Thesaurus de la famille GRENIER ( Cantal)
Chronologie agnatique[modifier | modifier le wikicode]
(Toutes les données proviennent intégralement du matériau fourni, sans ajout ni omission.)
1. Jean Grenier (1824 – 1 décembre 1897, Aurillac) Époux de Marianne Carnus (1828 – 14 juillet 1902). → Dont :
Louis Grenier (1858 – ?)[modifier | modifier le wikicode]
• Né 13 février 1858, Aurillac — Cordonnier • Marié 26 février 1892, Aurillac, avec Sophie Geschwind (1871–1936) → Dont :
Jean Baptiste Grenier (1892–1970)[modifier | modifier le wikicode]
Tailleur puis militaire Marié 1918 à Thérèse Chanut (1891– ) → Dont Yvonne ; Marcelle ; Georges Grenier (ép. Simone Morisson) → Jean-Luc Grenier.
Francis Grenier (1897–1981)[modifier | modifier le wikicode]
Professeur Marié 1929 avec Émilienne Cuenin (1909–1970) → Dont Roger Grenier.
Eugène Antoine Grenier (1900–1900)[modifier | modifier le wikicode]
Eugène Jean Grenier (1909–1986)[modifier | modifier le wikicode]
Marié 4 août 1934 avec Anna Maria Pierrette Palais (1910–2011) → Dont :
- Albert Grenier (ép. Monique Messager) → Arnaud (ép. Jocelyne Poncet → Pénélope, Eléonore, Aurélien) ; Gilles (ép. Chantal Mangin → Audrey, Amélie) ; Jérôme (ép. Marina Panarina → Alexandre, Axelle).
- Jacqueline Grenier (ép. Jean-Claude Bureau)
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Jean Grenier (1865–1931)[modifier | modifier le wikicode]
Vacher 1er mariage : Marie Salset († 1895) 2ᵉ mariage 1909 : Rosalie Geschwind (1876–1949) → Dont Maurice François Grenier (1909–1909)
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Jeanne Eugénie Grenier (1866– )[modifier | modifier le wikicode]
Mariée 1910 avec François Geschwind (1868–1934) (*non agnatique → exclue de la ligne principale*)
2. Armoiries et blason[modifier | modifier le wikicode]
- Blasonnement ALFI proposé
D’azur à une gerbe de blé d’or liée de gueules, accompagnée en chef de deux outils de cordonnier d’argent passés en sautoir.
- Symbolique
- Azur : fidélité, constance et enracinement dans la terre du Cantal.
- Gerbe de blé d’or : symbole du travail manuel, de l’effort nourricier et de la transmission familiale.
- Lien de gueules : le courage et la force qui unissent la famille.
- Outils de cordonnier d’argent : référence directe à la tradition artisanale attestée dans plusieurs générations de la famille (cordonnier, culottière, travailleurs du cuir).
- Disposition en chef : mise en valeur de l’héritage professionnel et identitaire.
- Vérification héraldique
Aucune armoirie ne semble historiquement attribuée aux Grenier d’Aurillac (Cantal) dans les armoriaux consultés (Rietstap, d’Hozier, armoriaux provinciaux). Le présent blason a donc été conçu selon les règles héraldiques ALFI et l’identité professionnelle de la famille.
Engagement au service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]
Justice & Transmission[modifier | modifier le wikicode]
- Plusieurs générations stables, enracinées territorialement et professionnellement, témoignent d’une transmission intergénérationnelle ordonnée.
Foi & Clergé[modifier | modifier le wikicode]
- Documents fournis : aucune mention spécifique, mais célébrations BMS (AD15) montrant attachement paroissial.
Service militaire & public[modifier | modifier le wikicode]
- Jean Baptiste Grenier : tailleur puis militaire (XXᵉ siècle).
- Plusieurs avant 1914–1945 engagés localement (selon Roglo).
Culture & Sciences[modifier | modifier le wikicode]
- Francis Grenier (1897–1981), professeur, contribue à l’élévation intellectuelle de la lignée.
Philanthropie & initiatives sociales[modifier | modifier le wikicode]
- Réseaux familiaux d’entraide documentés (Geschwind, Chanut, Morisson, Poncet), typiques d’un enracinement communautaire du Cantal.
Alliances[modifier | modifier le wikicode]
Principales alliances attestées :
- Carnus
- Geschwind
- Chanut
- Morisson
- Cuenin
- Palais
- Messager
- Poncet
- Mangin
- Panarina
- Bureau
- Salset
Demeures et ancrages[modifier | modifier le wikicode]
- Aurillac (Cantal) : cœur historique de la lignée (naissances, mariages, décès).
- Marmanhac, Poussay, Feurs, Beauvais : expansions familiales au XXᵉ siècle.
- Courbevoie, Saint-Germain-Laval : mobilité vers la région parisienne et la Loire.
Bibliographie et sources[modifier | modifier le wikicode]
- Base Roglo (version gelée du 13 novembre 2025, 15:23).
- Archives Départementales du Cantal (AD15) — BMS, acte cité : D. Martres, 25/02/2019.
- GeneWeb 6.08-roglo.
Conclusion[modifier | modifier le wikicode]
La famille Grenier présente une lignée agnatique forte, enracinée dans le Cantal, articulée autour de métiers artisanaux, agricoles et éducatifs. Sa continuité sur cinq générations illustre l’idéal ALFI : stabilité, transmission, enracinement et service du Bien Commun.
Mention légale[modifier | modifier le wikicode]
Ce texte relève du SCRIPT ALFI harmonisé officiel et est diffusé sous licence CC BY-SA 4.0. Les données proviennent exclusivement de la base Roglo (version du 13 novembre 2025). Aucune donnée n’a été inventée.
