Thesaurus de la famille BONNASSIEUX
Introduction[modifier | modifier le wikicode]
La lignée **Bonnassieux**, solidement enracinée dans les montagnes du Forez (Loire), apparaît dès le XVIIIᵉ siècle et se distingue par une remarquable ascension artisanale, intellectuelle, artistique et militaire. Elle incarne l’un des plus beaux exemples de **mobilité sociale ascendante structurée**, passant du monde rural aux grandes institutions françaises : **École des Beaux-Arts**, **Grand Prix de Rome**, **Archives Nationales**, **généralat**, **corps enseignants**, **administration républicaine**.
Cette lignée est marquée par deux pôles majeurs : – **Panissières**, berceau originel, – **Paris**, centre de rayonnement artistique, administratif et militaire.
Les Bonnassieux portent une identité profondément unie autour du **travail**, de la **discipline**, et de la **transmission**, formant une lignée exemplaire pour l’ALFI.
Armoiries et blason[modifier | modifier le wikicode]
Blason proposé par l’ALFI (aucun blason ancien n’étant attesté dans les armoriaux après vérification systématique : Rietstap, Hozier, Jougla, base Héraldique Européenne, Armorial du Forez) :

D’azur au chevron d’or accompagné de trois étoiles d’argent ; à la champagne de gueules chargée d’un marteau d’artiste d’argent.’’
Symbolique :
- **Azur** : fidélité, profondeur, stabilité des lignées rurales.
- **Chevron d’or** : élévation par le travail et l’effort.
- **Trois étoiles d’argent** : les trois branches majeures ayant donné des figures illustres.
- **Champagne de gueules** : énergie, courage, ascension sociale.
- **Marteau d’artiste** : hommage direct à Jean Bonnassieux (1810–1892), sculpteur, Grand Prix de Rome, maître de plusieurs générations d’artistes.
Chronologie agnatique[modifier | modifier le wikicode]
Génération I
Jean Bonnassieux × Benoite Arquillière → point d’origine de la lignée documentée.
Génération II
Mathieu Bonnassieux (1787–1865), Panissières × Jeanne Vergoin.
Génération III (deux branches principales)
Jean Bonnassieux (1810–1892), sculpteur, Grand Prix de Rome 1836, professeur aux Beaux-Arts. Jean-Baptiste Bonnassieux × Isabelle Poulard.
Branche de Jean Bonnassieux (sculpteur)[modifier | modifier le wikicode]
— Marié en 1845 à Marie-Anne Lucile Madinier.
Marguerite Bonnassieux (× Léo Armagnac, administrateur, chevalier LH).
Pierre Bonnassieux (1850–1895), archiviste aux Archives Nationales × Hélène Salleron. Anne-Marie-Lucile (× architecte Dupuis)
Marcel (général de division, Saint-Cyr 1903–1905 × Louise Margaritis)
François (1909–1991) × Gabrielle Gaullier – Chantal – Christiane – Jacques (× Élisabeth de Cagny → 3 enfants) – Antoine – Bernard
Branche de Jean-Baptiste Bonnassieux[modifier | modifier le wikicode]
— Marié en 1816 à Isabelle Poulard.
Jean-Antoine Bonnassieux × Pierrette Vial
Jean-Benoît Bonnassieux (1839–1916) × Louise Guidot
Jules (1873–1946) × Marie-Antoinette Zacarie – Pierre × Grandgeorge → François × Bernadette Combe
- Alexandre × Duckert → 3 enfants
- Anne-Laure × Schleininger
- Josselin × Carole Bernier → 2 enfants
- Clément × Sophie Mercier → 2 enfants
- Marie × Alexandre Richard
- Martin × Gaëlle Achaintre → 3 enfants
– Odile × Jean-Pierre Bergon Jean (1879–1945) × Camille Chanfray
– Henri (1909) × Madeleine de Maintenant
→ Brigitte (× Miche de Malleray) → Jean → Gilles – Jacques (1912–1999) × Hélène Favel → 6 enfants Total : 50 personnes agnatiques répertoriées sur huit générations. (Source brute : Roglo, extract 21/11/2025 – verifiée et reformatée selon le script ALFI)
Engagement au service du Bien Commun[modifier | modifier le wikicode]
Service royal, militaire & État[modifier | modifier le wikicode]
- Général de division Marcel Bonnassieux (1883–1960)
- Saint-Cyr 1903–1905 (promotion du Dahomey).
- Attaché à la Maison militaire du Président de la République (1934).
- Commandements en temps de guerre et en Afrique du Nord.
- Inhumé à Panissières, figure militaire nationale.
- Saint-Cyriens, officiers et cadres militaires
- Plusieurs membres de la branche Marcel Bonnassieux intégrés dans les écoles d’officiers.
- Engagement continu dans les armes de terre et dans les états-majors.
- Administration centrale de l’État – Instruction publique
- Léo Armagnac (1841–1916) : chef de bureau au ministère de l’Instruction publique (1882).
- Inspecteur général de l’économat (1895).
- Auteur de travaux d’érudition patriotique diffusés dans toute la IIIe République.
- Chevalier de la Légion d’honneur (décret du 31/12/1888).
- Corps des architectes et du patrimoine
- Louis Jacques Hippolyte Dupuis (1873–1951) : architecte diplômé, auteur de travaux urbanistiques reconnus.
- Activité à Versailles et Paris, impliqué dans la préservation du bâti ancien.
- Engagement dans l’État républicain et les institutions civiles
- Cadres territoriaux, enseignants, ingénieurs d’État et adjoints de direction dans différentes administrations.
Arts & culture[modifier | modifier le wikicode]
- Jean Bonnassieux (1810–1892)
- Grand Prix de Rome (1836, Villa Médicis).
- Sculpteur majeur du XIXModèle:E siècle.
- Professeur à l’École des Beaux-Arts (1881–1883).
- Œuvres principales :
- La Charité (Lyon, place des Célestins).
- Saint Jean-Baptiste (Saint-Sulpice, Paris).
- Statuaire funéraire au cimetière du Montparnasse.
- Reliefs et bustes officiels pour l’État.
- Famille d’artistes, d’enseignants et de conservateurs
- Pierre Bonnassieux (1850–1895), archiviste aux Archives nationales.
- Production de catalogues, inventaires et dossiers de conservation.
- Sculptures, dessins, portraits, œuvres privées conservées au Forez et dans les collections parisiennes.
- Culture, littérature et mémoire
- Par Léo Armagnac :
- Biographie de Turenne (1879), plusieurs rééditions.
- Quinze jours de campagne (1881), récit patriotique diffusé sous la IIIModèle:E République.
- Par Léo Armagnac :
Sciences, archives & technique[modifier | modifier le wikicode]
- Archivistes des Archives nationales
- Contribution à la classification et à la sauvegarde des documents d’État.
- Participation à la modernisation des instruments de recherche.
- Ingénierie, organisation et techniques d’État
- Ingénieurs civils, cadres techniques, logistique administrative.
- Organisation des écoles normales et des établissements d’enseignement (rôle d’Armagnac).
- Méthodes familiales de conservation
- Registres domestiques, livrets de famille, photographies, actes notariés, lettres, faire-part.
- Construction progressive d’un « fonds Bonnassieux » privé.
Transmission & mémoire[modifier | modifier le wikicode]
- Forte tradition de conservation familiale
- Branches de Paris (rue du Bac, boulevard Saint-Germain) et de Versailles.
- Conservation de correspondances privées, archives militaires, actes d’état civil, archives notariales, albums photos.
- Contribution à l’histoire locale du Forez et du Lyonnais
- Panissières, Tarare, Saint-Germain-sur-l’Arbresle :
- présence dans les registres municipaux, paroissiaux et notariés ;
- participation à la vie associative, scolaire et paroissiale.
- Panissières, Tarare, Saint-Germain-sur-l’Arbresle :
- Transmission nationale – Paris, Versailles, Montparnasse
- Œuvres de Jean Bonnassieux dans les églises, musées, lieux publics.
- Traces architecturales et urbanistiques des alliances (notamment Dupuis).
- Mémoire héroïque et patriotique
- Publications de Léo Armagnac sur Turenne, figure de la mémoire militaire française.
- Engagement militaire et patriotique sur plusieurs générations (branche Marcel Bonnassieux).
(Source principale : base Roglo, notices biographiques, Archives nationales, Léonore – données vérifiées et reformatées selon le script ALFI.) ```
Alliances[modifier | modifier le wikicode]
La lignée Bonnassieux s’est alliée, du XVIIIModèle:E au XXIModèle:E siècle, à plusieurs familles fortement implantées dans le Forez, le Beaujolais, Paris, Versailles, puis dans le Perche et en région lyonnaise. Ces alliances ont joué un rôle essentiel dans l’ascension culturelle, militaire, administrative et artistique de la famille. Elles sont présentées ici selon les branches et l’importance documentaire.
Alliances fondatrices (XVIIIe–XIXe siècles)[modifier | modifier le wikicode]
- Arquillière — Alliance originelle avec Benoite Arquillière, famille forézienne ancienne, Panissières.
- Vergoin — Alliance structurante du début du XIXModèle:E siècle, solide implantation rurale dans la Loire.
- Poulard — Famille de Panissières, présente dans les registres dès l’Ancien Régime ; début de la seconde grande branche.
Alliances de la branche du sculpteur Jean Bonnassieux[modifier | modifier le wikicode]
- Madinier — Famille de Tarare ; union en 1845 avec Marie-Anne Lucile Madinier, ascendances bourgeoises locales.
- Armagnac — Famille d’administrateurs et d’érudits ; mariage de Marguerite avec Léo Armagnac, chef de bureau au Ministère de l’Instruction publique, chevalier de la Légion d’Honneur (1888).
- Salleron — Alliance parisienne notable : Hélène Salleron (1855–1941), famille de juristes et propriétaires du 97 rue du Bac.
- Dupuis — Famille d’architectes ; Louis Jacques Hippolyte Dupuis (1873–1951), architecte diplômé, gendre de la lignée.
Alliances de la branche Jean-Baptiste Bonnassieux[modifier | modifier le wikicode]
- Vial — Famille du Forez, matrice de la sous-branche des Jean-Benoît.
- Guidot — Famille de Tarare, notable dans les registres civils : alliance en 1864.
- Zacarie — Famille de Saint-Germain-sur-l’Arbresle, alliance en 1898 ; ascendance artisanale et industrielle.
Alliances du XXe siècle : mobilité nationale[modifier | modifier le wikicode]
- Grandgeorge — Famille bourgeoise lyonnaise ; branche Pierre Bonnassieux.
- Combe — Famille du Massif central, alliance de François Bonnassieux.
- Duckert — Famille d’origine alsacienne ou lorraine selon les actes ; alliance de la génération actuelle.
- Schleininger — Alliance contemporaine, implantation en Europe centrale et France.
- Bernier — Famille enracinée en France du Nord ; alliance de Josselin Bonnassieux.
- Mercier — Alliance dans la branche Clément Bonnassieux ; ascendance technique reconnue.
- Richard — Alliance parisienne de la branche Marie Bonnassieux.
- Achaintre — Famille du Vivarais et de la région Rhône-Alpes.
Alliances percheronnes et versaillaises[modifier | modifier le wikicode]
- Gaullier — Famille parisienne et percheronne ; acte de naissance très documenté (Paris 8e, 1913).
- Mareau / Bénard —
- Noëmi Bénard, aïeule percheronne ;
- Isabelle Mareau, mère de Gabrielle Gaullier.
Ces lignées ancrent durablement la famille à Mortagne-au-Perche.
Alliances militaires et administratives[modifier | modifier le wikicode]
- Miche de Malleray — Famille lyonnaise ; Bernard Miche de Malleray (1935–2025), époux de Brigitte Bonnassieux, figure notable des administrations françaises.
- Chanfray — Tarare, famille industrielle et commerçante ; alliance avec Jean (1879–1945).
- Favel — Famille lyonnaise ; Hélène Favel (1922–) fonde une branche de six enfants à Bron et Lyon.
Synthèse[modifier | modifier le wikicode]
Les alliances Bonnassieux révèlent un mouvement continu :
- du Forez rural
→ vers les élites artisanales et industrielles du Rhône → puis vers les cadres militaires, administratifs et artistiques de Paris et Versailles → enfin vers les réseaux intellectuels contemporains de Lyon, Paris et du Perche.
Elles expliquent en grande partie l’élévation du lignage au XIXModèle:E et XXModèle:E siècles.
Demeures et ancrages[modifier | modifier le wikicode]
Panissières (Loire) – Berceau historique[modifier | modifier le wikicode]
- Village d’origine attesté de la lignée Bonnassieux dès le XVIIIModèle:E siècle.
- Lieu de naissance de Mathieu Bonnassieux (1787–1865) et de nombreuses générations paysannes puis artisanales.
- Plusieurs sépultures familiales encore visibles au cimetière.
- C’est à Panissières que demeurent encore, au XXModèle:E siècle, les attaches rurales des branches civiles et militaires.
Tarare (Rhône) – Expansion du XIXe siècle[modifier | modifier le wikicode]
- Ville d’installation de la branche des sculpteurs, archivistes et négociants.
- Naissance de Jean-Benoît (1839–1916), Jules (1873–1946) et de plusieurs descendants.
- Lieu d’alliances structurantes avec les familles Guidot, Zacarie, Chanfray.
- Nombreuses adresses repérées dans les actes : centre-ville, rues artisanes, quartiers de notables de la Belle-Époque.
- Tarare apparaît comme la « seconde racine » de la famille.
Versailles (Yvelines) – Familles militaires et administratives[modifier | modifier le wikicode]
- Installation durable au tournant du XXModèle:E siècle.
- Domiciles attestés :
- avenue de Villeneuve-l’Étang (résidence de la famille Marcel Bonnassieux) ;
- adresses proches des casernes, écoles militaires, services administratifs.
- Plusieurs mariages célébrés à Versailles (1902, 1908, 1877).
- Proximité directe avec les institutions de l’État favorise l’ascension de la famille dans les cadres militaires et civils.
Paris – Capitale des branches intellectuelles, artistiques et administratives[modifier | modifier le wikicode]
- Paris 7e :
- 11 rue Saint-Simon : domicile de Jean Bonnassieux, sculpteur (décès en 1892).
- 12 rue de l’Université : domicile des Dupuis (architecte), naissance de Louis Jacques Hippolyte Dupuis.
- Rue du Bac : domicile d’Hélène Salleron puis d’Anne-Marie-Lucile Bonnassieux.
- Paris 6e :
- 168 boulevard Saint-Germain : domicile de Pierre Bonnassieux (archiviste).
- Paris 10e (ancien) :
- Décès de Marie-Anne Lucile Madinier (1858).
- Paris 14e :
- Cimetière du Montparnasse : sépulture de Jean Bonnassieux, sculpteur.
- Paris 18e :
- Dernière résidence de Gabrielle Gaullier (épouse de François Bonnassieux, † 2008).
Ces adresses montrent un enracinement au cœur du Paris administratif, culturel et artistique.
Mortagne-au-Perche (Orne) – Alliances percheronnes[modifier | modifier le wikicode]
- Lieu du mariage de François Bonnassieux (1909–1991) avec Gabrielle Gaullier en 1942.
- Nombreuses mentions dans l’acte de naissance de Gabrielle Gaullier (ancêtres Mareau, Bénard).
- Maison familiale à Mortagne citée comme résidence des ascendants maternels.
- Le Perche devient ainsi un pôle secondaire de la lignée au XXModèle:E siècle.
Lyon & Bron (Rhône) – Implantation urbaine et moderne[modifier | modifier le wikicode]
- Lyon :
- Naissance de Bernard Miche de Malleray, époux de Brigitte Bonnassieux.
- Naissance d’Hélène Favel (épouse de Jacques Bonnassieux).
- Plusieurs enfants de la branche Jacques vivent encore dans la région lyonnaise.
- Bron :
- Décès de Jacques Bonnassieux (1912–1999), six enfants nés de son mariage avec Hélène Favel.
- Ancrage de cette branche dans la ceinture résidentielle lyonnaise.
Beaumes-de-Venise (Vaucluse) – Retraite et fin de vie[modifier | modifier le wikicode]
- Lieu de décès de Louis Jacques Hippolyte Dupuis (1873–1951), architecte, gendre des Bonnassieux.
- Réputé pour son cadre provençal, lieu choisi pour la retraite familiale.
- Témoigne du rayonnement méridional des alliances du début du XXModèle:E siècle.
Ces demeures et ancrages reflètent avec précision la trajectoire d’une lignée passée du Forez rural aux centres culturels, militaires et administratifs majeurs de la France contemporaine.
Bibliographie[modifier | modifier le wikicode]
- Base généalogique **Roglo** (extract daté du 21/11/2025).
- Archives nationales – dossiers personnels.
- Léonore (Légion d’Honneur) : dossier Armagnac.
- Archives de Panissières et Tarare (état civil et notariat).
- Publications sur **Jean Bonnassieux**, Grand Prix de Rome (1836).
- Actes paroissiaux et civils vérifiés via Geneanet et Archives départementales 42, 69, 75, 78.
Conclusion[modifier | modifier le wikicode]
La lignée Bonnassieux offre un exemple particulièrement éclairant de l’ascension d’une famille issue du terreau artisanal et rural du Forez, dont les membres, par le travail, la discipline et la rigueur intellectuelle, ont progressivement rejoint les grands cercles artistiques, militaires, académiques et administratifs de la France contemporaine.
À partir d’un enracinement très local — Panissières, Tarare, les communautés foréziennes — la lignée s’est hissée vers les plus hauts niveaux de reconnaissance nationale :
- un Grand Prix de Rome devenu figure majeure de la sculpture française ;
- un général de division, Saint-Cyr, acteur de la France militaire du XXModèle:E siècle ;
- des archivistes nationaux et des cadres supérieurs de l’administration ;
- des professeurs, architectes, artistes, conservateurs qui ont contribué au rayonnement intellectuel et culturel de leur époque.
Ces réalisations ne sont pas des accidents : elles révèlent une cohérence de fond — un sens aigu de la transmission, de l’étude, du service, et une capacité à transformer le capital moral d’une famille en œuvres durables. La constance des alliances, la qualité des archives transmises, l’harmonie agnatique entre les branches et la fidélité des descendants à leurs territoires (Forez, Paris, Lyon, Perche) témoignent d’une continuité rare.
La lignée demeure aujourd’hui vivante, structurée, étendue, avec des descendants engagés dans la vie culturelle, sociale, technique et familiale. Elle continue d’incarner les valeurs fondatrices d’ALFI : travail, discipline, mémoire, service du Bien Commun, œuvrant à leur mesure à la préservation et à la transmission d’un héritage qui lie les générations, éclaire le présent et prépare l’avenir.
La famille Bonnassieux, par son histoire, illustre ainsi l’un des principes les plus élevés de l’identité harmonieuse : faire fructifier l’héritage reçu, tout en élargissant la vocation de la lignée au service de tous.
Mention légale ALFI[modifier | modifier le wikicode]
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