Thesaurus de la famille JEANNEROD ( (La Planée – Besançon – Epernay – Tunis – Paris)
Introduction[modifier | modifier le wikicode]
La famille Jeannerod s’enracine à La Planée (Doubs) à la fin du XVIIe siècle, avant de s’implanter solidement à Besançon puis, au XIXe siècle, dans divers centres administratifs et militaires (Epernay, Poitiers, Tunis, Paris, Saint-Gaudens, etc.).
Le présent Thésaurus agnatique ALFI suit, en priorité, la **lignée masculine principale** et les **branches directement issues** des grandes figures militaires, civiles et intellectuelles de la famille, tout en signalant les alliances qui ont contribué à sa diffusion dans l’espace français (Jura, Ardèche, Puy-de-Dôme, région parisienne, etc.) et à l’étranger (Tunisie, Espagne).
Les données proviennent de la base Roglo (extraction du 19 novembre 2025) et des notices biographiques qui y sont associées, en particulier pour les officiers généraux, les responsables administratifs et les chercheurs de renommée internationale.
Armoiries et blason[modifier | modifier le wikicode]
Aucune armoirie « Jeannerod » n’ayant été retrouvée dans les principaux armoriaux (Rietstap, Jougla de Morenas, d’Hozier, Armorial Général de France, Armorial du Forez et du Lyonnais), l’ALFI propose un blason original fondé sur la symbolique réelle de la lignée et conforme aux règles classiques de l’héraldique.
« D’or au lion de sable lampassé de gueules, tenant un livre d’azur fermé d’argent, au chef de gueules chargé d’une épée haute d’argent. »

Symbolique[modifier | modifier le wikicode]
- Champ d’or
L’or exprime la clarté, la fidélité et le rayonnement. Il rappelle la place des Jeannerod dans la vie intellectuelle, scientifique et administrative française (journalistes, préfets, chercheurs, universitaires).
- Lion de sable lampassé de gueules
Le lion noir symbolise la force, la rigueur et le commandement. Il renvoie aux carrières militaires identifiées dans la lignée (officiers d’infanterie, zouaves, capitaine, chef de bataillon, général de division). La langue rouge exprime le courage et l’ardeur.
- Livre d’azur fermé d’argent
Le livre représente la connaissance, la recherche et l’enseignement. Il évoque :
- – Marc Jeannerod, neurophysiologiste majeur, directeur de l’Institut des Sciences Cognitives ;
- – Georges Jeannerod, journaliste, préfet, auteur d’essais ;
- – les professeurs, érudits, archivistes et administrateurs issus de la lignée.
- Chef de gueules chargé d’une épée haute d’argent
Le chef de gueules rappelle le sacrifice, la fidélité et l’engagement. L’épée haute d’argent symbolise le service de l’État, l’autorité légitime et l’action militaire, en référence aux nombreux officiers Jeannerod.
Chronologie agnatique[modifier | modifier le wikicode]
1. Origines comtoises (La Planée)[modifier | modifier le wikicode]
Les plus anciennes mentions concernent la paroisse de La Planée (Doubs) :
- 1.1. Denise Jeannerod (1699–1770)
Née le 7 décembre 1699 à La Planée (Doubs), † le 24 juin 1770 à La Planée (Doubs) à l’âge de 70 ans.
- Mariage : le 10 mai 1723 à La Planée (Doubs)
avec Jean Claude Laresche (né le 24 juin 1695 à La Planée).
- 1.2. Pierre Jeannerod (né 1705)
Né le 29 septembre 1705 à La Planée (Doubs).
Ces mentions situent le **berceau rural** de la lignée, avant l’implantation urbaine de Besançon.
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2. Besançon au XIXe siècle : un foyer de notables civils et militaires[modifier | modifier le wikicode]
Au XIXe siècle, plusieurs branches Jeannerod se concentrent à Besançon et ses environs, donnant naissance à des **officiers supérieurs**, à des **administrateurs civils** (préfets, sous-préfets), ainsi qu’à des **religieuses missionnaires**.
2.1. Joseph Jeannerod (1839–1920), général de division[modifier | modifier le wikicode]
Joseph Jeannerod, né le 27 mai 1839 à Besançon (Doubs), rue du Clos 30, † le 22 février 1920 à Saint-Julien, Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire), inhumé au caveau de famille, cimetière des Chaprais, Besançon (Doubs) à l’âge de 80 ans. Carrière : **officier d’infanterie**, colonel commandant le **4e régiment de zouaves**, puis **général de division**, commandant le **1er corps d’armée**.
- Mariage : le 5 mars 1873 à Dole (Jura)
avec Élisabeth Michon, née le 29 septembre 1845 à Dole (Jura), † le 13 juin 1910 à Besançon (Doubs) à l’âge de 64 ans.
De ce couple sont issus notamment cinq enfants :
- 2.1.1. Marie Jeannerod (1874–1930)
Née le 5 avril 1874 à Marseille (Bouches-du-Rhône), † le 4 janvier 1930 à Rome (Italie) à l’âge de 55 ans. Religieuse franciscaine.
- 2.1.2. Catherine Françoise Marguerite Jeannerod (1876–1894)
Née le 11 février 1876 à Béligneux (Ain), † le 23 juillet 1894 à l’âge de 18 ans. Religieuse franciscaine missionnaire de Marie.
- 2.1.3. Louis Xavier Joseph Henri Jeannerod (1877–1900)
Né le 5 novembre 1877 à Béligneux (Ain), † le 3 juillet 1900 à Saumur (Maine-et-Loire) à l’âge de 22 ans, lieutenant de cavalerie.
- 2.1.4. Michel Jeannerod (1879–1895)
Né le 28 juillet 1879 à Poitiers (Vienne), † le 18 janvier 1895, inhumé au caveau de famille du cimetière des Chaprais à Besançon, à l’âge de 15 ans.
- 2.1.5. Joseph Jeannerod (1882–1915)
Né le 15 octobre 1882 à Poitiers (Vienne), tué le 5 mai 1915 aux Éparges (Meuse) à l’âge de 32 ans, **officier d’infanterie**, capitaine.
Cette fratrie illustre à la fois **l’engagement militaire** (général, officier d’infanterie, lieutenant de cavalerie, mort au champ d’honneur) et la **dimension religieuse** (deux filles religieuses franciscaines).
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2.2. Charles Jeannerod (1840–1922) et sa descendance[modifier | modifier le wikicode]
Charles Jeannerod, né le 5 novembre 1840 à Peintre (Jura), † en 1922 à l’âge de 82 ans. Fonction : **contrôleur principal des contributions directes**.
- Mariage : le 24 juin 1885 à Villers-Farlay (Jura)
avec Marie Thérèse de Minette de Beaujeu, née le 5 novembre 1850.
De cette union naissent notamment :
- 2.2.1. Bernard Jeannerod (1887–1971)
Né le 14 mai 1887 à Privas (Ardèche), † le 18 août 1971 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) à l’âge de 84 ans.
- Mariage : le 17 décembre 1923 à Castres (Tarn)
avec Blanche Autexier (1888–1969). (Seconde union sans postérité.)
- 2.2.2. Raymond Jeannerod (1889–1974)
Né le 18 juin 1889 à Privas (Ardèche), † le 20 janvier 1974 à Saint-Gaudens (Haute-Garonne), inhumé au cimetière ancien, Saint-Gaudens (Haute-Garonne) à l’âge de 84 ans.
- Mariage : le 28 mars 1939 à Paris 18e
avec Maria Mur, née le 6 février 1895 à Abenozas (Espagne), † en 1970, inhumée au cimetière ancien de Saint-Gaudens (sans postérité).
Cette branche illustre la **mobilité géographique** (Jura, Ardèche, Tarn, Gironde, Saint-Gaudens) et la persistance d’un **profil de notables administratifs**.
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2.3. Louis Jeannerod (1846–1895), chef de bataillon à Tunis[modifier | modifier le wikicode]
Louis Jeannerod, né le 27 mai 1846 à Besançon (Doubs), † en 1895 à Tunis (Tunisie) à l’âge de 49 ans. Carrière : **chef de bataillon d’infanterie**.
- Mariage : le 12 mai 1881 à Grenoble (Isère)
avec Antoinette Vallier, née le 4 avril 1858 à Grenoble (Isère), † en 1942 à l’âge de 84 ans.
De ce couple sont issus notamment :
- 2.3.1. Marie-Louise Jeannerod (1882–1945)
Née le 3 janvier 1882 à Saint-Geoire-en-Valdaine (Isère), † le 13 mai 1945 à Payzac (Ardèche) à l’âge de 63 ans.
- Mariage : le 27 juin 1911 à Saint-Geoire-en-Valdaine (Isère)
avec Pierre, baron Chaurand (3e), né le 27 janvier 1877 à Lyon 2e (Rhône), † le 17 décembre 1945 à Payzac (Ardèche) à l’âge de 68 ans, officier de cavalerie.
- 2.3.2. Caroline Jeannerod (1889–1958)
Née le 28 juin 1889 à Pont-Saint-Esprit (Gard), † le 6 avril 1958 au château de Murol, Luzillat (Puy-de-Dôme), inhumée dans la tombe Barron de Chardin, cimetière de Luzillat à l’âge de 68 ans.
- Mariage : le 16 novembre 1915 à Saint-Geoire-en-Valdaine (Isère)
avec Gabriel Teilhard de Chardin, né le 14 avril 1885 au château de Sarcenat, Orcines (Puy-de-Dôme), † le 29 octobre 1941 au château de Murol, Luzillat, maire de Luzillat.
- 2.3.3. Marguerite Jeannerod (née 1892)
Née en 1892 à Tunis (Tunisie).
Cette branche associe **service militaire outre-mer** (Tunisie) et **alliances de haute notabilité provinciale** (barons Chaurand, Teilhard de Chardin).
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3. Branches civiles, militaires et intellectuelles (XXe–XXIe siècles)[modifier | modifier le wikicode]
La descendance des diverses branches Jeannerod se prolonge au XXe et au XXIe siècles, avec une forte présence dans les domaines **militaire**, **scientifique**, **historique** et **intellectuel**.
3.1. Descendance de Maurice Jeannerod (1885–1938), chef d’escadrons[modifier | modifier le wikicode]
Maurice Jeannerod, né le 21 avril 1885 à Verdun (Meuse), † le 4 mai 1938 à Paris 5e à l’âge de 53 ans, inhumé au cimetière des Chaprais, Besançon. Grade : **chef d’escadrons de cavalerie**.
- Mariage : le 19 septembre 1921 à Saint-Dié (Doubs)
avec Thérèse Kempf, née le 5 mai 1892 à Moyenmoutier (Vosges), † le 23 mars 1957 à Versailles (Yvelines) à l’âge de 64 ans, inhumée au cimetière des Chaprais.
De ce couple sont issus notamment :
- 3.1.1. Jacqueline Jeannerod
- 3.1.2. Geneviève Jeannerod
Mariée avec André Lavollée (1919–1999), de Margency (Val-d’Oise) à Versailles (Yvelines).
- 3.1.3. Anne-Marie Jeannerod
Mariée avec Gérard Marchal.
- 3.1.4. Robert Jeannerod
Marié avec Geneviève Rault (1938–2025). De cette union descendent notamment :
- – François Jeannerod & Anne Milcamps et leurs enfants (Thibaud, Pauline, Grégoire, Camille) ;
- – Isabelle Jeannerod & Stéphane Lot (1959–2007), officier ABC, contrôleur général des Armées, puis Emmanuel Legendre ;
- – Béatrice Jeannerod & Olivier Baron ;
- – Bruno Jeannerod & Charlotte N. ;
- – Xavier Jeannerod & Virginie de Laforcade (et leurs enfants Mathilde, Paul, Raphaël, Jules) ;
- – Éric Jeannerod & Aurélie Raingeard (et leurs enfants Gaspard, Pierre, Basile, Félicité).
- 3.1.5. Autres ramifications
La fratrie est complétée par divers descendants installés en région parisienne et en province, témoignant d’une **large dispersion géographique** au sein de la France contemporaine.
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3.2. Branches alliées : Violot, Olivier, Mallié, etc.[modifier | modifier le wikicode]
Plusieurs filles Jeannerod s’unissent à des familles marquantes :
- 3.2.1. Henriette Jeannerod (1880–1951)
Née en 1880, † en 1951 à l’âge de 71 ans.
- Mariage : le 28 septembre 1903 à Besançon (Doubs)
avec Raoul Violot, né le 26 mai 1879 à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), † le 11 décembre 1956 à Chalon-sur-Saône. Fonctions : gérant de la société de fers Gros et Cie, **président de la Société d’histoire et d’archéologie de Chalon-sur-Saône**.
- 3.2.2. Joséphine Jeannerod (née 1848)
Née le 19 février 1848 à Besançon (Doubs).
- Mariage : le 16 mai 1876 à Besançon
avec Charles Olivier, né le 5 avril 1837 à Pont-du-Navoy (Jura), ingénieur civil, directeur (fonctions techniques et industrielles).
- 3.2.3. Marie Jeannerod (1851–1927)
Née en 1851, † en 1927 à l’âge de 76 ans.
- Mariage : le 9 octobre 1880 à Besançon
avec Henry Mallié (1842–1914), de Besançon.
- 3.2.4. Pauline Jeannerod (1853–1944)
Née le 3 août 1853 à Besançon (Doubs), † en 1944 à l’âge de 91 ans.
- 3.2.5. Amédée Jeannerod (1858–1902)
Né le 9 mars 1858 à Besançon (Doubs), † le 6 mars 1902 à Besançon (Doubs) à l’âge de 43 ans.
Ces alliances renforcent le **tissu de notables locaux** (ingénieurs, érudits, historiens, propriétaires, industriels) autour du noyau Jeannerod.
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3.3. Branches contemporaines et diffusion internationale[modifier | modifier le wikicode]
Les générations récentes, installées notamment en région parisienne, poursuivent l’histoire de la lignée au XXIe siècle :
- descendance de François Jeannerod et Anne Milcamps (Paris, puis diverses régions, avec une nouvelle génération baptisée dans les années 2020) ;
- descendance de Xavier Jeannerod et Virginie de Laforcade ;
- descendance de Éric Jeannerod et Aurélie Raingeard.
Ces branches manifestent la **continuité agnatique** jusqu’aux très jeunes générations (enfants nés en 2021, 2023…), portant un patronyme désormais présent dans plusieurs régions et milieux professionnels variés.
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Engagement au service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]
L’histoire de la famille Jeannerod met en évidence une diversité d’engagements au service du Bien Commun, articulés autour de plusieurs pôles : **armée**, **administration**, **recherche scientifique**, **vie religieuse**, **érudition historique**.
1. Service militaire & service public[modifier | modifier le wikicode]
- Engagement massif dans les **armes** :
- – général de division, commandant de corps d’armée (Joseph Jeannerod, 1839–1920) ;
- – chefs de bataillon et d’escadrons, officiers d’infanterie et de cavalerie (Louis Jeannerod, Maurice Jeannerod, Louis Xavier Joseph Henri Jeannerod, Joseph Jeannerod tué aux Éparges en 1915) ;
- – service dans les zouaves, les garnisons de province et les théâtres extérieurs (Tunis).
- Participation aux conflits des XIXe–XXe siècles :
- – culture de l’**honneur militaire** et du **sacrifice** (mort au champ d’honneur, décorations) ;
- – poursuite de l’engagement au XXe siècle par les alliances (Stéphane Lot, officier ABC, contrôleur général des Armées).
- Service administratif et politique :
- – Alexandre Jeannerod (1805–1874), avocat, **sous-préfet d’Épernay** (1871–1873) ;
- – Georges Jeannerod (1832–1890), officier, journaliste, **préfet de l’Oise**.
L’ensemble dessine une lignée fortement présente dans les **institutions de l’État**, au croisement du militaire et de l’administratif.
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2. Foi, vie religieuse & missions[modifier | modifier le wikicode]
Plusieurs figures féminines incarnent une **vocation religieuse** marquée :
- Marie Jeannerod (1874–1930), **religieuse franciscaine**, morte à Rome.
- Catherine Françoise Marguerite Jeannerod (1876–1894), **religieuse franciscaine missionnaire de Marie**, décédée très jeune.
Ces vocations manifestent l’orientation de la famille vers un **service spirituel** et missionnaire, en communion avec les grandes familles catholiques de la France du XIXe siècle.
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3. Culture, sciences & recherche[modifier | modifier le wikicode]
Le pôle **culturel et scientifique** est particulièrement développé :
- Georges Jeannerod (1832–1890), officier, **journaliste**, préfet, figure de la presse et de l’administration.
- Raoul Violot (1879–1956), gendre Jeannerod, gérant de société de fers et **président de la Société d’histoire et d’archéologie de Chalon-sur-Saône**, illustrant le versant **historique et patrimonial** de l’entourage familial.
- Marc Jeannerod (1935–2011), époux d’une descendante Jeannerod, **neurophysiologiste** de renommée internationale, docteur en médecine (1965), professeur à l’université Claude-Bernard Lyon 1, directeur de l’unité « Vision et motricité » de l’INSERM puis de l’Institut des sciences cognitives du CNRS à Lyon.
Ses travaux sur les relations entre **cerveau et action**, sur la **cognition motrice**, l’**imagerie mentale** et la distinction entre sensations auto-produites et externes ont profondément renouvelé la compréhension de l’**action représentée**, avec des implications majeures pour l’étude de certaines **pathologies mentales**.
Ce faisceau de contributions témoigne d’une forte **culture de l’étude** et de la **recherche fondamentale**, prolongeant l’engagement militaire et administratif dans le champ de l’**intelligence scientifique**.
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Demeures et ancrages[modifier | modifier le wikicode]
Les principaux ancrages géographiques de la lignée Jeannerod sont :
- La Planée (Doubs)
- berceau connu au XVIIe siècle (Denise, Pierre Jeannerod).
- Besançon (Doubs)
- centre majeur au XIXe siècle :
- – résidence de nombreuses branches ;
- – **cimetière des Chaprais** comme lieu de sépulture familial (Joseph général de division, membres de la fratrie).
- Marseille, Poitiers, Béligneux, Dole, Epernay, Saint-Dié
- lieux de naissance, de garnison ou d’administration (officiers, sous-préfet).
- Privas, Saint-Gaudens, Payzac, Luzillat
- ancrages provinciaux de diverses branches (notamment via les alliances Chaurand et Teilhard de Chardin).
- Tunis
- étape extérieure importante avec l’affectation de Louis Jeannerod, chef de bataillon.
- Région parisienne
- Paris (divers arrondissements), Versailles, Margency, Boulogne-Billancourt, Nevers…
- – lieux de carrière, de résidence et de sépulture pour les générations des XIXe–XXe siècles.
Ces ancrages traduisent le passage d’un **enracinement rural comtois** à un réseau de **demeures urbaines et provinciales** au service de l’État, de l’armée, de la recherche et des missions religieuses.
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Bibliographie & sources[modifier | modifier le wikicode]
- Base généalogique principale
- Base Roglo – GeneWeb : tableaux de descendance de la famille Jeannerod (copie locale au 19 novembre 2025, 20:23), mention « Total : 131 personnes (conjoints non compris) ».
- Licence Creative Commons BY-NC-ND 4.0 International.
- Notices et notes Roglo
- Notices biographiques intégrées aux fiches individuelles (Joseph Jeannerod, général de division ; Georges Jeannerod, préfet de l’Oise ; Marc Jeannerod, neurophysiologiste ; Raoul Violot, président de la Société d’histoire et d’archéologie de Chalon-sur-Saône ; etc.).
Les numéros de notes (par ex. [109], [110], [111], [112], [114], [116], [117], [118], [124], [125], [126], [127], [132]) renvoient aux commentaires et sources détaillées sur Roglo.
- Autres sources
- Indications fournies sur les lieux de sépulture (cimetière des Chaprais à Besançon, cimetière ancien de Saint-Gaudens, tombe Barron de Chardin à Luzillat, etc.) via les notes Roglo.
- Bibliographie scientifique concernant Marc Jeannerod (travaux sur la cognition motrice, vision et action, représentation de l’action), non reproduite ici, mais signalée dans la notice Roglo et dans les hommages académiques.
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Conclusion[modifier | modifier le wikicode]
La lignée Jeannerod présente une **trajectoire ascendante** nette : d’un enracinement rural comtois à La Planée, elle accède à la **notabilité urbaine** de Besançon, puis se déploie dans l’ensemble du territoire français et au-delà, par le biais des carrières **militaires**, **administratives**, **scientifiques** et **religieuses**.
Elle incarne une alliance singulière entre **service de l’État**, **engagement spirituel**, **érudition historique** et **recherche de pointe** sur le fonctionnement de l’esprit humain. Ce Thésaurus agnatique ALFI met en lumière la cohérence d’ensemble de cette trajectoire, ordonnée autour du **Bien Commun**, de la **fidélité** et d’une **transmission familiale exigeante**.
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Mention légale ALFI[modifier | modifier le wikicode]
Ce Thésaurus agnatique ALFI – Famille Jeannerod est établi à partir :
- de la base généalogique Roglo (logiciel GeneWeb), copie du 19 novembre 2025 ;
- des notices et notes biographiques associées aux fiches individuelles de la famille Jeannerod et de ses alliés ;
- d’indications complémentaires (lieux de sépulture, fonctions, décorations) figurant dans ces notes.
La base Roglo est publiée sous licence Creative Commons BY-NC-ND 4.0 International : la reproduction partielle par des tiers est autorisée à condition de citer le nom de l’auteur et la source, limitée à un usage non commercial et sans modification du contenu.
Le présent Thésaurus ALFI :
- respecte ces conditions (mention explicite de la source Roglo et des auteurs indiqués) ;
- ne poursuit aucun but commercial ;
- s’inscrit dans une œuvre de mise en forme patrimoniale et de transmission généalogique au sein de l’ALFI.
Texte préparé dans le cadre de l’Association des Lignages de France et de l’International (ALFI) – Script ALFI. Toute réutilisation doit mentionner : « Thésaurus agnatique ALFI – Famille Jeannerod » et la source généalogique principale (Roglo / auteurs cités). Attention : la clé de tri par défaut « {{#replace:{{#replace:Thesaurus de la famille JEANNEROD ( (La Planée – Besançon – Epernay – Tunis – Paris)|Thesaurus de la famille |}}|Thesaurus_|}} » écrase la précédente clé « Jeannerod (La Planée-Besançon) ».