« Thesaurus de la famille BAILLIENCOURT dit COURCOL de » : différence entre les versions

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== 🟦 SCRIPT ALFI : THESAURUS AGNATIQUE DE LA MAISON DE BAILLIENCOURT DIT COURCOL ==
== 🟦 Maison de Bailliencourt dit Courcol ==
'''Code ALFI – Version Index Structuré et Héraldique Complète'''
'''Code ALFI :''' ALFI-COURCOL 
Source principale : Geneanet (base Pierfit) – Données historiquement contextualisées selon le protocole ALFI.
'''Origine :''' Artois (Saint-Bertin-en-Blairville, Arras, Pas-de-Calais, France)
'''Nature :''' Famille d’ancienne bourgeoisie artésienne devenue noblesse de robe et de service. 
'''Statut :''' Maintenue noble en Artois en 1588, par agrégation et service. 
'''Devise ALFI :''' « Le nom relève de la vocation, non du privilège. » 


===ARMOIRIES ÉCARTELÉES | Source du débat Landas/Bailliencourt ; adoption du blason des anciens seigneurs de Landas. |
{| class="wikitable" style="width:100%; background:#f9f9f9; text-align:left;"
|-
! Élément || Données principales
|-
| '''Blason''' || D’or à trois maillets d’azur, au chef de gueules chargé de trois coquilles d’argent.
|-
| '''Sièges et fiefs''' || Saint-Bertin-en-Blairville • Harlebecque • Antigny • Magnicourt-sur-Canche • Wittres.
|-
| '''Branches''' || Courcol de Saint-Bertin • Courcol d’Harlebecque • Bailliencourt dit Courcol d’Antigny.
|-
| '''Alliances''' || de Beauffort • de Gouy • de Gregoire • de Ricametz • de La Couronne • Gayant • Beugny.
|-
| '''Sources''' || Geneanet (base Pierfit) • Conseil d’Artois (1588) • Charondas, *Un juge d’armes au Jockey Club* • Valette, *Noblesse française contemporaine* • Archives du Pas-de-Calais et d’Arras.
|}


=== A. NOMS DE FAMILLE ET LIGNAGES ===
---
| ID | Terme | Définition / Notes |
|----|--------|--------------------|
| A100 | BAILLIENCOURT DIT COURCOL | Nom complet et usuel de la famille à partir du XVIᵉ siècle. |
| A110 | COURCOL | Patronyme originel, porté dès le XIVᵉ siècle avant l’acquisition du fief de Bailliencourt. |
| A120 | LANDAS | Maison noble ancienne dont la filiation fut longtemps présumée, sur la base des armes, mais non prouvée. |
| A130 | BEAUFFORT | Famille alliée par mariages consanguins et alliances multiples ; branches de Bourgeoisie d’Arras. |
| A140 | GRUSSET / RICHARDOT | Alliances notables, notamment avec Jean Richardot, Président du Conseil privé des Pays-Bas. |
[[Fichier:Blason-Bailliencourt.jpg|thumb|center|250px|Blason de Bailliencourt]]


=== B. PERSONNAGES CLÉS ===
=== 🟨 I. Origine et formation du nom ===
| ID | Terme | Définition / Notes |
Le patronyme '''Courcol''', attesté dès le XIVᵉ siècle, précède l’adjonction « de Bailliencourt ». 
|----|--------|--------------------|
Vers 1380, '''Pierre Courcol''', bailli, épouse '''Marguerite de Gouy'''. Leur fils '''Jean Courcol''', bourgeois d’Arras, devient seigneur de Saint-Bertin-en-Blairville.
| B100 | PIERRE COURCOL | Né vers 1380, bailli, premier ancêtre attesté par filiation documentée. |
L’achat de la terre de Bailliencourt par cette lignée entraîne la reprise du toponyme et du blason des anciens seigneurs de ce lieu, les '''Landas/Bailliencourt''', inscrivant ainsi la famille dans la continuité symbolique du fief.
| B110 | JACQUES COURCOL | Fils présumé de Baudoin ; actif vers 1370 ; généalogie parfois inversée selon les sources. |
| B120 | JEAN COURCOL (v.1430) | Bourgeois d’Arras, seigneur de Saint-Bertin-en-Blairville ; marié à Marguerite de La Couronne. |
| B130 | ROBERT DE BAILLIENCOURT | Seigneur de Wittres ; auteur des branches comtale et noble (XVIᵉ–XVIIIᵉ siècles). |
| B140 | PASQUIER DE BAILLIENCOURT | Homme d’armes, puis fermier de l’abbaye d’Étrun à Magnicourt (bail 1557). |
| B150 | HUGUES DE BAILLIENCOURT | Vicomte d’Harlebecque, personnage historique controversé, mort tragiquement (†1600). |
| B160 | CHARLES FRANÇOIS DE BAILLIENCOURT | Comte de Bailliencourt, créé par lettres impériales du 4 mars 1721 (Charles VI, empereur d’Autriche). |


=== C. LIEUX ET FIEFS ===
---
| ID | Terme | Définition / Notes |
|----|--------|--------------------|
| C100 | ARTOIS | Province d’origine de la famille. |
| C110 | ARRAS | Ville d’ancrage principal : charges, bourgeoisie, lettres de récréance. |
| C120 | BLAIRVILLE | Premier fief attesté des Courcol dès la fin du XIVᵉ siècle. |
| C130 | MAGNICOURT-SUR-CANCHE | Terre tenue de l’abbaye d’Étrun, associée aux Pasquier et Jérôme de Bailliencourt. |
| C140 | HARELBEKE | Vicomté en Flandre, acquise au XVIIᵉ siècle. |
| C150 | ABBAYE D’ÉTRUN | Détentrice du domaine de Magnicourt loué aux Bailliencourt ; centre des obligations pieuses. |


=== D. CONCEPTS, STATUTS ET DOCUMENTS ===
=== 🟦 II. Légendes et controverses ===
| ID | Terme | Définition / Notes |
Une tradition du XVIIᵉ siècle attribue au duc '''Philippe le Bon''' le surnom de *Courcol* à un chevalier nommé '''Baudouin de Bailliencourt''' pour sa bravoure à Abbeville (1419).
|----|--------|--------------------|
Les recherches modernes démontrent que cette légende, largement reprise par la mémoire familiale, vise à justifier le double nom.
| D100 | BOURGEOISIE D’ARRAS | Statut civique, attesté par lettres de récréance et registres municipaux. |
En réalité, '''Courcol''' est un nom de souche, documenté dès le XIVᵉ siècle, et non un surnom postérieur.
| D110 | NOUVEL ACQUÊT | Droit féodal dû par les roturiers sur toute acquisition de fief noble. |
Cette réappropriation hagiographique témoigne d’un besoin de légitimation symbolique fréquent dans les familles d’office montées en noblesse.
| D120 | LETTRES DE 1664 | Lettres royales « en tant que de besoin », signées de Louis XIV, reconnaissant Jean Courcol. |
| D130 | TITRE DE COMTE | Titre héréditaire octroyé par Charles VI en 1721, confirmé à la branche comtale. |
| D140 |
| D150 | GÉNÉALOGIE DU TERNAS / DU CHASTEL (1878) | Étude critique rejetant la filiation Landas et précisant les branches nobles d’Artois. |
| D160 | CONTRADICTIONS CHRONOLOGIQUES | Incohérences de filiation (Baudoin/Jacques/Philippe). |
| D170 | GÉNÉALOGISTE G. DUPOND | Auteur d’hypothèses erronées et non documentées. |
| D180 | DISPENSE DE CONSANGUINITÉ | Accords fréquents dans les alliances Courcol–Beauffort. |


=== E. ARMOIRIES ET SYMBOLIQUE ===
---
| ID | Élément | Définition / Notes |
|----|----------|--------------------|
| E100 | **Blason principal (Landas-Bailliencourt)** | ''D’azur à trois larmes d’argent, au chef d’or chargé de trois merlettes de sable.'' |
| E110 | **Blason simplifié (Courcol primitif)** | ''D’azur à trois larmes d’argent.'' |
| E120 | **Cri d’armes** | « Landas ! » — relevé indûment par les Bailliencourt après acquisition du fief. |
| E130 | **Devise** | « Fut par vertu Courcol » — référence à la légende du chevalier au col court. |
| E140 | **Symbolique ALFI** | L’azur exprime la fidélité et la continuité agnatique ; les larmes d’argent représentent la pureté des origines et la mémoire d’un lignage éprouvé ; le chef d’or évoque la lumière du service et la reconnaissance impériale. |
| E150 | **Usage héraldique** | Blason non enregistré à l’Armorial général de 1696, mais utilisé dans plusieurs actes notariés d’Artois. |


=== F. SYNTHÈSE DOCTRINALE ALFI ===
=== 🟩 III. Noblesse acquise et maintien ===
> La Maison de Bailliencourt dit Courcol illustre le passage d’une lignée de bourgeoisie d’Artois vers la noblesse d’agrégation, puis la retombée dans la roture.   
Les Courcol accèdent à la noblesse par agrégation entre le XVe et le XVIᵉ siècle, grâce à l’exercice d’offices municipaux et judiciaires.   
> Elle témoigne des pratiques fréquentes d’usurpation d’armoiries et d’anoblissement par charge sous l’Ancien Régime. 
Une décision du '''Conseil des Élus d’Artois''' (15 octobre 1588) reconnaît leur noblesse, à condition de ne pas accomplir d’acte dérogeant.   
> En doctrine ALFI, cette famille appartient aux lignées dites « restaurées » : familles ayant rétabli leur mémoire et leurs signes d’identité, sans maintien du rang nobiliaire après 1789.   
Les branches restées dans l’office se maintiennent dans la noblesse jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, tandis que certaines retombent dans la roture par dérive bourgeoise ou commerciale.
> Leurs armes, qu’elles soient authentiques ou adoptées, incarnent la réconciliation entre l’identité historique et la vérité documentée.


=== G. RÉFÉRENCES ===
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- Geneanet (Base Pierfit) : *Histoire de la famille de Bailliencourt dit Courcol* 
- Forum Capétien (2005–2007) : contributions de Japet et Prométhée 
- G. du Chastel, *Généalogies d’Artois*, 1878 
- Conseil d’Artois : Arrêt du 15 octobre 1588 (anoblissement par agrégation) 
- Lettres royales de Louis XIV, 17 décembre 1664 
- Archives impériales de Vienne, confirmation de titre du 4 mars 1721 


'''Mention ALFI :'''  
=== 🟥 IV. Terres, fiefs et alliances ===
Texte conforme au '''SCRIPT ALFI officiel''', sans ajout ni paraphrase, intégrant la section héraldique complète. 
Les Bailliencourt dit Courcol possèdent plusieurs domaines en Artois et dans le Nord :   
Licence [CC BY-SA 4.0](https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr).   
Saint-Bertin-en-Blairville, Harlebecque, Antigny, Magnicourt-sur-Canche, Wittres.   
© Association des Lignages de France et de l’International (A.L.F.I.) – 2025.
Leur réseau d’alliances comprend des familles notables et nobles du nord de la France, notamment les de Beauffort, de Gregoire, de Ricametz et de La Couronne.
Ces alliances renforcent le rayonnement régional d’une lignée fidèle au modèle de la **noblesse d’action et de service**.


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=== 🟦 V. Blason et symbolique ===
[[Fichier:Blason-Bailliencourt.jpg|thumb|center|200px|Blason-Bailliencourt]]
'''De gueules à l'émanché de quatre pièces d'argent mouvant de dextre (Landas) au franc-quartier senestre fascé d'or et d'azur de huit pièces (Habarcq).'''
=== 🟨 VI. Lecture doctrinale ALFI ===
La Maison de Bailliencourt dit Courcol illustre la transformation d’une **bourgeoisie active en noblesse de service**, puis en **noblesse de mémoire**. 
En revendiquant le nom du fief acquis, elle exprime la vocation universelle de l’humanité à s’enraciner, à servir et à transmettre. 
L’ALFI y reconnaît une figure emblématique de la « noblesse ascendante » : celle qui s’élève non par privilège, mais par fidélité au Bien Commun. 
> *« Le nom n’est pas un héritage, mais une offrande faite à la continuité. »* 
— *Charte doctrinale de l’A.L.F.I.*
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=== 🟧 VII. Service du Bien Commun ===
Les Courcol ont servi le Bien Commun par :
* l’exercice des charges consulaires et judiciaires (XVe–XVIIe s.) ; 
* le maintien de la foi et de la charité dans les provinces d’Artois et du Nord ; 
* la transmission des valeurs d’honneur et de stabilité à travers la mémoire du nom.
---
=== 🟪 VIII. Doctrine ALFI et Triade identitaire ===
La lignée Courcol illustre l’union des trois formes de continuité définies par la technologie ALFI : 
* Le '''Thesaurus''' — la mémoire historique et documentaire. 
* Le '''Blason''' — la forme visible et spirituelle de l’identité. 
* Le '''Nom''' — la substance juridique et morale de la filiation. 
Ces trois dimensions constituent la '''Triade Identitaire''' : l’équilibre entre mémoire, signe et substance, au service du Bien Commun.
---
= Mention légale (SCRIPT ALFI) =
Sources : ce Thésaurus utilise des données issues de Roglo (roglo.eu) et de Wikipédia (licence CC BY-SA 4.0), ainsi que de sources publiques fiables. Les données factuelles (dates, filiations, lieux) sont utilisées à des fins documentaires. Le texte, la structure, la sélection, l'organisation, les titres, les sections et la mise en forme du présent document relèvent du travail original de l’ALFI et sont protégés par la licence CC BY-SA 4.0. Reproduction et diffusion autorisées avec citation : « Thésaurus Agnatique ALFI ». Toute correction factuelle ou modification issue d’une source fiable peut être intégrée sur demande, conformément à la charte éditoriale du Wiki ALFI.


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Dernière version du 7 novembre 2025 à 19:19

🟦 Maison de Bailliencourt dit Courcol[modifier | modifier le wikicode]

Code ALFI : ALFI-COURCOL Origine : Artois (Saint-Bertin-en-Blairville, Arras, Pas-de-Calais, France) Nature : Famille d’ancienne bourgeoisie artésienne devenue noblesse de robe et de service. Statut : Maintenue noble en Artois en 1588, par agrégation et service. Devise ALFI : « Le nom relève de la vocation, non du privilège. »

Élément Données principales
Blason D’or à trois maillets d’azur, au chef de gueules chargé de trois coquilles d’argent.
Sièges et fiefs Saint-Bertin-en-Blairville • Harlebecque • Antigny • Magnicourt-sur-Canche • Wittres.
Branches Courcol de Saint-Bertin • Courcol d’Harlebecque • Bailliencourt dit Courcol d’Antigny.
Alliances de Beauffort • de Gouy • de Gregoire • de Ricametz • de La Couronne • Gayant • Beugny.
Sources Geneanet (base Pierfit) • Conseil d’Artois (1588) • Charondas, *Un juge d’armes au Jockey Club* • Valette, *Noblesse française contemporaine* • Archives du Pas-de-Calais et d’Arras.

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🟨 I. Origine et formation du nom[modifier | modifier le wikicode]

Le patronyme Courcol, attesté dès le XIVᵉ siècle, précède l’adjonction « de Bailliencourt ». Vers 1380, Pierre Courcol, bailli, épouse Marguerite de Gouy. Leur fils Jean Courcol, bourgeois d’Arras, devient seigneur de Saint-Bertin-en-Blairville. L’achat de la terre de Bailliencourt par cette lignée entraîne la reprise du toponyme et du blason des anciens seigneurs de ce lieu, les Landas/Bailliencourt, inscrivant ainsi la famille dans la continuité symbolique du fief.

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🟦 II. Légendes et controverses[modifier | modifier le wikicode]

Une tradition du XVIIᵉ siècle attribue au duc Philippe le Bon le surnom de *Courcol* à un chevalier nommé Baudouin de Bailliencourt pour sa bravoure à Abbeville (1419). Les recherches modernes démontrent que cette légende, largement reprise par la mémoire familiale, vise à justifier le double nom. En réalité, Courcol est un nom de souche, documenté dès le XIVᵉ siècle, et non un surnom postérieur. Cette réappropriation hagiographique témoigne d’un besoin de légitimation symbolique fréquent dans les familles d’office montées en noblesse.

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🟩 III. Noblesse acquise et maintien[modifier | modifier le wikicode]

Les Courcol accèdent à la noblesse par agrégation entre le XVe et le XVIᵉ siècle, grâce à l’exercice d’offices municipaux et judiciaires. Une décision du Conseil des Élus d’Artois (15 octobre 1588) reconnaît leur noblesse, à condition de ne pas accomplir d’acte dérogeant. Les branches restées dans l’office se maintiennent dans la noblesse jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, tandis que certaines retombent dans la roture par dérive bourgeoise ou commerciale.

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🟥 IV. Terres, fiefs et alliances[modifier | modifier le wikicode]

Les Bailliencourt dit Courcol possèdent plusieurs domaines en Artois et dans le Nord : Saint-Bertin-en-Blairville, Harlebecque, Antigny, Magnicourt-sur-Canche, Wittres. Leur réseau d’alliances comprend des familles notables et nobles du nord de la France, notamment les de Beauffort, de Gregoire, de Ricametz et de La Couronne. Ces alliances renforcent le rayonnement régional d’une lignée fidèle au modèle de la **noblesse d’action et de service**.

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🟦 V. Blason et symbolique[modifier | modifier le wikicode]

Blason-Bailliencourt

De gueules à l'émanché de quatre pièces d'argent mouvant de dextre (Landas) au franc-quartier senestre fascé d'or et d'azur de huit pièces (Habarcq).

🟨 VI. Lecture doctrinale ALFI[modifier | modifier le wikicode]

La Maison de Bailliencourt dit Courcol illustre la transformation d’une **bourgeoisie active en noblesse de service**, puis en **noblesse de mémoire**. En revendiquant le nom du fief acquis, elle exprime la vocation universelle de l’humanité à s’enraciner, à servir et à transmettre. L’ALFI y reconnaît une figure emblématique de la « noblesse ascendante » : celle qui s’élève non par privilège, mais par fidélité au Bien Commun.

> *« Le nom n’est pas un héritage, mais une offrande faite à la continuité. »* — *Charte doctrinale de l’A.L.F.I.*

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🟧 VII. Service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]

Les Courcol ont servi le Bien Commun par :

  • l’exercice des charges consulaires et judiciaires (XVe–XVIIe s.) ;
  • le maintien de la foi et de la charité dans les provinces d’Artois et du Nord ;
  • la transmission des valeurs d’honneur et de stabilité à travers la mémoire du nom.

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🟪 VIII. Doctrine ALFI et Triade identitaire[modifier | modifier le wikicode]

La lignée Courcol illustre l’union des trois formes de continuité définies par la technologie ALFI :

  • Le Thesaurus — la mémoire historique et documentaire.
  • Le Blason — la forme visible et spirituelle de l’identité.
  • Le Nom — la substance juridique et morale de la filiation.

Ces trois dimensions constituent la Triade Identitaire : l’équilibre entre mémoire, signe et substance, au service du Bien Commun.

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Mention légale (SCRIPT ALFI)[modifier | modifier le wikicode]

Sources : ce Thésaurus utilise des données issues de Roglo (roglo.eu) et de Wikipédia (licence CC BY-SA 4.0), ainsi que de sources publiques fiables. Les données factuelles (dates, filiations, lieux) sont utilisées à des fins documentaires. Le texte, la structure, la sélection, l'organisation, les titres, les sections et la mise en forme du présent document relèvent du travail original de l’ALFI et sont protégés par la licence CC BY-SA 4.0. Reproduction et diffusion autorisées avec citation : « Thésaurus Agnatique ALFI ». Toute correction factuelle ou modification issue d’une source fiable peut être intégrée sur demande, conformément à la charte éditoriale du Wiki ALFI.