Thesaurus de la famille AMACHOUKELI GOUDJI
Thésaurus Agnatique ALFI – Famille Amachoukeli[modifier | modifier le wikicode]
Introduction[modifier | modifier le wikicode]
La famille Amachoukeli illustre la fusion harmonieuse de la tradition chrétienne d’Orient et de l’esprit créateur français. Fondée autour du sculpteur et orfèvre Goudji Amachoukeli et de son épouse Katherine Barsacq, la lignée s’est enracinée à Paris en 1974 et s’est étendue à travers leurs enfants, notamment Stéphane et Maria. Elle est marquée par une double hérédité : la ferveur spirituelle géorgienne et la culture artistique et intellectuelle française. Par l’alliance avec la lignée de Préval, elle prolonge la mission du verbe et du Bien Commun dans une dimension universelle.
I. Blason symbolique[modifier | modifier le wikicode]
⚜️ Proposition de blason original ALFI
AMACHOUKELI De gueules à la croix potencée d’or, cantonnée de quatre besants d’argent, surmontée en chef d’un soleil d’or rayonnant ; à la montagne d’argent mouvant de la pointe, chargée d’une flamme d’or.
🛡️ Blasonnement simplifié
Champ de gueules (rouge) : la force, la foi et la noblesse de cœur.
Croix potencée d’or : symbole des royaumes chrétiens d’Orient (comme la croix de Jérusalem), rappelant la tradition sacrée du Caucase.
Quatre besants d’argent : la pureté et l’artisanat d’orfèvrerie, évoquant les métaux précieux travaillés par Goudji.
Montagne d’argent : la Géorgie natale, enracinement et élévation.
Flamme d’or : le feu sacré de la création, la transmutation de la matière en beauté.
Soleil d’or en chef : la lumière divine, l’harmonie universelle et la mission spirituelle de l’artiste.
🪶 Symbolique ALFI
Ce blason exprime la fusion du sacré et de l’art, du feu créateur et de la foi ancienne. Il relie la terre caucasienne (la montagne), le feu de l’orfèvre, et la lumière divine (le soleil), dans une croix d’or qui marque l’union du spirituel et du temporel.
Blason symbolique proposé par ALFI, en attente d’enregistrement héraldique.
II. Histoire et origines[modifier | modifier le wikicode]
Origine géorgienne : Amachoukeli[modifier | modifier le wikicode]
Goudji Amachoukeli (né le 6 juillet 1941 à Borjomi, Géorgie) est un sculpteur et orfèvre franco-géorgien. Formé à l’École des Beaux-Arts de Tbilissi (1958-1962), il quitte la Géorgie en 1962 pour Moscou, puis rejoint la France en janvier 1974 grâce à l’intervention du président Georges Pompidou. Naturalisé français en 1978, il installe à Paris son atelier et consacre sa vie à unir l’art byzantin et la liturgie occidentale dans une œuvre entièrement façonnée à la main.
Alliance française : Barsacq[modifier | modifier le wikicode]
Il épouse Katherine Barsacq, fille du metteur en scène et décorateur André Barsacq (1909-1973), directeur du Théâtre de l’Atelier. Ce mariage relie la lignée des sculpteurs géorgiens à celle du théâtre français, unissant **la lumière du métal** et **la lumière de la scène** dans une même vocation de transmission culturelle.
Descendance[modifier | modifier le wikicode]
De leur union sont issus :
- Stéphane Amachoukéli (né le 26 août 1972), écrivain, éditeur et journaliste, marié à Pauline de Préval (famille de diplomates et d’humanistes poitevins).
→ Une fille : Éléonore Amachoukéli.
- Maria Amachoukéli (née le 16 juillet 1979 à Paris), réalisatrice et scénariste.
III. Œuvre et rayonnement de Goudji[modifier | modifier le wikicode]
Sculpteur et orfèvre, Goudji renouvelle l’art sacré par la pureté des formes et la symbolique du métal. Il refuse la reproduction et crée uniquement des pièces uniques, alliant la technique de la dinanderie aux incrustations de pierres dures. Son œuvre, à la fois byzantine et française, réconcilie la matière et l’esprit.
Œuvres majeures[modifier | modifier le wikicode]
- Trésor liturgique de la Cathédrale Notre-Dame de Chartres (25 pièces, 1992-1996, complété en 2008).
- Épées d’académiciens : Félicien Marceau, Hélène Carrère d’Encausse, Raymond Barre, Maurice Allais.
- Bijoux et objets liturgiques conservés au musée des Arts décoratifs (Paris), au musée Mandet (Riom), au musée Dobrée (Nantes) et aux musées du Vatican.
- Œuvres offertes par les présidents Mitterrand, Chirac et Sarkozy à des chefs d’État étrangers.
« L’objet sacré doit naître d’une lumière intérieure. C’est l’esprit qui donne forme à la matière. » — Goudji
IV. Stéphane Amachoukéli : le verbe et la fidélité[modifier | modifier le wikicode]
Fils de Goudji et de Katherine Barsacq, Stéphane Amachoukéli incarne la continuité intellectuelle et spirituelle de la lignée. Écrivain, éditeur et journaliste, il s’inscrit dans une tradition de haute culture française, attentive à la beauté du langage et à la justesse du sens. Par son mariage avec Pauline de Préval, héritière d’une ancienne famille de diplomatie et de pensée classique, il unit la création à la réflexion, et fait du verbe un instrument de paix intérieure et sociale.
Stéphane prolonge l’œuvre de son père sur un autre plan :
- Là où Goudji sanctifie la matière, lui sanctifie la parole.
- Là où l’un cisèle le métal, l’autre cisèle la pensée.
- Là où l’un bâtit des autels, l’autre élève des consciences.
Son engagement culturel et spirituel manifeste la mission ALFI : > « Servir le Bien Commun par la parole vraie, la fidélité à la tradition et la beauté du langage. »
V. Transmission et Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]
La famille Amachoukéli – Barsacq – de Préval représente un modèle d’**identité harmonieuse** : trois lignées, trois arts, une même mission. Leur héritage démontre que la beauté, le verbe et la foi ne s’opposent pas, mais se complètent comme les trois vertus d’une même noblesse.
- Goudji sanctifie la matière (orfèvrerie sacrée).
- Katherine Barsacq transmet la lumière du théâtre et de la culture.
- Stéphane et Pauline de Préval unissent la pensée et la foi.
- Maria traduit cette harmonie dans l’image cinématographique.
Ainsi, cette lignée incarne le principe ALFI : > « Transformer le talent individuel en offrande au Bien Commun. »
VI. Distinctions de Goudji[modifier | modifier le wikicode]
- Chevalier de la Légion d’honneur (2008)
- Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres (1996)
- Chevalier de l’Ordre national du Mérite (2001)
- Commandeur du Mérite du Saint-Sépulcre de Jérusalem (2003)
- Chevalier de l’Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand (2007)
- Membre de l’Académie catholique de France, section Arts et Lettres (2009)
- Ordre de la Toison d’or de Géorgie (2012)
VII. Bibliographie et sources[modifier | modifier le wikicode]
- Wikipédia:Goudji
- Wikipédia:André Barsacq
- Wikipédia:Marie Amachoukéli
- France Catholique, n° 3249, 7 mars 2011
- Roglo:Descendance de Goudji Amachoukeli
- Légifrance, décrets du 11 juillet 2008 et du 14 novembre 2001
- Site officiel de Goudji
VIII. Synthèse ALFI[modifier | modifier le wikicode]
La famille Amachoukéli témoigne de la fidélité créatrice : fidélité à la terre d’origine, à la foi, à la beauté. Par le mariage des lignées géorgienne, artistique et intellectuelle, elle manifeste la vocation universelle de la culture au service du Bien Commun.
> L’art transfigure la matière, > le verbe éclaire l’esprit, > la foi élève le monde.
C’est pourquoi l’ALFI reconnaît dans cette lignée une expression exemplaire de l’Identité harmonieuse : celle qui unifie le geste, la parole et la lumière.
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Texte établi selon le SCRIPT A-L-F-I – génération du 12 octobre 2025. Licence : [CC BY-SA 4.0](https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/). Sources publiques : Roglo, Wikipédia, France Catholique, Légifrance. Toute reproduction ou citation est autorisée à condition de mentionner la méthode ALFI et le service du Bien Commun.
