Thesaurus de la famille BAGLION de la DUFFERIE

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1. Introduction[modifier | modifier le wikicode]

La famille Baglion / Baglioni de La Dufferie appartient à un vaste rameau issu de la puissante maison italienne des Baglioni, active dans les cités d’Italie centrale au Moyen Âge. À partir du XIVᵉ siècle, certains de ses membres, d’abord acteurs de la vie communale de Pérouse (podestats, prieurs, ambassadeurs), se rattachent progressivement au royaume de France par le jeu des charges, des ambassades et des mariages.

Par Michele de Baglion, écuyer et gentilhomme de la Maison du roi de Sicile, seigneur de La Dufferie, ambassadeur auprès du pape Clément VII en Avignon, la lignée s’enracine durablement dans l’Ouest du royaume, où elle porte, du XVe au XVIᵉ siècle, plusieurs seigneuries (La Dufferie, La Bellobière, La Guimonnière, Chevré, La Riquottière, Hierré, etc.).

Autour de ce tronc principal se déploie un faisceau de branches : seigneurs, officiers seigneuriaux, ecclésiastiques, magistrats et avocats, dont la mémoire est conservée par les sources rassemblées dans la base Roglo.

Ce Thésaurus agnatique ALFI rassemble, dans la stricte continuité masculine documentée par les sources fournies, les principaux représentants de cette lignée entre le XIVᵉ et le XVIᵉ siècle, en y ajoutant les rameaux parallèles directement issus des mêmes ancêtres.

Armoiries[modifier | modifier le wikicode]

Les armoiries traditionnellement associées à la famille **Baglioni / Baglion** — en particulier dans la branche établie en France dite *de La Dufferie* — reprennent les motifs emblématiques de la noblesse militaire italienne médiévale, adaptés selon l’héraldique française.


Blasonnement détaillé : D’azur, au lion passant d’or, armé et lampassé de gueules, la patte dextre posée sur un tronc écoté du même ; en chef, trois fleurs de lis d’or rangées en fasce, le tout surmonté d’un lambel d’or à quatre pendants.

Décomposition héraldique :

  • **Champ d’azur** : la couleur bleue, traditionnellement symbole de loyauté, de fidélité et d’élévation spirituelle.
  • **Lion passant d’or** : figure de courage, de puissance protectrice et de commandement. Le lion représente à la fois la fonction militaire et la dignité seigneuriale.
  • **Tronc écoté d’or** : symbole de terre ancestrale, d'enracinement lignager et parfois d’une possession féodale défendue ou acquise par les armes. Le lion posant sa patte sur le tronc évoque la *protection active* du fief.
  • **Fleurs de lis d’or** : marque d’honneur, d’alliance ou de faveur reçue d’un souverain ou d’une grande maison. Dans la tradition héraldique française, elles signalent l’intégration ou l’adoubement dans un espace féodal lié au royaume.
  • **Lambel d’or à quatre pendants** : brisure fréquemment utilisée pour les cadets ou pour marquer une branche distincte. Le lambel atteste une ancienneté du lignage et une structuration dynastique à plusieurs niveaux.

Symbolique générale : Ce blason associe la **force féodale** (lion), la **protection d’un domaine** (tronc écoté), la **faveur princière ou royale** (fleurs de lis) et la **distinction dynastique** (lambel). Il rappelle la vocation militaire, politique et diplomatique des Baglion entre Pérouse, Florence, la France et les États pontificaux.

Prudence ALFI : Ce blason est issu de la tradition armoriale transmise par diverses sources privées et compilations historiques. Les armoiries des familles italiennes du Moyen Âge ayant souvent varié selon les branches, les périodes et les usages locaux, ce blason doit être considéré comme l’attribution la plus couramment admise, sans prétendre à une unicité absolue pour l’ensemble des Baglioni.

3. Chronologie agnatique[modifier | modifier le wikicode]

3.1. Origines italiennes et cadres communaux[modifier | modifier le wikicode]

Les premières générations connues dans le corpus relèvent de la noblesse urbaine italienne, active dans la vie politique des cités :

  • Andrea Baglioni, podestat de Florence en 1228 et 1232, fils de Giacomo Baglioni (marié à une épouse non nommée).
  • Divers membres de la même souche sont mentionnés comme acteurs de la vie publique :
    • Bongiovanni Baglioni ;
    • Baglione Baglioni ;
    • Guido Baglioni ;
    • Nuccio Baglioni ;
    • etc.

Ils représentent le socle ancien d’un lignage de notables et de gouvernants dont la branche étudiée descendra.

3.2. Cuccho Baglioni et ses fils : podestat, ambassadeurs et notables (XIVᵉ siècle)[modifier | modifier le wikicode]

  • Cuccho Baglioni, né avant 1300, podestat de Nocera en 1320, ambassadeur près du duc de Spolète en 1322.
 Marié à Cecca N….

De ce couple naissent notamment :

  • Colaccio Baglioni (vers 1325 – exécuté en novembre 1363, décapité), victime des luttes politiques de son temps.
  • Filipuccio Baglioni ;
  • Vecio Vinciolo Baglioni ;
  • Carluccio Baglioni ;
  • Ugolino Baglioni ;
  • Malfuccio Baglioni ;
  • Nello Baglioni ;
  • Pietro Fatiolo Baglioni ;
  • Nn Baglioni ;
  • Pellino Baglioni, assassiné en 1393 lors du soulèvement populaire de Pérouse.

Parallèlement, une autre lignée issue de la même parentèle comprend :

  • Cola Baglioni, marié à une épouse non nommée, dont :
    • Antonio Baglioni (époux d’une épouse non nommée), dont :
      • Benesetto Baglioni.

Et, par Nuccio Baglioni (époux d’une épouse non nommée) :

  • Francesco Baglioni (époux d’une épouse non nommée), dont :
    • Giovanni Baglioni, ambassadeur de Pérouse à Fabriano en 1385, marié à une épouse non nommée, dont :
      • Ugolino Baglioni, prieur de Pérouse, mort en charge le 19 août 1418.

Ces branches dessinent le premier cercle de notables italiens dont la branche française va se détacher.

3.3. De Colaccio à Michele : passage vers la France et La Dufferie (XIVᵉ–XVᵉ siècles)[modifier | modifier le wikicode]

  • Colaccio Baglioni (vers 1325 – 1363), fils de Cuccho, exécuté et décapité en novembre 1363.
 Marié à une épouse non nommée.

De ce mariage est issu :

  • Michele de Baglion, écuyer, seigneur de La Dufferie, né vers 1360, décédé vers 1432, ambassadeur auprès du pape Clément VII en Avignon, gentilhomme de la Maison du roi de Sicile.
 Marié vers 1390 à Isabeau de Surcoulmont.

Par Michele, la lignée quitte le cadre exclusif des cités italiennes pour entrer au service des souverains angevins et capétiens, avec l’acquisition de seigneuries en France (La Dufferie).

3.4. Jean de Baglion († v. 1475) et l’enracinement seigneurial en France[modifier | modifier le wikicode]

  • Jean de Baglion (vers 1409 – vers 1475), écuyer, seigneur de La Dufferie et de La Bellobière.
 Marié le 5 juin 1432 (contrat devant Triderel, notaire royal) à Françoise de La Croix, dame des Fontaines.

De ce couple naissent, entre autres :

  • Jean de Baglion (vers 1437 – 1505), écuyer, seigneur de La Dufferie et de La Bellobière ;
  • Philippe de Baglion, seigneur de Fléchigné (acte du 15 mars 1475) ;
  • Jean III de Baglion, décédé vers 1487 ;
  • Henri de Baglion.

La seigneurie de La Dufferie se transmet ainsi dans la descendance agnatique issue de Michele.

3.5. Jean de Baglion († 1505) et les enfants d’Anne de Chérel[modifier | modifier le wikicode]

  • Jean de Baglion (vers 1437 – 1505), écuyer, seigneur de La Dufferie et de La Bellobière.
 Marié le 12 juin 1474 à Anne de Chérel, dame de La Forest de Courcité.

Le couple a une descendance nombreuse, au cœur de la lignée étudiée :

  • Ambroise de Baglion de La Dufferie (vers 1475 – vers 1538), écuyer, seigneur de La Bellobière et de La Dufferie, inhumé à Grand-Oisseau (Mayenne).
  • Jacques de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Forest, prêtre.
  • Michel de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Morcelière, prêtre.
  • Denis de Baglion de La Dufferie, écuyer, décédé en 1527.
  • Philippe de Baglion de La Dufferie, décédé en 1527.
  • Marie de Baglion de La Dufferie.
  • Renée de Baglion de La Dufferie (née en 1480), mariée après le 1ᵉʳ juin 1517 à Guillaume Couppel, seigneur de La Marchandaye, avocat, sénéchal de Champsecret.

3.6. Ambroise de Baglion de La Dufferie et Marguerite de Cotteblanche[modifier | modifier le wikicode]

  • Ambroise de Baglion de La Dufferie (vers 1475 – vers 1538), écuyer, seigneur de La Bellobière et de La Dufferie, inhumé à Grand-Oisseau (Mayenne).
 Marié le 20 mars 1499 à Marguerite de Cotteblanche, dame de La Guimonnière, de Chevré et de La Riquottière, également inhumée à Grand-Oisseau.

Le couple transmet une série de seigneuries et donne naissance à plusieurs rameaux :

  • Guy de Baglion de La Dufferie (vers 1505 – vers 1574), écuyer, seigneur de La Dufferie et d’Hierré ;
  • Jean de Baglion de La Dufferie, écuyer, seigneur de La Guimonnière, mort en août 1557 à la bataille de Saint-Quentin ;
  • Ambroise de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Guichardière, prêtre, vivant après 1568 ;
  • Yves de Baglion de La Dufferie, décédé en 1556 ;
  • Catherine de Baglion de La Dufferie, mariée le 26 février 1538 à Magdelon de Vaudour, écuyer, seigneur de La Barboterie (contrat devant Tardon, notaire) ;
  • Marguerite-Marie de Baglion de La Dufferie, mariée à Gilles Rabault, écuyer, seigneur de Villeneuve ;
  • autres enfants mentionnés dans les notes et alliances.

Cette génération marque l’apogée de l’enracinement territorial de la lignée en Mayenne et régions voisines.

3.7. Guy de Baglion de La Dufferie (vers 1505 – v. 1574) et sa descendance[modifier | modifier le wikicode]

  • Guy de Baglion de La Dufferie (vers 1505 – vers 1574), écuyer, seigneur de La Dufferie et d’Hierré.
 Marié le 24 mai 1552 à Renée de Houssemagne (décédée vers 1581, contrat devant Lestoré, notaire).

Leurs enfants comprennent :

  • Guy de Baglion de La Dufferie (vers 1553 – avant 1607), qui épouse successivement
    • Elisabeth Le Cornu (mariage du 6 juin 1576, décédée vers 1585),
    • puis Marie de Fontenailles ;
  • Jacquine de Baglion de La Dufferie, dame de La Motte-Husson par acquêt, mariée à
    • Jean du Boisberranger (décédé vers 1590),
    • puis Jean Le Cornu, seigneur de La Marie (décédé vers 1600) ;
  • autres enfants cités dans les notes (dont les alliances ouvrent sur les maisons de Vaudour, Rabault, Couppel, etc.).

Au-delà de cette génération, la base fournie ne détaille plus la continuité agnatique de La Dufferie ; la descendance ultérieure relève d’autres documents et n’est pas développée ici.

4. Engagement au service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]

4.1. Justice & transmission[modifier | modifier le wikicode]

La lignée Baglion / Baglioni se signale, dès les origines italiennes, par un fort engagement dans les institutions civiles et judiciaires :

  • Cuccho Baglioni, podestat de Nocera (1320) et ambassadeur auprès du duc de Spolète (1322), exerce une charge de gouvernement communal et de représentation politique.
  • Plusieurs membres du lignage sont podestats, prieurs ou ambassadeurs de cités italiennes (Giovanni Baglioni, ambassadeur de Pérouse à Fabriano en 1385 ; Ugolino Baglioni, prieur de Pérouse, mort en charge en 1418).
  • En France, les Baglion de La Dufferie sont seigneurs hauts-justiciers sur leurs terres (La Dufferie, La Bellobière, La Guimonnière, etc.), participant à l’administration de la justice seigneuriale.
  • Par l’alliance de Renée de Baglion de La Dufferie avec Guillaume Couppel, avocat et sénéchal de Champsecret, la lignée s’unit à des familles de praticiens et d’officiers de justice.

Ainsi, du podestat italien au sénéchal français, la famille s’inscrit dans une longue tradition d’ordonnancement du droit, de gestion des conflits et de protection des communautés locales.

4.2. Foi & clergé[modifier | modifier le wikicode]

La lignée manifeste, au fil des siècles, une forte imbrication avec l’Église :

  • Ugolino Baglioni, prieur de Pérouse, meurt en charge le 19 août 1418, confirmant le poids du lignage dans le gouvernement des institutions religieuses urbaines.
  • Plusieurs fils cadets de la branche française embrassent l’état ecclésiastique :
    • Ambroise de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Guichardière, prêtre ;
    • Jacques de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Forest, prêtre ;
    • Michel de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Morcelière, prêtre.

Cette présence régulière de clercs dans la descendance témoigne d’un lien étroit entre service de l’autel et service des seigneuries familiales : les Baglion de La Dufferie servent le Bien Commun en articulant spiritualité, gestion temporelle et encadrement des campagnes.

4.3. Service militaire & public[modifier | modifier le wikicode]

Plusieurs figures de la lignée se distinguent dans le service armé et la défense des territoires :

  • Les titres d’écuyer portés par Michele, Jean, Ambroise, Guy et leurs descendants indiquent une fonction militaire et chevaleresque au service de leurs suzerains.
  • Jean de Baglion de La Dufferie, seigneur de La Guimonnière, meurt en août 1557 à la bataille de Saint-Quentin, grande confrontation des guerres du XVIᵉ siècle : son décès en campagne illustre le sacrifice militaire d’un membre de la famille pour le royaume.

À travers ces engagements, le lignage s’inscrit dans la tradition nobiliaire de défense du pays, de la monarchie et des populations rurales placées sous sa protection.

4.4. Culture & sciences[modifier | modifier le wikicode]

Même si la majorité des informations conservées portent sur les charges seigneuriales, judiciaires ou militaires, la lignée s’illustre également dans les domaines du savoir et de la culture :

  • La fonction d’ambassadeur (Cuccho Baglioni, Michele de Baglion, Giovanni Baglioni) suppose une capacité de négociation, de langage et de compréhension des enjeux diplomatiques.
  • Les alliances avec des familles de lettrés (avocats, sénéchaux) renforcent l’ancrage de la lignée dans une culture juridique et politique de haut niveau.

Ces éléments montrent un lignage où l’exercice des armes et des charges se combine avec la maîtrise de la parole, de l’écrit et des savoirs administratifs.

4.5. Philanthropie & initiatives sociales[modifier | modifier le wikicode]

Les sources généalogiques disponibles ne détaillent pas d’initiatives explicitement caritatives au sens moderne. Cependant, les fonctions exercées – seigneuries rurales, charges de justice, présence de prêtres et de prieurs – impliquent :

  • l’entretien des églises et chapelles locales,
  • l’aide aux populations dans les périodes de crise (guerres, famines, troubles),
  • la gestion des terres et des communautés paysannes dans une optique de stabilité sociale.

Dans la perspective ALFI, ces responsabilités constituent déjà, pour leur temps, une forme de service au Bien Commun, enracinée dans les structures sociales de l’Ancien Régime.

5. Alliances[modifier | modifier le wikicode]

Au fil des siècles, la famille Baglion / Baglioni de La Dufferie s’unit à de nombreuses maisons, qui contribuent à élargir son réseau d’influence :

  • Famille de Surcoulmont (Isabeau de Surcoulmont) ;
  • Famille de La Croix (Françoise de La Croix, dame des Fontaines) ;
  • Famille de Chérel (Anne de Chérel, dame de La Forest de Courcité) ;
  • Famille de Cotteblanche (Marguerite de Cotteblanche, dame de La Guimonnière, de Chevré et de La Riquottière) ;
  • Famille Le Cornu (Elisabeth Le Cornu, Jean Le Cornu, seigneur de La Marie) ;
  • Famille de Houssemagne (Renée de Houssemagne) ;
  • Famille de Vaudour (Magdelon de Vaudour, seigneur de La Barboterie) ;
  • Famille Rabault (Gilles Rabault, seigneur de Villeneuve) ;
  • Famille Couppel (Guillaume Couppel, seigneur de La Marchandaye, avocat et sénéchal) ;
  • Famille Kennaly-Smithspécialistes des Cercles parisiens.
  • autres alliances mentionnées dans les notes (maisons seigneuriales voisines, familles de robe et de notables locaux).

Ces alliances manifestent la double orientation de la lignée : noblesse terrienne d’une part, et ouverture vers les milieux de la robe, de la justice et de l’administration d’autre part.

6. Demeures et ancrages[modifier | modifier le wikicode]

Les lieux cités dans les actes et notices permettent de dessiner une géographie de la lignée :

  • Pérouse et les cités d’Italie centrale – foyer originel des Baglioni (prieurs, podestats, ambassadeurs).
  • Avignon – lieu de l’ambassade de Michele de Baglion auprès du pape Clément VII.
  • La Dufferie – seigneurie principale de la branche française, transmise de Michele à ses descendants.
  • La Bellobière – autre fief majeur de la lignée.
  • La Guimonnière, Chevré, La Riquottière – seigneuries héritées de Marguerite de Cotteblanche.
  • Hierré – fief associé à Guy de Baglion de La Dufferie.
  • La Motte-Husson, La Barboterie, Villeneuve, La Marchandaye, La Marie – seigneuries tenues par les Baglion ou leurs alliés (Vaudour, Rabault, Couppel, Le Cornu).
  • Grand-Oisseau (Mayenne) – lieu d’inhumation d’Ambroise de Baglion de La Dufferie et de Marguerite de Cotteblanche, véritable sanctuaire mémoriel de la branche.

Cette cartographie illustre le passage d’une puissance urbaine italienne à un réseau de seigneuries françaises, principalement situées dans le grand Ouest (Mayenne et régions voisines).

7. Bibliographie & sources[modifier | modifier le wikicode]

Source principale
  • Base généalogique Roglo, notice « Descendants de César / Lodovico Oddo Baglioni » (extrait consulté le 16 novembre 2025 à 09:23), générée par GeneWeb version 6.08-roglo.
 – La page mentionne un total de 112 personnes (conjoints non compris) pour le segment étudié.  
 – Les notes citent diverses références archivistiques et historiques (contrats notariés, fonctions, lieux d’inhumation, notices biographiques).  
Licence Roglo

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Avertissement

La base Roglo peut contenir des erreurs. Les informations reprises dans ce Thésaurus sont limitées au corpus fourni et doivent être confrontées, pour tout usage scientifique ou juridique, aux sources primaires (actes notariés, registres paroissiaux, archives publiques, armoriaux).

8. Conclusion[modifier | modifier le wikicode]

La famille Baglion / Baglioni de La Dufferie offre l’exemple d’un lignage transnational, passé des luttes communales italiennes aux seigneuries rurales françaises, puis à l’intégration dans les réseaux de la robe et des charges royales.

Par ses podestats, prieurs, ambassadeurs, écuyers, seigneurs, prêtres et sénéchaux, elle illustre une forme de continuité du service : service de la cité, de l’Église, du roi et des communautés rurales.

Dans la perspective de l’ALFI, cette lignée manifeste comment une famille peut, en traversant les frontières et les siècles, demeurer au service de l’ordre social, de la justice locale et du Bien Commun, tout en adaptant ses responsabilités aux structures politiques de chaque époque.

9. Images (ALFI)[modifier | modifier le wikicode]

Fichier:Baglion La Dufferie Ancetre1 ALFI.png
Portrait symbolique d’un ancêtre italien des Baglion / Baglioni.
Fichier:Baglion La Dufferie Seigneur XVe ALFI.png
Représentation d’un seigneur de La Dufferie au XVe siècle.
Fichier:Baglion La Dufferie GrandOisseau ALFI.png
Vue symbolique de Grand-Oisseau, lieu d’inhumation d’Ambroise de Baglion de La Dufferie et de son épouse.

Mention légale ALFI[modifier | modifier le wikicode]

Texte rédigé selon le SCRIPT ALFI à partir du corpus généalogique Roglo rappelé ci-dessus. Respect du PROMPT VÉRITÉ : aucune donnée n’a été inventée ; en cas d’incertitude, les faits sont laissés en suspens ou signalés comme tels.

Ce Thésaurus agnatique ALFI est diffusé sous licence CC BY-SA 4.0. Toute réutilisation doit mentionner : « Thésaurus agnatique ALFI – Famille Baglion / Baglioni de La Dufferie, d’après données Roglo (licence CC BY-NC-ND 4.0) – ALFI, L’identité harmonieuse des lignées. »

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