur à l’ESIEA, Ivain Le Roy Liberge intègre une société de Conseil en télécommunications. Cependant, entrepreneur dans l’âme, il décide d’intégrer le 3e cycle « direction stratégique des entreprises » de l’ESCP Paris et de se spécialiser en immobilier avec le 3e cycle de l’ESSEC. Depuis 11 ans, il travaille au sein de l’entreprise familiale orléanaise Sully Promotion. Il en a pris la tête il y a 8 ans maintenant et s’est attaché à développer l’entreprise avec l’implantation de Sully Promotion en Ile-de-France et en Aquitaine. Il se dit avant tout dirigeant d’une PME à dimension humaine, avec des valeurs auxquelles il reste profondément attaché. Sully Promotion compte aujourd’hui plus de 20 collaborateurs et devrait réaliser en 2017 un chiffre d’affaires supérieur à 45 M€. Depuis sa création, Sully Promotion a construit plus de 3000 logements collectifs et individuels et développe actuellement plus d’une trentaine de programme sur le territoire national. Sully Promotion fait partie du groupement les Provinces, réunissant 4 opérateurs immobiliers régionaux et dont l’ambition est de proposer des programmes immobiliers sur l’ensemble de la France.
31 (Oriane Le Roy Liberge 1980) Responsable qualité pour le compte de Sully Promotion, Oriane Le Roy Liberge, Architecte hmonp, s’assure que les projets de la société répondent bien aux normes environnementales en vigueur. « Ce poste est très transversal et implique l’ensemble des acteurs d’un projet, du montage de l’opération à la livraison », explique Oriane Le Roy Liberge. Les réunions sont fréquentes et une veille des nouvelles réglementations, constante. Promoteur gestionnaire de la région Centre et d’Ile-de-France et associé au groupe immobilier Les Provinces, spécialiste de la promotion immobilière dans toute la France, Sully Promotion existe depuis 1996. Raymond Le Roy Liberge, père de la jeune femme, en est le fondateur et l’actuel président. Son frère Ivain a également rejoint la structure depuis cinq ans. « Nous sommes issus d’une famille d’entrepreneurs. Mes arrières grands-parents construisaient déjà en Cochinchine », explique Oriane Le Roy Liberge. Le groupe Les Provinces fait preuve des qualités généralement attribuées aux entreprises familiales telles que le sens de l’engagement et du service, une vision à long terme ainsi qu’une gestion maîtrisée. Ceci explique fort vraisemblablement la croissance régulière du groupe en à peine quinze ans, mais pas seulement. En effet, son ouverture sur le monde lui confère une place à part, singulière dans le paysage de la promotion immobilière française. « Une partie de ma famille a vécu au Maroc et certains membres de notre famille sont établis à l’étranger. Du coup, nous savons nous adapter à d’autres cultures, ne pas nous attacher coûte que coûte à un seul point de vue », déclare Oriane Le Roy Liberge. Comment la jeune architecte réussit, elle à intégrer cette vision du monde dans son parcours professionnel ? Pendant son adolescence, Oriane Le Roy Liberge fait partie de plusieurs associations et se montre passionnée de bande dessinée. Avec les Blouses Roses, bénévoles chargés d’apporter un peu de gaieté dans les hôpitaux, elle pense à la médecine. Le destin en décidera cependant autrement, car la jeune femme montre de réelles aptitudes en dessin et se voit conseiller l’architecture. Un peu dubitative, Oriane Le Roy Liberge s’inscrit à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles en 1999. « J’ai été mordue direct », affirme-t-elle. Un an plus tard, la jeune étudiante fait partie des deux mille jeunes âgés de vingt ans en l’an 2000 sélectionnés par le Ministère de la Culture dans le cadre des "Reporter 2000". Pendant deux mois, elle voyage sur le continent Européen et rapporte un témoignage écrit et photographique de cette expérience. « J’ai appris à voyager seule, sac au dos », déclare Oriane le Roy Liberge. Elle continue l’aventure un an à l’université de Valladolid en Espagne en profitant du programme Erasmus. De retour en France, elle axe le plus possible ses projets d’études sur des problématiques à l’étranger, comme en Chine ou au Brésil. Lors d’une conférence, elle rencontre Patrick Coulombel, Président de la Fondation Architectes de l’Urgence. Cette ONG française, fondation reconnue d’utilité publique, existe depuis 2001. Elle a pour but d’aider les populations victimes de catastrophes naturelles, technologiques ou humaines à reconstruire leur habitat ainsi que leurs équipements. La première étape consiste à répondre très rapidement à une situation d’urgence en évaluant les risques et les mesures stratégiques à prendre pour stabiliser la situation et la sécuriser. Une autre étape s'attache à l’évaluation des dommages, puis à la reconstruction d’un habitat décent et durable ainsi que des infrastructures essentielles (écoles, hôpitaux,…) Cette phase est réalisée en partenariat étroit avec les acteurs locaux qui font preuve de leur connaissance du terrain et de leur savoir-faire spécifique, tandis que les chargés de Sois libre, autonome et acteur du changement. Afin que les populations locales deviennent de plus en plus plus autonomes, des formations couvrant l’intégralité des métiers du bâtiment sont effectuées sur place. Il s’agit également d’accompagner le redémarrage de la vie économique par l'emploi de matériaux locaux, et de mener une politique concrète de conservation du patrimoine architectural, historique et culturel. « Cette ONG rassemble mes centres d’intérêt, l’architecture, l’action humanitaire sur le terrain, les langues… Travailler avec eux après mes études avait du sens », déclare Oriane Le Roy Liberge. En janvier 2007, la jeune architecte alors diplômée d’Etat depuis 2006, s’envole pour l’Indonésie afin de participer à la conception et à la réalisation d’une cinquantaine de maisons afin d'y reloger les victimes d’un tremblement de terre. Le succès est tel que la population leur demande également de construire une crèche puis une école maternelle. « Le projet était bien maîtrisé, et la population très investie. D’autre part, nous avons constaté que nos techniques de constructions parasismiques étaient reprises sur d’autres chantiers que les nôtres, preuve de la réussite de la mission », raconte la jeune architecte. En 2009, ce projet est récompensé par le prix Architecture et Maîtres d’Ouvrage (AMO), mention " initiative habitat et environnement ", pour la qualité de l’œuvre et du dialogue instauré entre maître d’œuvre et maître d’ouvrage. « Cette expérience m’a fait réaliser que j’aimais beaucoup initier et monter des projets, ainsi que gérer des équipes », commente Oriane Le Roy Liberge. Elle enchaîne avec une mission au Sri Lanka. Il s’agit de construire pour sa population une soixantaine de maisons dans un pays en plein conflit armé. « Cela n’avait rien à voir avec l’Indonésie car la population du Nord du Sri Lanka est déracinée. Le tsunami et la guerre y ont laissé des traces profondes. En raison de questions de sécurité, le suivi de chantier et la gestion des matériaux étaient très complexes », reconnaît l’architecte qui ne se démonte pas et travaille d’arrache-pied pour livrer les logements demandés. « Dans ce contexte, on se sent vraiment utile parce que l’on suggère qu’une reconstruction est possible concrètement mais aussi symboliquement » explique Oriane Le Roy Liberge. Voulant acquérir de plus solides connaissances sur le métier et consciente que la vie de famille reste difficilement compatible avec une carrière dans l’humanitaire, Oriane Le Roy Liberge fait le choix de rester en France. Dans un premier temps, L’architecte exerce ses compétences en concevant des logements et des équipements pour le compte de l’agence d’Alain Derbesse puis elle approfondit ses connaissances dans la réalisation de bâtiments à visée commerciale et tertiaire chez Gérard Franc. « J’ai acquis ainsi des compétences dans des domaines très variés », analyse Oriane Le Roy Liberge qui décide, forte de ces expériences, d’intégrer l’entreprise familiale Sully Promotion le temps de consolider les bases d’un dialogue promoteur-maître d’œuvre si brillamment commencé en Indonésie. L’adage familial "Sois libre, autonome et acteur du changement" a encore de beaux jours devant lui.
34-1 (Jacques Janssen 1913-1962) Promotion de Bournazel 1932-1934 chef d'escadron ABC Mort à la place Sarrail (Alger) Croix de Guerre 1939-1945 Chevalier de la Légion d'honneur "Officier très allant et très courageux. S'est particulièrement distingué le 16-12-1942 dans la région Nord de l'Ouad Kebir en portant son escadron par une manoeuvre audacieuse grè le feu ajusté de l'ennemi. Avait déjà fai preuve de bravorr au combat de Medjez-el-Bab le 19-11_1942 en commandant comme un élément résevé, il était intevenu avec hardiesse et à propose pour rétablir la situation dans un secteur menacé." Citation à l'ordre de la brigade n° 35 du 1/2/1943 du Général C.S.T.T. https://memorial.saint-cyr.org/
43 (Nicolas Adrien François Modeste Leroy 1784-1844) Chevalier de la Légion d'honneur (27/02/1814).
49-1 (Philippe Augustin Le Rouvillois 1756-1819) Maréchal des logis au 5e régiment de dragons, compagnie de Possesse (1789). Il fit une belle carrière militaire jusqu'au grade de colonel au 1er régiment de hussards (1805). Chevalier de la Légion d'honneur (11/12/1803). Officier de la Légion d'honneur (14/06/1804). Commandeur de la Légion d'honneur (25/12/1805).